Ce n'est que le vent qui s'agite
- Créateur du sujet rezba
- Date de début
J'aimerais parfois être une de ces éoliennes de mon pays d'adoption. Et transformer les bourrasques en énergie.
tu peux:
mater les petites nanas sans risquer un quelconque strabisme, oui tu peux tourner la tête franco
laisser la lunette des chiottes relevée sans avoir à y retourner "paske ça se fait pas, va la baisser tout de suite"
à avoir une explication avec la première araignée ou souris sur le thème de "nan, fo pas déranger la dame".
surtout...découvrir que ton petit cur meurtri peux se remettre à battre, puis, petit à petit te faire ressentir des sensations oubliées.
merci pour ton soutien
vincent
mater les petites nanas sans risquer un quelconque strabisme, oui tu peux tourner la tête franco
laisser la lunette des chiottes relevée sans avoir à y retourner "paske ça se fait pas, va la baisser tout de suite"
à avoir une explication avec la première araignée ou souris sur le thème de "nan, fo pas déranger la dame".
surtout...découvrir que ton petit cur meurtri peux se remettre à battre, puis, petit à petit te faire ressentir des sensations oubliées.
merci pour ton soutien
vincent
Mon amie l'insomnie est revenue.
cette bonne vieille copine, ces derniers temps pourtant je n'avais jamais dormis aussi bien comme quoi
Avant je passais avec elles de bonnes nuits à lire
maintenant... je suis là
et je ne sais plus lire
Comment est la nuit ce soir à Besac ?
Ici
Ma copine la pleine lune m'a éclairée un moment elle est maintenant cachée derrière la barre de mon bâtiment
ouvre la fenêtre, laisser entrer ce vent...
suis contente de ce lieu,il y a ici beaucoup de vent, toujours trouvé plus facile de vivre avec un vent tempetteux qui nous pousse où nous soutient dès le matin
Il me ramène les rumeurs de l'auto-route comme un bercement régulier, et le bruissement des branches d'arbres...
ho bisogno odire un pò d'italiano
:sleep:
cette bonne vieille copine, ces derniers temps pourtant je n'avais jamais dormis aussi bien comme quoi
Avant je passais avec elles de bonnes nuits à lire
maintenant... je suis là
et je ne sais plus lire
Comment est la nuit ce soir à Besac ?
Ici
Ma copine la pleine lune m'a éclairée un moment elle est maintenant cachée derrière la barre de mon bâtiment
ouvre la fenêtre, laisser entrer ce vent...
suis contente de ce lieu,il y a ici beaucoup de vent, toujours trouvé plus facile de vivre avec un vent tempetteux qui nous pousse où nous soutient dès le matin
Il me ramène les rumeurs de l'auto-route comme un bercement régulier, et le bruissement des branches d'arbres...
ho bisogno odire un pò d'italiano
:sleep:
... moi, il a fallu 57 ans pour que je fasse sa connaissance et je m'en serais bien passé...!Pour l'instant, je passe des nuits d'errance en restant sur place... entre torpeur et demi-sommeil ... étrange sensation où le corps lourd et fatigué se dispute avec l'esprit qui divague...
Je prépare avec soin mes séances "d'éveil endormi" ... lumières tamisées, bougies par dizaines, une floppée de CDs dans le chargeur ... des vieux trucs nostalgiques qui me rappellent le temps où j'étais jeune et toujours pas beau... ces jours derniers, le vent tapait à mes fenêtres et comme toi, je m'en suis fait un ami ... il est là pour me dire : "Hé mec ! secoue-toi ... sors un peu que je sèche tes larmes et que je te rafraichisse l'esprit !!!!!" ... et je l'écoute ... et je sors ... alors, il me fait une symphonie en hurlant dans les branches des arbres d'en face, en secouant les néons, en arrachant les affiches comme des mots d'amour trop mûrs ... il me tape dans la gueule ... et tout cela me fait du bien...
Parfois aussi, je transforme mes nuits d'errance en "voyage automobile" surtout quand il pleut ... j'aime les reflets de la pluie sur l'asphalte ... les essuie-glaces qui me font signe ... et la route qui défile sans me poser de question ... en général, toujours la même destination ... Ostende et sa jetée où je retrouve un semblant de paix et de sérénité et le fantôme de mon Père qui est le capitaine de mon brise-larmes...
