A
Anonyme
Invité

Bon peuple, salut (1).
Alors vous, je ne sais pas, mais perso, je viens de trouver une nouvelle raison de me la péter grave (être Dieu, c'est comme être benjamin, ça ne suffit pas toujours...) : presque tous mes amis sont des stars. Oui bon, je dis presque parce que j'en garde un ou deux de pas connus. Avoir des pauvres c'est comme qui dirait une tradition... Mais les autres, pardon ! Que de la paillette, que du lourd.
Tout a commencé par une visite sur l'iTunes MacG Store à la recherche d'un raccourci clavier que je ne devais pas trouver. Bah oui, j'ai bien dit MacG Store... Mais vous allez vite comprendre pourquoi.
Donc, je traînais mes guêtres dans les allées virtuelles de la célèbre boutique quand, soudain, je tombai en arrêt devant le nom d'une artiste. C'était là, devant moi, écrit sur mon écran comme en lettres de feu : LORNA. Choc, stupeur et tremblements, et même un léger début d'[Finn_Atlas veille au grain, hin hin] pour couronner le tout. Quoi ? Lorna ? Notre Lorna ? Ma Lorna ? Je n'en revenais pas. J'avais beau l'avoir entendu fredonner dans un thread de sinistre mémoire, je m'attendais à tout sauf à la trouver là.
Je n'étais pas encore remis de mon émotion quand je faillis tomber à la renverse... Devant moi, tel un monolithe, une stèle, un pic, un cap ou n'importe quelle péninsule du genre, pareil à un [Finn_Atlas voit tout, hou hou] géant obscène et désirable, la couverture d'un album de Sonnyboy faisait miroiter ses pixels sous mes yeux.
Plus loin, ce fut le tour d'Amok et de supermoquette. Je découvris même le podcast de Macinside et que la vie de Freelancer avait fait l'objet d'un film...
Vous imaginez la perplexité qui était la mienne lorsque, d'un clic, je m'apprêtais à quitter l'endroit pour regagner mon salon, ma réalité et, par la même occasion, mon frigo. Pourtant, avant de partir, j'eus la curiosité de faire une dernière recherche, comme ça pour le fun. Une recherche de trop, sans doute motivée par ma vielle vanité, histoire de voir si, des fois, dans la vitrine du magasin qui n'existe pas, mon reflet ne serait pas plus beau. Et la réponse est venue d'un coup, brisant net mon espérance et mon rêve : No Evil. No me.
(1) Oui Antoine, toi aussi. :love: