autre mooeurs ! autre train

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L'avventura, c'est la vie que je mène avec toi
L'avventura, c'est dormir chaque nuit dans tes bras
L'avventura, c'est tes mains qui se posent sur moi
Et chaque jour que Dieu fait mon amour avec toi c'est l'avventura.
 
Tu me fais tourner la tête
Mon manège à moi, c'est toi
Je suis toujours à la fête
Quand tu me tiens dans tes bras

Je ferais le tour du monde
Ça ne tournerait pas plus que ça
La terre n'est pas assez ronde
Pour m'étourdir autant que toi...

Ah! Ce qu'on est bien tous les deux
Quand on est ensemble nous deux
Quelle vie on a tous les deux
Quand on s'aime comme nous deux

On pourrait changer de planète
Tant que j'ai mon cœur près du tien
J'entends les flons-flons de la fête
Et la terre n'y est pour rien

Ah oui! Parlons-en de la terre
Pour qui elle se prend la terre?
Ma parole, y a qu'elle sur terre!!
Y a qu'elle pour faire tant de mystères!

Mais pour nous y a pas d'problèmes
Car c'est pour la vie qu'on s'aime
Et si y avait pas de vie, même,
Nous on s'aimerait quand même

Car...
Tu me fais tourner la tête
Mon manège à moi, c'est toi
Je suis toujours à la fête
Quand tu me tiens dans tes bras

Je ferais le tour du monde
Ça ne tournerait pas plus que ça
La terre n'est pas assez ronde...
Mon manège à moi, c'est toi!

 
Elle parle, parle, parle
De projet, de tendre avenir.
Elle grise la nuit grise.
Elle promet la joie, le plaisir.
Rien qu'une chanson de vingt ans qui s'envole, vole vers toi,
Rien qu'une romance de printemps
Qui m'affole sous mon toit,
Rien que trois notes qui reviennent me bercer chaque jour,
Rien qu'un air qui pianote dans mon coeur
Et qui chante notre amour.

 
Ecoute le silence
Demande mon amie :
Ce n'est pas une absence,
Ce n'est pas un ennui.

Ecoute mon silence
Qui n'est pas un oubli
Car grâce à lui je danse
Et pense à toi aussi.

Ecoute ton silence,
Dialogue avec lui.
Il te donne une chance
D'être toi aujourd'hui.

Ecoute le silence
Demande mon amie.
J'en ai trouvé le sens :
C'est le chant de la vie.
 
Ecoute, écoute... Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous met le coeur à l'heure, avec
le sable qui se remonte un peu, comme les vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.




Immobile... L'immobilité, ça dérange le siècle. C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse,
en ces temps.
Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti...
C'est vraiment con, les amants.




Il n'y a plus rien
 
Plus jamais de chambre pour nous,
Ni de baisers à perdre haleine
Et plus jamais de rendez-vous
Ni de saison, d'une heure à peine,
Où reposer à tes genoux.

Pourquoi le temps des souvenirs
Doit-il me causer tant de peine
Et pourquoi le temps du plaisir
M'apporte-t-il si lourdes chaînes
Que je ne puis les soutenir ?

Rivage, oh ! rivage où j'aimais
Aborder le bleu de ton ombre
Rives de novembre ou de mai
Où l'amour faisait sa pénombre
Je ne vous verrai plus jamais.

Plus jamais. C'est fini
Plus de pas unis, plus de nombre,
Plus de toit secret, plus de nid,
Plus de lèvres où fleurit et sombre
L'instant que l'amour a béni.

Quelle est cette nuit dans le jour ?
Quel est dans le bruit ce silence ?
Mon jour est parti pour toujours,
Ma voix ne charme que l'absence,
Tu ne me diras pas bonjour.

Tu ne me diras pas, me voyant,
Que j'illustre les différences,
Tu ne diras pas, le croyant,
Que je suis ta bonne croyance
Et que mon coeur est clairvoyant.

Mon temps ne fut qu'une saison.
Adieu saison vite passée.
Ma langueur et ma déraison
Entre mes mains sont bien placées
Comme l'amour en sa maison.

Adieu plaisirs de ces matins
Où l'heure aux heures enlacée
Veillait un feu jamais éteint.
Adieu. Je ne suis pas lassée
De ce que je n'ai pas atteint.