Je marche, et je marche encore jusqu'à ce que la fatigue me rattrape ... alors, je prends ma douleur sous le bras et on rentre tous les deux...
Lors de ma prochaine insomnie qui s'approche d'ailleurs à grands pas, j'aurai une pensée pour toi, kanako ...
Lors de ma prochaine insomnie qui s'approche d'ailleurs à grands pas, j'aurai une pensée pour toi, kanako ...
eh bien ? et moi ? pas une tite pour moi aussi ? :rose::love:
A
Anonyme
Invité
Euh ... j'avais préparé un beau texte mais Doc m'a grillé...
...insomnies partagées, sommeil à l'arrivée ! ... partageons donc, Soeurs et Frères d'infortune ... partageons nos nuits blanches et nos idées noires ...nos petits coeurs transis et fatigués ... l'aube n'en sera que plus belle !!!!!!!
A
Anonyme
Invité
C'était un peu le but recherché.
Mais c'était un peu vrai quand même. :love:
Je découvre vos pages et mes yeux s'embuent.
C'est un vent glacé de décembre qui se déverse dans la station tant rêvée. Je savais pourtant que je sortirai de la rame seul. J'ai encore dans les oreilles quelques échos de ce concert d'un lausannois jusqu'à ce soir inconnu. Incongruité de l'au revoir, ici, ces portes qui se referment mécaniquement sur son visage fermé. Je le laisse continuer. Il sortira deux arrêts plus loin, pas très loin, alors que nous avons diné à la maison avec un ami il y a à peine trois heures. Il va y avoir cette rue tant rêvée à remonter.
Il y aura encore de longs mois avant que je sois, moi aussi, seul dans ce même appartement au style dépouillé, zen me dit-on, mais je ne le sais pas encore.
C'était mon Prince Charmant. Avec capitales. Il est un quasi inconnu à qui je ne sais plus trop quoi dire.
Parfois la nuit, je touchais sa tempe dans son sommeil, espérant à son contact me mêler à l'esprit de cet homme qui m'a accompagné un tiers de ma vie pour le connaître enfin.
Maintenant, j'espère. Je ne sais quoi, mais aussi différemment que j'espérais que cela durerait toujours, j'espère qu'il y aura un encore. Une autre rencontre. Forcément différente. On change. C'est un espoir, faible et mesuré, vaguement utopiste. Mais pourtant bien réel.
Merci à vos lignes d'entretenir les petites lumières qui brillent dans la nuit: elles se couchent et se relèvent sous le vent qui s'agite et résisteront tant que nous voudrons bien croire en elles. Une sourde angoisse s'est étrangement dissipée à vous lire.
C'est un vent glacé de décembre qui se déverse dans la station tant rêvée. Je savais pourtant que je sortirai de la rame seul. J'ai encore dans les oreilles quelques échos de ce concert d'un lausannois jusqu'à ce soir inconnu. Incongruité de l'au revoir, ici, ces portes qui se referment mécaniquement sur son visage fermé. Je le laisse continuer. Il sortira deux arrêts plus loin, pas très loin, alors que nous avons diné à la maison avec un ami il y a à peine trois heures. Il va y avoir cette rue tant rêvée à remonter.
Il y aura encore de longs mois avant que je sois, moi aussi, seul dans ce même appartement au style dépouillé, zen me dit-on, mais je ne le sais pas encore.
C'était mon Prince Charmant. Avec capitales. Il est un quasi inconnu à qui je ne sais plus trop quoi dire.
Parfois la nuit, je touchais sa tempe dans son sommeil, espérant à son contact me mêler à l'esprit de cet homme qui m'a accompagné un tiers de ma vie pour le connaître enfin.
Maintenant, j'espère. Je ne sais quoi, mais aussi différemment que j'espérais que cela durerait toujours, j'espère qu'il y aura un encore. Une autre rencontre. Forcément différente. On change. C'est un espoir, faible et mesuré, vaguement utopiste. Mais pourtant bien réel.
Merci à vos lignes d'entretenir les petites lumières qui brillent dans la nuit: elles se couchent et se relèvent sous le vent qui s'agite et résisteront tant que nous voudrons bien croire en elles. Une sourde angoisse s'est étrangement dissipée à vous lire.
