Lettres mortes

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Cher Amok,

Je comprends quand ces périodes estivales, où les jeunes femelles abondent en petite tenue dans votre région, tout en refusant qu'on leur fasse une remarque, que vous soyez troublé au point de vous demander si vous ne passeriez pas du côté sombre de la lune.
Je comprend dès alors que vous vous sentiez frustré de ne pas être contacté par un jeune homme attiré par les plus beaux specimens de magénération (mâles y compris). Peut être est ce dûe à cette coupe de cheveux playmobil que vous arboriez étant jeune ? Que sais je ?
Je vais remédier à cela, en donnant votre contact à notre latin lover poète à ses heures, avec votre permission, bien entendu.
 
odré;4339210 a dit:
Cher Amok,

Je comprends quand ces périodes estivales, où les jeunes femelles abondent en petite tenue dans votre région, tout en refusant qu'on leur fasse une remarque, que vous soyez troublé au point de vous demander si vous ne passerez pas du côté sombre de la lune.

Vous connaissez bien mal la région dont vous parlez, car si les jeunes filles (et les moins jeunes) portent léger le vestimentaire, le problème se poserait plutôt devant une absence de remarque éventuelle ! :D

Je comprend dès alors que vous vous sentiez frustré de ne pas être contacté par un jeune homme attiré par les plus beaux specimens de magénération (mâles y compris). Peut être est ce dûe à cette coupe de cheveux playmobil que vous arboriez étant jeune ? Que sais je ?
Je vais remédier à cela, en donnant votre contact à notre latin lover poète à ses heures, avec votre permission, bien entendu.
Mais que voulez-vous que j'en fasse ? Hormis le fait que mon coeur, mon âme et le reste appartiennent à Doquéville il y a aussi Sonnyboy (c'est juste physique : depuis qu'il s'est fait tatouer 3 ronds noirs au sommet de la planisphère, je tente le strike) et dernièrement Téo qui me proposait de me tripatouiller le filament pour m'éclairer le lampion. Mon planning est donc pas mal chargé pour les prochains temps, et j'avoue preférer les partenaires mûrs aux raisins verts.
:D
 
Vous connaissez bien mal la région dont vous parlez, car si les jeunes filles (et les moins jeunes) portent léger le vestimentaire, le problème se poserait plutôt devant une absence de remarque éventuelle ! :D

Mais que voulez-vous que j'en fasse ? Hormis le fait que mon coeur, mon âme et le reste appartiennent à Doquéville il y a aussi Sonnyboy (c'est juste physique : depuis qu'il s'est fait tatouer 3 ronds noirs au sommet de la planisphère, je tente le strike) et dernièrement Téo qui me proposait de me tripatouiller le filament pour m'éclairer le lampion. Mon planning est donc pas mal chargé pour les prochains temps, et j'avoue preférer les partenaires mûrs aux raisins verts.
:D

J'm'en va t'le tripatouiller moi... l'filament... jusqu'à l'incandescence...:D
 
Mademoiselle la blondasse, bien que vu votre age, je ne sais pas si Mademoiselle s'applique encore.
La prochaine fois que je vous croise en train de faire pisser votre abominable clebs, croisé entre un rat et une saucisse, en train de pisser sur la porte de l'immeuble:

1/ je pisse dans votre boîte à lettre
2/ je claque la gueule dudit clébard sur le trottoir
3/je vous fous le nez dans la pisse

C'est à vous de voir...
Votre bien dévoué
Fab'Fab :zen:
 
Très très chers ex-patrons.

Vous auriez du accepter notre dernière proposition de négociation.
R. est la pute la plus chère que ne n'ayons jamais eu a payer J., P. et moi. Mais elle a l'air redoutablement efficace.
Allez, à la revoyure.
:D
 
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Réactions: katelijn
Très chers ex- les mêmes,

Pensez, mais pensez bien, cet été, quand enfin le temps se mettra au grand beau et qu'à nouveau les cigales recommenceront de chanter... Qu'assis dans vos chaises longues, sirotant un Mint Julep, vous deviserez sur votre grandeur d'âme et la hauteur incommensurable de vos vaseuses réflexions, oui pensez à bien apprécier ce moment privilégié. Aujourd'hui est un grand jour pour vous.



On vous envoie une petite batterie de SCUD sur la gueule et ça va pas être joli joli...
 
Alain,

Je ne sais comment te le dire, alors je tourne autour en attendant.
Tu m'écris depuis quelques semaines. Pas seulement à moi, visiblement à toute une tripotée de gens que tu connais ou que tu as connu.
Moi, je t'ai connu, entre quatre et quinze ans, quelque chose comme ça. Surtout à l'école primaire, en fait. Après, dès le collège, ça s'est un peu distendu, non ? Je ne crois pas t'avoir vu depuis... vingt-cinq ans ?
Je ne sais plus trop. Je ne me suis plus vraiment inquiété de savoir ce que tu devenais, en fait.
Visiblement, toi si. Tu mènes des aventures bloggo--pédestres, et tu voudrais qu'on soit nombreux à s'y intéresser.
J'avoue que je n'y arrive pas. Tu as, sur les photos de ton blog, la même tête que lorsque tu étais adolescent. Et à te lire, on se demande toujours si tu fais preuve d'innocence dans ton incapacité à voir ton ridicule, ou si tu transcendes ton manque de talent par un certain culot convivial, comme tu le faisais déjà petit.
Tu voudrais que l'on se retrouve pour tes quarante ans, quelque part dans les Cévennes.
Il faudrait qu'on s'enthousiasme. Ma mère, bonne pâte, a refilé mon adresse mail à l'une de nos anciennes prof d'histoire, que tu avais chargé de récupérer tes vieux copains de collège, je suppose.
Donc.
Si au moins j'étais sûr de voir là-bas d'autres que toi, dont je me suis soucié parfois... Mais de ça je n'ai aucune garantie. Il faudrait que tu poses sur ton blog le nom de ceux qui viendront, ça m'aiderait à me décider...
 
