autre mooeurs ! autre train

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Il m'a brûlé ma peau et j'ai froid dans le coeur
J'ai besoin d'une fille qui serait la soeur
La soeur de mon soleil

Il m'a brûlé ma peau, je cherche le bonheur
Il a brûlé ma vie, donne-moi ta chaleur
Ta chaleur comme le soleil

 
donne-moi ta chaleur,
berce-moi sur ton coeur
aime-moi j'ai tant besoin de toi,
parle moi de ta vie
oui, je l'entends ton cri,
aime-moi car je sais le même feu nous unit.


 
Aimer à perdre la raison
Aimer à n'en savoir que dire
À n'avoir que toi d'horizon
Et ne connaître de saisons
Que par la douleur de partir
Aimer à perdre la raison
 
J'ai perdu la raison
étrange habitude
cruelle passion
la chute sera rude
conçu pour l'amour
accentue l'amplitude
quelle qu'en soit l'issue
je t'aime
même à ton insu
je t'aime

surtout ne change rien
j'ai 2000 raisons de me perdre
surtout ne change rien
2000 raisons d'y voir clair

aucune réaction
suite à ce prélude
je dirige l'émotion
en pleine quiétude
conçu pour l'amour
vaste plénitude

quelle qu'en soit l'issue
je t'aime
même à ton insu
je t'aime
surtout ne change rien
j'ai 2000 raisons de me perdre
surtout ne change rien
2000 raisons d'y voir clair
je t'aime
surtout ne change rien...
 
Trop de vérité mon rap choque, aujourd'hui paye un peu.
Au micro je fais ce que j'aime, pour vivre je fais ce que je peux.
J'ai toujours aim-f, j'affronte les nouvelles étapes de la vie.
Je veux être un exemple pour ma descendance et ma famille.
Rap-star du quartier avec un compte en banque vide,
à écouter les autres, j'ai réussi, c'est clair et limpide.
Tu as foi en moi donc je place en toi mon respect,
écoute, c'est pour des gars comme toi que je rappe la vérité vraie.
Je dois pas faiblir ou faillir, je me dois de réussir,
vivre le sourire aux lèvres, ne plus laisser mes proches souffrir.
Je donne la vérité sur moi, sur ma vie :
sincérité, franchise, les faux sentiments sont bannis.
J'écris mon histoire, grave ma vie sur vinyle:
musique, rime, vie, réalité sincère, rien de futile.
Voilà ce que je suis, ce que je fais, rien de plus, rien de moins.
Je ne dors plus, j'écris mes textes pour aller plus loin.

Rêve gris, pour moi rien ne change.
Ma vie est la même, ici pour moi rien ne change.
Tes yeux te trompent, pour moi rien ne change.
Rien ne change, rien ne change, pour moi rien ne change.
 
Et toi non plus tu n'as pas changé
Toujours le même parfum léger
Toujours le même petit sourire
Qui en dit long sans vraiment le dire
Non toi non plus tu n'as pas changé
 
Oui Jérôme, c'est moi, non je n'ai pas changé
Je suis toujours celui qui t'a aimé
Qui t'embrassait et te faisait pleurer
Tiens, tu vois, regarde, tu vas être étonnée
Mais j'ai gardé en souvenir de toi
Une photo que tu m'avais donnée
Oui, Jérôme, c'est moi, non je n'ai pas changé
Je suis toujours celui qui t'a aimé
Qui te parlait sans jamais t'écouter !
Tiens, c'est vrai, le jour de ton anniversaire
Je m'en souviens comme si c'était hier
J'allais chez toi t'apporter du lilas
Dis, écoute ce disque, il n'est pas démodé
C'était je crois ta chanson préférée
Tu sais je l'ai bien souvent écoutée.

Oui, Jérôme, c'est moi, non je n'ai pas changé
Je suis toujours celui qui t'a aimé
Qui t'embrassait et te faisait pleurer
Oui, Jérôme, c'est moi, non je n'ai pas changé
Je suis toujours celui qui t'a aimé
Qui te parlait sans jamais t'écouter
Oui, Jérôme, c'est moi, non je n'ai pas changé
Je suis toujours celui qui t'a aimé....