Durant mes pires angoisses nocturnes, je me plais à répéter tout le temps, et tout le temps encore ... "le soleil se lèvera demain ! ... demain sera un autre jour ... un jour différent ... plus beau, plus chaud, plus lumineux..." ... et effectivement, avec l'aube se lève un nouvel espoir ... non pas l'espoir d'une autre vie, simplement l'espoir d'une vie où la paix et la sérénité auront pris la place du vacarme provoqué par le bonheur qui fout le camp...
J'ai du être fabriqué comme ça ... j'espère toujours et encore et ma "toute petite" expérience de vie me prouve que j'ai raison de toujours espérer...
Crois-moi teo ... ce qui s'applique à moi s'appliquera à toi également ... il suffit de le vouloir comme quand on était petits et qu'on croyait dur comme fer au Père Noël ... d'ailleurs, la veille de Noël j'irai me coucher tôt pour ne pas le déranger quand il viendra chez moi déposer un peu d'amitié et d'amour dans mes chaussons (dépareillés, mes chaussons !
)Prenez bien soin de vous ... la vie est un cadeau tellement précieux !:love:
Tiens, pour tous ceux qui ont le coeur en compote (et encore, "sans morceaux" la compote !) ... un vieux truc des Byrds que j'écoute en ce moment et qui relativise les choses ... si ça peut servir à d'autres ... ... ... :love:
To everything
(Turn, turn, turn)
There is a season
(Turn, turn, turn)
And a time to every purpose
Under Heaven
A time to be born, a time to die
A time to plant, a time to reap
A time to kill, a time to heal
A time to laugh, a time to weep
To everything
(Turn, turn, turn)
There is a season
(Turn, turn, turn)
And a time to every purpose
Under Heaven
A time to build up, a time to break down
A time to dance, a time to mourn
A time to cast away stones, a time to gather stones together
To everything
(Turn, turn, turn)
There is a season
(Turn, turn, turn)
And a time to every purpose
Under Heaven
A time of war, a time of peace
A time to love, a time to hate
A time you may embrace, a time to refrain from embracing
To everything
(Turn, turn, turn)
There is a season
(Turn, turn, turn)
And a time to every purpose
Under Heaven
A time to gain, a time to lose
A time to rend, a time to sow
A time for love, a time for hate
A time for peace, I swear it's not too late.
:love:To everything
(Turn, turn, turn)
There is a season
(Turn, turn, turn)
And a time to every purpose
Under Heaven
A time to be born, a time to die
A time to plant, a time to reap
A time to kill, a time to heal
A time to laugh, a time to weep
To everything
(Turn, turn, turn)
There is a season
(Turn, turn, turn)
And a time to every purpose
Under Heaven
A time to build up, a time to break down
A time to dance, a time to mourn
A time to cast away stones, a time to gather stones together
To everything
(Turn, turn, turn)
There is a season
(Turn, turn, turn)
And a time to every purpose
Under Heaven
A time of war, a time of peace
A time to love, a time to hate
A time you may embrace, a time to refrain from embracing
To everything
(Turn, turn, turn)
There is a season
(Turn, turn, turn)
And a time to every purpose
Under Heaven
A time to gain, a time to lose
A time to rend, a time to sow
A time for love, a time for hate
A time for peace, I swear it's not too late.
En parlant d'insomnie.....
j'ai beaucoup de chance, je bosse de nuit , donc pas besoin de gamberger, par contre le week end.... c'est une autre histoire, la preuve l'heure à laquelle j'écris ce post.
Consolation, j'ai beaucoup de temps pour vous lire.
C'est vrai qu'en ce doux mois de décembre le vent s'agite beaucoup et me rappelle douloureusement que cette grande maison qui est la mienne ne vibre plus des rires de mes filles, mais se languit de cette solitude en soupirant de toutes ses portes car comme moi elle ne supporte pas ce pesant silence.
Que dire des veilles à venir.
Celles qu'attendent avec impatience tous les enfants,mes enfants, fous ceux qui pour la première fois vont passer ces fêtes avec papa sans maman et inversement. On a beau leur dire "vous verrez c'est génial, vous aurez deux fêtes, deux maisons, deux chambres,etc.