cher vous, mes amis,

parfois, j'aimerais que vous dépassiez ma retenue et que vous me téléphoniez ou passiez me voir… mais voilà, vous n'habitez pas Nantes et ne mesurez pas la force de ma timidité…

je vous embrasse et vous aime…

R.

deuxième lettre :

Cher vous qui êtes jolie et habitez Nantes
si vous aviez quelque tendresse à donner, j'aimerais que ce soit pour moi
parce que ça manque…
je vous embrasse aussi

R.
 
Cher Pharmacos,

La competition est rude et le tournoi relevé,
Des efforts incroyables sont faits pour battre des records.
Bravo pour avoir trôné en tête du Simonpodium ces derniers jours.
Mais je suis au regret de t'informer que j'ai pris la place dorenavant !
Ho certes, je sais que cette place est souvent provisoire, mais justement le côté ephémère de la chose me mets encore plus en joie. En effet, après des entrainements intenses, des rassemblements de techniques de mémorisations issues des plus grands chamans indiens et aussi les cours de musique de fredintosh ;), j'ai reussi à être au top....
Et ca fait bien plaisir...
Le fait d'être peintre aussi m'a beaucoup aidé dans le choix des couleurs et des bonnes combinaisons :rolleyes:
Je te relègues ainsi au 2de rang, mais ne desespère pas de voir le bout de ton nez dans pas très longtemps.
A plus tard cher concurent, et bonne chance....
NED...
:up:
 
Cher R.,

Je ne suis un brin poilu,
Mais je feinds la féminité avec l'aisance d'une vache qui rumine.
Surtout, j'ai tout plein d'amour à revendre.
J'ai bien dit "à vendre", car les temps son durs,
Tout particulièrement pour les fausse femmes poilues,
Fussent-elles animées des meilleures intentions.

Espérant retenir votre attention,
Je serai disponible dans la soirée,
Lorsque j'aurai terminé de saigner cette saloperie de verrat.

Bien à vous.
 
Cher jugnin,

votre proposition n'atteignant même pas la hauteur des chevilles poilues de votre sœur, je ne la retiendrais pas.

Ceci dit, vous êtes mignon tout plein.
mais même si nous fréquentons une poule commune, arrêtons là le bestiaire

bise
R.
 
Chers instants,

Votre fugacité m'a empêché de vous suivre

Pourtant, vous étiez là où j'étais

Et j'étais là où vous étiez

Instant vert comme tes yeux, vert comme ta blouse d'hôpital la dernière fois que je t'ai vu

Instant rouge comme ta robe, rouge comme cette flaque de sang autour de tes cheveux sur un parking un soir

Instant blanc comme ton sourire, blanc comme ces cristaux auxquels tu n'as pas pu résister

Instant bleu comme ces vagues que tu déchirais, bleu comme tes veines dévastées

Aujourd'hui, je suis là où vous n'êtes plus. Vous m'habitez, je ne vous habite plus. Vous êtes l'archipel de mon existence, mais à jamais figés, comme une glaciation de mon être, ici et pourtant si loin
 
Chers pauvres nases,

Merci de nous abreuver de vos écrits navrants de platitude et de minableté (je sais c'est nouveau...) vos vies sentent les latrines, vos coeurs le renfermé, votre foutre le poisson....

Merci de croire que le monde est plein de gens comme vous, pour lesquels le mal être est un art de vivre... pour lesquels le sourire est synonime de crétinisme... merci à vous !!!!!

Merci de penser que vos petits soucis merdiques sont de vrais écueils au bohneur parfait... merci de faire preuve de tant de naïveté !!!

Chacun de vos posts me tranquilise.... chacun de vos posts ajoute du béton à mes fondations... chacun de vos posts me fait bander.

Pour résumer :

Merci les sous produits, que votre derche continue de peler, et que vos bras (déjà minables... les suisses se reconnaitront...) continuent de rétrécir...

Votre cauchemard à tous.
Moi, le sordide Sonnyboy.
 
Ils vous en prie.

:D

Des fois je me fais peur...:D :D :D :D :D
 
Cher Sonny
Tu fais partie des gens qui font que j'aime ce forum parce qu'il représente la diversité à mon sens.
Chacune de tes interventions est un nectar qui apporte le sourire, ce qui prouve au fond que tu as peut-être un peu tort, ou au contraire qu'il suffit d'un peu de poésie pour apporter le sourire aux hordes de dépressifs sous-jacents dont je suis.

Merci pour tout Choupinet

:love: :zen:
 
...
Votre cauchemard à tous.
Moi, le sordide Sonnyboy.

Ouai, ben il se fait un peu trop rare le sordide joufflu bleu, ça manque sérieusement d'abrasion depuis quelques temps... :siffle: :D