 
Mais partout le monde bouge
Mais partout le monde éclate
Là où régnait le silence
certains font porter leurs voix
jusqu'aux remparts du royaume
où l'on n'adore que l'or

Vous tout là-haut dans vos bastions
à gouverner cités et nations
ne voyez-vous pas qu'il est trop tard
Que le monde se fera sans vous ou contre vous
Que le monde se fera sans vous ou contre vous
 
Pendant que je dormais, pendant que je rêvais
Les aiguilles ont tourné, il est trop tard
Mon enfance est si loin, il est déjà demain
Passe passe le temps, il n'y en a plus pour très longtemps

Pendant que je t'aimais, pendant que je t'avais
L'amour s'en est allé, il est trop tard
Tu étais si jolie, je suis seul dans mon lit
Passe passe le temps, il n'y en a plus pour très longtemps

Pendant que je chantais ma chère liberté
D'autres l'ont enchaînée, il est trop tard
Certains se sont battus, moi je n'ai jamais su
Passe passe le temps, il n'y en a plus pour très longtemps

Pourtant je vis toujours, pourtant je fais l'amour
M'arrive même de chanter sur ma guitare
Pour l'enfant que j'étais, pour l'enfant que j'ai fait
Passe passe le temps, il n'y en a plus pour très longtemps

Pendant que je chantais, pendais que je t'aimais
Pendant que je rêvais il était encore temps

 
Contre vents et marées
Nous nous sommes aimés
Contre vents et marées
Nous avons navigué
De tempête en bordée
Sur de gouffres amers
Contre vents et marées
Nous avons pris la mer
Nous avons bourlingué
Parfois sur des rivages
Dans des ports oubliés
Par les navigateurs
Nous avons fatigué
Nos grands chevaux sauvages
Et nous sommes aimés
Jusqu'à vider nos coeurs

 
Mon coeur d'attache c'est toi, le toit de ma maison, c'est toi
L'histoire de mes chansons c'est toi
Mon chemin d'horizon c'est toi
Mon coeur d'attache c'est toi, le toit de ma maison, c'est toi
La voix de ma raison c'est toi
Ma vie et ma passion c'est toujours toi



 
C'est toi et moi contre le monde entier
Toi seul à mes côtés
Comprenant mes tristesses
Tu es l'ombre de ma peine
Le chagrin de mon chagrin
Oui toi et moi contre le monde entier
Et tes soldats de bois
Et tes armées entières
Je te vois gagner la guerre
Et je n'ai plus peur de rien

 
Toi et moi
Deux cœurs qui se confondent
Au seuil de l'infini
Loin du reste du monde
Haletants et soumis
A bord du lit
Qui tangue et va
Sous toi et moi

Toi et moi
Libérés des mensonges
Et sevrés des tabous
Quand la nuit se prolonge
Entre râles et remous
Nos songes fous
Inventent un nous

Entre chien et loup dans nos rêves déserts
L'amour a su combler les silences
Et nous, ses enfants nus, vierges de nos hiers,
Devenons toi et moi, lavés de nos enfers




 
Tous pareils
Ici et là-bas
Même soleil
Même combat
Même voyage
Pour toi et moi
C'est la vie qui veut ça
La vie qui veut ça
On passe des heures sans rien se dire
De nos doutes de nos blessures
Appris par cur
Sans retenir
Cacher nos larmes sous l'armure

 
Un nuage de pensées et je me défile
Dans ce volcan noyé de souvenirs
Libérant la tendresse que je freine toujours
Enfin je te retrouve.
Dans mes joies, dans mes peines, ce train d'enfer
Tu es la seule Balance qui règne sereine
T'es comme un ange sur terre qui me protège
Mon amie fidèle.
Bien plus forte que l'océan qui suffoque mes problèmes
Bien plus forte qu'un vent violent qui déchire les paroles amères
Tu es le remède, de toutes mes faiblesses.
Tu es la flamme qui brûle ma solitude
La main tendue qui soigne mes blessures
Dans nos hivers rayonnait le printemps
De nos aventures.
Je connais la transparence de tes silences
Tes passions, tes faiblesses, nos différences
Savoir que tu existes est l'importance
Toi mon septième sens.
Bien plus forte que l'océan qui soulage mes erreurs
Bien plus forte qu'un vent violent qui s'est moqué de ma peur.