Marie ma deuxième fille (8 ans) a eu cette réponse:- Papa mon plus beau cadeau c'est d'être avec toi et maman.
Que voulez vous répondre à ça?
la seule chose à faire est de prétexter une tâche urgente en bas dans la cave pour ne pas lui faire voir que vous pleurez
There's a place for us
Somewhere there is a place for us
bon allez au dodo maintenant.
mais avant.....
un petit coup de tommy des who sur la platine
à toutes les personnes qui se sentent concernées
j'ai beaucoup de chance, je bosse de nuit , donc pas besoin de gamberger, par contre le week end.... c'est une autre histoire, la preuve l'heure à laquelle j'écris ce post.
Consolation, j'ai beaucoup de temps pour vous lire.
C'est vrai qu'en ce doux mois de décembre le vent s'agite beaucoup et me rappelle douloureusement que cette grande maison qui est la mienne ne vibre plus des rires de mes filles, mais se languit de cette solitude en soupirant de toutes ses portes car comme moi elle ne supporte pas ce pesant silence.
Que dire des veilles à venir.
Celles qu'attendent avec impatience tous les enfants,mes enfants, fous ceux qui pour la première fois vont passer ces fêtes avec papa sans maman et inversement. On a beau leur dire "vous verrez c'est génial, vous aurez deux fêtes, deux maisons, deux chambres,etc.
Marie ma deuxième fille (8 ans) a eu cette réponse:- Papa mon plus beau cadeau c'est d'être avec toi et maman.
Que voulez vous répondre à ça?
la seule chose à faire est de prétexter une tâche urgente en bas dans la cave pour ne pas lui faire voir que vous pleurez
There's a place for us
Somewhere there is a place for us
bon allez au dodo maintenant.
mais avant.....
un petit coup de tommy des who sur la platine
à toutes les personnes qui se sentent concernées
La "chance" que j'ai, c'est que mes enfants sont grands maintenant (le + vieux a 31 ans et le + jeune 21 ans ...) ... mais sache que je comprend ton désarroi vousti !
Difficile de trouver des mots réconfortants alors que les fêtes approchent à grands pas et que tout nous rappelle que Noël est avant tout "la" fête familiale par excellence ...
Je l'ai dit de multiples fois dans mes posts ... je déteste cette période où les gens seuls se sentent encore plus seuls et les gens tristes encore plus tristes...
Chaque Noël c'est pareil ... au moment de lever mon verre, je pense à tous ces gens et je ne peux m'empêcher d'en avoir les larmes aux yeux ... c'est peut-être "neuneu" mais c'est comme ça et je ne m'en cache pas...
Mais les enfants ont une faculté d'adaptation formidable et je ne doute pas que les tiens trouveront une réponse appropriée à la situation ... j'en suis certain ! Ils ont toujours une mère et un père ... même séparés, pour eux c'est ça qui est important ... ils se sentiront aimés et oublieront très vite ce "passage à vide" ... faut juste leur (et vous) laisser un peu de temps...
Tu sais, il y a quelques années, je n'aurais jamais imaginé ce qui m'attendait ... je n'aurais jamais imaginé être déboussolé à ce point ... mais peut-être était-ce un "passage obligé" ... une sorte de purgatoire pour nous permettre d'accéder à quelque chose de différent... mais n'empêche ... ça craint !
La seule chose dont je suis certain, c'est que "yes ! There is a place for us !!!!!" ... le tout c'est de trouver le "somewhere" ...
Il ya une seule chose dont j'ai "honte" ... la seule de toute ma vie ... et quand j'y repense, la honte et la colère me submergent à nouveau ...
Il y a quelques semaines, je rentrais chez moi à moto ... il pleuvait ... la route était vraiment dégueu ... et en plus, j'étais loin d'avoir le moral...
En passant près d'un zoning industriel, j'ai remarqué les remorques que les camions stationnaient en attendant de les reprendre le lundi matin ... je roulais assez "sec" (un comble me direz-vous avec toute la flotte qui tombait à ce moment là !) et pendant une fraction de seconde (j'ai bien dit une fraction !) juste avant d'aborder un virage, je me suis dit : "Purée ... et si maintenant je continuais tout droit ... envolés les problèmes !!!"