 
Je ne sais pas dire "je t'aime",
Je ne sais pas, je ne sais pas,
Je ne peux pas dire "je t'aime",
Je ne peux pas, je ne peux pas,
Je l'ai dit tant de fois pour rire,
On ne rit pas de ces mots-là,
Aujourd'hui que je veux le dire,
Je n'ose pas, je n'ose pas,
Alors, j'ai fait cette musique,
Qui mieux que moi te le dira,

Pour une larme, pour un sourire,
Qui pourraient venir de toi,
Je ferais le mieux et le pire,
Mais je ferais n'importe quoi,
Pourtant le jour et la nuit même,
Quand j'ai le mal d'amour pour toi,
Là, simplement dire "je t'aime",
Je n'ose pas, je n'ose pas,
Alors, écoute ma musique,
Qui mieux que moi te le dira,

Je sais ta bouche sur ma bouche,
Je sais tes yeux, ton rire, ta voix,
Je sais le feu quand tu me touches,
Et je sais le bruit de ton pas,
Je saurais, sur moi, dévêtue,
Entre mille, quelle est ta main nue,
Mais simplement dire "je t'aime",
Je ne sais pas, je ne sais pas,

C'est trop bête, je vais le dire,
C'est rien, ces deux mots-là,
Mais j'ai peur de te voir sourire,
Surtout, ne me regarde pas,
Tiens, au piano, je vais le dire,
Amoureuse du bout des doigts,
Au piano, je pourrais le dire,
Écoute-moi, regarde-moi,

Je ne peux pas,
Je ne sais pas,
Je n'ose pas,
Je t'aime, je t'aime, je t'aime..
 
Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis dans tes bras
Je rêve que je te fais tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Quand je suis seule et que je peux inventer
Que tu es là tout près de moi
Je peux m'imaginer tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Juste deux ou trois mots d'amour
Pour te parler de nous
Deux ou trois mots de tous les jours
C'est tout

Je ne pourrai jamais te dire tout ça
Je voudrais tant mais je n'oserai pas
J'aime mieux mettre dans ma chanson
Une déclaration, ma déclaration

Une déclaration, ma déclaration
Juste deux ou trois mots d'amour
Pour te parler de nous
Deux ou trois mots de tous les jours
C'est tout

Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis dans tes bras
Je rêve que je te fais tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Je veux des souvenirs avec toi,
Des images avec toi,
Des voyages avec toi
Je me sens bien quand tu es là
Une déclaration, ma déclaration

J'aime quand tu es triste
Et que tu ne dis rien
Je t'aime quand je te parle
Et que tu ne m'écoutes pas
Je me sens bien, quand tu es là
Une déclaration, ma déclaration

 
Dites-le moi du bout des lèvres,
Moi, je l'entends du bout du coeur,
Moins fort, calmez donc cette fièvre,
Oui, j'écoute,

Oh, dites-le moi doucement,
Murmurez-le moi simplement,
Je vous écouterais bien mieux,
Sans doute,

Si vous parlez du bout des lèvres,
J'entends très bien du bout du coeur,
Et je peux continuer mon rêve,
Mon rêve,

 
A l'abris du froid dehors
Quand bien au chaud je m'endors
Je glisse et m'abandonne
Sur des mélodies bizarres
Des mots si beaux qu'ils m'étonnent
Mais je ne les comprends pas...
Pourquoi toutes ces images
Qui se bousculent dans ma tête
Pourquoi quand le jour se lève
Soudain mon rêve s'arrête
Endormi loin de la Terre
Le monde est plus simple à refaire
Je rêve les images
D'un film où tout fini bien
Mais tout comme dans un mirage
Il se casse avant la fin
Pourquoi toutes ces images
Qui se bousculent dans ma tête
Pourquoi quand le jour se lève
Soudain mon rêve s'arrête
 
Rêve d'archipels
De vagues perpétuelles
Sismiques et sensuelles

D'un amour qui la flingue
D'une fusée qui l'épingle
Au ciel
Au ciel

On est loin des amours de loin
On est loin des amours de loin
On est loin

Madame rêve ad libitum
Comme si c'était tout comme
Dans les prières
Qui emprisonnent et vous libère
Madame rêve d'apesanteur
Des heures des heures
De voltige a plusieurs

Rêve de Fougères
De foudres et de guerres
A faire et a refaire

D'un amour qui la flingue
D'une fusée qui l'épingle
Au ciel
Au ciel

On est loin des amours de loin
On est loin des amours de loin
On est loin

Madame rêve
Au ciel
Madame rêve
Au ciel
Madame rêve
 
Il y a le ciel, le soleil et la mer
Il y a le ciel, le soleil et la mer

Allongés sur la plage
Les cheveux dans les yeux
Et le nez dans le sable
On est bien tous les deux
C’est l’été, les vacances,
Oh mon dieu quelle chance