 
C'est toi ma p'tit' folie
Toi ma p'tit' folie
Mon p'tit grain de fantaisie...
Toi qui boul'verses
Toi qui renverses
Tout ce qui était ma vie.

 
Maman est folle
On n'y peut rien
Mais c'qui nous console
C'est qu'elle nous aime bien

Quand elle s'envole
On lui tient la main
Comme un ballon frivole
Au gré du vent qui vient

Tais-toi, Léopold
Surtout ne dis rien
Les gens dans leur cache-col
N'y comprendraient rien

Quand maman rigole
On oublie qu'on a faim
Que c'est l'heure de l'école
Qu'on a peur des voisins

Elle est notre idole
On en a le coeur plein
Faut pas qu'on nous la vole
Ou qu'on l'emmène au loin

Tais-toi, Léopold
Surtout ne dis rien
Les gens dans leur cache-col
N'y comprendraient rien


 

Un maman a tort
Deux c'est beau l'amour
Trois l'infirmière pleure
Quatre je l'aime
Cinq il est d'mon droit
Six de tout toucher
Sept j'm'arrête pas là
Huit j'm'amuse

Un quoiqu'maman dise
Deux elle m'oubliera
Trois les yeux mouillés
Quatre j'ai mal
Cinq je dis c'que j'veux
Six j'suis malheureuse
Sept j'pense pas souvent
Huit et vous ?

J'aime ce qu'on m'interdit
Les plaisirs impolis
J'aime quand elle me sourit
J'aime l'infirmière maman

Un j'suis très sereine
Deux et j'ai bien fait
Trois d'vous en parler
Quatre j'm'amuse
Cinq quoiqu'maman dise
Six elle était belle
Sept cette infirmière
Huit je l'aime

Un l'infirmière chante
Deux ça m'fait des choses
Trois comme l'alouette
Quatre j'ai peur
Cinq c'est dur la vie
Six pour un sourire
Sept j'en pleure la nuit
Huit et vous ?

J'aime ce qu'on m'interdit
Les plaisirs impolis
J'aime quand elle me sourit
J'aime l'infirmière maman

Un maman a tort
Deux c'est beau l'amour
Trois l'infirmière pleure
Quatre je l'aime
Cinq maman a tort
Six c'est beau l'amour
Sept à l'hôpital
Huit j'ai mal

Un maman a tort
Deux c'est beau l'amour..
 
La muraille
Tremble et se fend
Comme un c?ur qui éclate en deux
Et la femme
Entre dans l'histoire
Comme arrive l'?uvre d'un Dieu
L'homme né sans mémoire
Reconnaît l'Ève qu'il veut
Brise l'avenir
Et nous fait monter aux yeux
Les sanglots
Le péché leur fait chaud
Dieu que c'est beau

{A-ya a-ya a-ya}
Oh que c'est beau
{A-ya a-ya a-ya, a-ya a-ya}

La muraille
Penche et se tord
Pour faire un toit aux amoureux
Et la femme
Au ventre arrondi
Se remplit d'un nouveau feu
L'homme sur l'avenir
Met ses mains et fait un v?ux
Ève doit souffrir
Pour faire naître sous nos yeux
Le héros
Qui sort sous les bravos
Dieu que c'est beau

{A-ya a-ya a-ya}
Oh que c'est beau
{A-ya a-ya a-ya, a-ya a-ya}

C'est de l'amour
Et le fruit du péché est très beau
L'enfant crie
Tue le serpent
L'ordre est nouveau
Lève la foule
Et admire l'enfant sorti des eaux
La terre tourne
Oh Dieu que c'est beau

{A-ya a-ya a-ya}
Oh que c'est beau
{A-ya a-ya a-ya}
Oh que c'est beau
{A-ya a-ya a-ya}
Oh que c'est beau


 
Prendre un enfant par la main
Pour l'emmener vers demain,
Pour lui donner la confiance en son pas,
Prendre un enfant pour un roi.
Prendre un enfant dans ses bras
Et pour la première fois,
Sécher ses larmes en étouffant de joie,
Prendre un enfant dans ses bras.

 
Statut
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