americo a dit:
Voilà, avec moi cela marche pas trop mal (en numérique, je precise !)
Ah, d'accord, tu travailles en numérique... tout s'explique, je comprends mieux la transformation des fichiers EPS en TIFF ou en JPEG !!!
Mais, dans ce fil de discussion, on parle d'impression
OFFSET... ça n'a rien à voir avec le numérique, ce ne sont pas les mêmes impératifs techniques de départ, et surtout,
ça ne pardonne pas les erreurs de type de fichiers, et notamment les confusions entre le contone et le vectoriel, ni les bourdes d'utilisateurs incompétents (alors que l'impression numérique pardonne presque tout), donc, tu es gentil, tu laisses tomber tes conseils inadaptés à la situation, et tes appréciations sur un métier (l'impression offset) que tu ne connais pas et que tu ne sais pas faire. Merci.
Quant à tes remarques à l'emporte-pièce, du genre "
Si celui-ci est incapable de travailler à partitir d'un .eps , alors qu'il change de métier", j'ai l'impression que tu t'emmèle un peu les crayons dans des choses que tu ne maîtrises pas et que tu n'as pas bien l'air de te rendre compte du ridicule de ce que tu écris... je vais essayer de t'expliquer :
- si tu veux parler d'une image EPS issue de Photoshop, on retombe dans le format de type bitmap qui peut donner un résultat correct en impression numérique, mais qui fera un travail de merde en offset : donc n'importe quel imprimeur un peu soucieux de la qualité de ce qu'il imprime refusera une mise en page réduite à une image EPS de type bitmap.
Dans ce cas, il vaut mieux dire quelquechose du genre : si un imprimeur n'est pas capable de voir la mauvaise qualité d'une image EPS imprimé en offset, il ferait mieux de changer de métier... (faire du numérique par exemple...)
- si tu veux parler d'un EPS issu d'Illustrator, il ne faudrait pas oublier qu'Illustrator est un logiciel de dessin, pas de mise en page, et que, outre un traitement merdique de l'image assez mal adapté aux impératifs du pré-presse, et une absence totale de fonctions typographiques, il a surtout l'énorme inconvénient d'être mono-page... si toi ça t'amuses de perdre ton temps à imprimer un livre de 48 pages à partir de 48 fichiers Illustrator, libre à toi... bien-sûr, c'est faisable, mais c'est plus long à faire, et ce n'est plus le même prix !
- si tu veux parler d'un EPS exporté de XPress, j'aimerais que tu nous expliques quelle peut bien être l'utilité de créer des fichiers intermédiaires page par page : c'est beaucoup plus facile de travailler avec les fichiers natifs XPress...
(en ce moment j'imprime un livre de 540 pages... si j'avais demandé à mon client d'exporter les 540 pages en EPS une par une pour me faire 540 fichiers mono-page, je crois qu'il serait devenu fou !!! sois un peu sérieux...)
- si tu veux parler d'un fichier généré par une imprimante virtuelle, et qui sert souvent d'étape intermédiaire pour distiller des PDF, dans lequel effectivement il peut y avoir plusieurs pages, des polices incorporées, et que l'imprimeur peut alors distiller comme il veut, ou même flasher directement... c'est un fichier
.PS et non pas un EPS.
Et c'est complètement contradictoire avec ce que tu affirmes sur le transport et le poids des fichiers, puisque le fichier .PS est aussi lourd qu'un PDF HD non compressé, et beaucoup plus lourd qu'un PDF HD un peu compressé... donc si tu affirmes que les PDF HD sont trop lourds pour voyager par mél, c'est encore pire pour les fichiers .PS !!!