Il y a le ciel le soleil et la mer
Il y a le ciel le soleil et la mer

Ma cabane est de planche
Et mon lit n’est pas grand
Tous les jours c’est dimanche
Et nous dormons longtemps
A midi sur la plage
La amis de notre âge

Chantent tous le ciel, le soleil et le mer
Chantent tous le ciel, le soleil et le mer

Et le soir tous ensemble
Quand nous allons danser
Un air qui te ressemble
Vient toujours te chercher
Il parle de vacances
Et d’amour et de chance

En chantant le ciel, le soleil et la mer
En chantant le ciel, le soleil et la mer

Quelque part en septembre
Nous nous retrouverons
Et le soir dans ta chambre
Nous le rechanterons
Malgré le vent d’automne
Et les pluies monotones

Nous aurons le ciel, le soleil et la mer
Nous aurons le ciel, le soleil et la mer


 
Il automne, à pas furtifs,
Il automne à pas feutrés,
Il automne à pas craquants
Sous un ciel pourpre et doré.
Sur les jardins dénudés
Se reflètent. en transparence
Les brumes d'automne rouillées,
Rouillées
Dans la forêt de tes cheveux
Aux senteurs de poivres mêlés
Et sur nos nuits de mi-novembre,
Il automne miraculeux,
Il automne miraculeux.

 
L'hiver a cessé, la lumière est tiède
Et danse, du sol au firmament clair,
Il faut que le coeur le plus triste cède
A l'immense joie éparse dans l'air.

J'ai depuis un an le printemps dans l'âme ;
Et le vert retour du doux floréal,
Ainsi qu'une flamme entoure une flamme,
Met de l'idéal sur mon idéal.

Le ciel bleu prolonge, exhausse et couronne
L'immuable azur où rit mon amour.
La saison est belle et ma part est bonne,
Et tous mes espoirs ont enfin leur tour.

Que vienne l'Eté ! Que viennent encore
L'Automne et l'Hiver ! Et chaque saison
Me sera charmante, ô toi, que décore
Cette fantaisie et cette raison !
 
Où êtes-vous, ma nomade,
Où êtes-vous à présent?
Avec votre âme nomade,
Vous voyagez dans le temps,
Et lorsque les saisons passent,
Connaissez-vous le printemps,
Vous qui aimiez tant la grâce,
Des lilas mauves et blancs,

 
Las d'avoir visité mondes, continents, villes,
Et vu de tout pays, ciel, palais, monuments,
Le voyageur enfin revient vers les charmilles
Et les vallons rieurs qu'aimaient ses premiers ans.

Alors sur les vieux bancs au sein des soirs tranquilles,
Sous les chênes vieillis, quelques bons paysans,
Graves, fumant la pipe, auprès de leurs familles
Ecoutaient les récits du docte aux cheveux blancs.

Le printemps refleurit. Le rossignol volage
Dans son palais rustique a de nouveau chanté,
Mais les bancs sont déserts car l'homme est en voyage.

On ne le revoit plus dans ses plaines natales.
Fantôme, il disparut dans la nuit, emporté
Par le souffle mortel des brises hivernales.

 
Qui sait d'où vient le vent qui m'emporte
La nuit dans mes songes, le vent qui me mord,
Celui qui me roule sur la mer morte
Où ma barque fend l'eau pendant que tu dors?
Je rêve que je vogue sur le sel
Et j'entends au lointain ta voix qui m'appelle:

Il est temps temps de renter à la maison
Il est temps temps de renter à la maison

 
Reviens chez nous toi qui t’en vas
Entre deux eaux, entre deux ages
Toi qui t’en vas dans les nuages
Comme un oiseau trop maladroit

Tout est si grand t’as bien le temps
De faire des rêves et des enfants
T’as bien le temps d’être important
Et de gagner beaucoup d’argent

Reviens chez nous c’est pas si mal
La vie s’envole au fil des jours
Comme les joies et les amours
Entre les pages d’un journal
 
Fais du feu dans la cheminée
Je reviens chez-nous
S'il fait du soleil à Paris
Il en fait partout 
 
Hello le soleil brille brille brille
Hello te voici de retour
La bas c'est ton village
Au vert cottage
Où t'attend l'amour

Hello le soleil brille brille brille
Hello siffle d'un coeur joyeux
Là-bas la vie entière
Dans ta chaumière
Tu vivras heureux.
 
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