...ça n'a duré que quelques centièmes de seconde mais ces centièmes là je ne les oublierai jamais !
Je me suis arrêté un peu plus loin ... j'ai retiré mon casque et laissé la pluie me rafraîchir un peu ... et j'ai ressenti la "honte de ma vie" ... honte vis-à-vis de moi, de mes enfants, de ma famille, de mes amis ... honte vis-à-vis des gens qui souffrent et qui résistent ... honte vis-à-vis de la vie elle-même...
J'en ai parlé avec mon fils aîné sur le ton de la plaisanterie évidemment et sa réponse a été à la hauteur de ce que j'attendais de lui - il m'a simplement dit : "le jour où ça te reprend, laisse moi ta Harley et pique une mobilette !!!!" ... et comme j'aime pas rouler en mobilette, je ne recommencerai plus !!!!!!! ... c'est juré !!!!!!:love:
Il y a quelques semaines, je rentrais chez moi à moto ... il pleuvait ... la route était vraiment dégueu ... et en plus, j'étais loin d'avoir le moral...
En passant près d'un zoning industriel, j'ai remarqué les remorques que les camions stationnaient en attendant de les reprendre le lundi matin ... je roulais assez "sec" (un comble me direz-vous avec toute la flotte qui tombait à ce moment là !
) et pendant une fraction de seconde (j'ai bien dit une fraction !) juste avant d'aborder un virage, je me suis dit : "Purée ... et si maintenant je continuais tout droit ... envolés les problèmes !!!"...ça n'a duré que quelques centièmes de seconde mais ces centièmes là je ne les oublierai jamais !
Je me suis arrêté un peu plus loin ... j'ai retiré mon casque et laissé la pluie me rafraîchir un peu ... et j'ai ressenti la "honte de ma vie" ... honte vis-à-vis de moi, de mes enfants, de ma famille, de mes amis ... honte vis-à-vis des gens qui souffrent et qui résistent ... honte vis-à-vis de la vie elle-même...
J'en ai parlé avec mon fils aîné sur le ton de la plaisanterie évidemment et sa réponse a été à la hauteur de ce que j'attendais de lui - il m'a simplement dit : "le jour où ça te reprend, laisse moi ta Harley et pique une mobilette !!!!" ... et comme j'aime pas rouler en mobilette, je ne recommencerai plus !!!!!!!
... c'est juré !!!!!!:love:
La seule chose dont je suis certain, c'est que "yes ! There is a place for us !!!!!" ... le tout c'est de trouver le "somewhere" ...
si tu me la chantes avec la même gueule de bois que mon idole, je t'appelle papy !
L'éternel dilemne non ? Même si je déforme un peu le sens premier de tes mots. Les tempêtes sont destructrices, ravagent, font s'écrouler les repères. Font tituber. Donnent la nausée.
Et puis y'a des trucs qui repoussent. Un peu comme dans la théorie du Tiers Paysage de Gilles Clément, ce jardinier que j'ai découvert il n'y a pas lontemps. Des trucs inattendus, parfois en contradiction totale avec bien des certitudes acquises jusqu'alors. Y'a parfois lutte, résistance. Et puis fusion, évolution. Et ça peut devenir exhaltant. A faire oublier la cause de la transformation.
Jusqu'à la prochaine tempête..
(Et forcément des murs, des camions ou des fenêtres
, on en rencontre aussi )
j'ai connu ça il y a 5 mois, j'y repense encore chaque matin de façon moins vive. je ne sais quel fil veille à ne pas lâcher... mais pour l'instant ça tiens:rose:
Que veux tu répondre à ça?
Il n'y a rien à répondre. Simplement laisser défiler les souvenirs des Noëls heureux, ceux que l'on partageait en famille, avec des gens pour qui du jour au lendemain tu es devenu le pire des salauds, simplement parce que leur fille ou petite fille est partie avec le premier parasite qui passait.
Effacées les années de bonheur. A croire que dans ses souvenirs, il ne reste que du mauvais.
Moi dans ces cas là, mes pensées vont vers l'autre, vers le parasite. Vers ce mec, sans étât d'âme qui brise une famille.
Penses-tu que ce type arrive à se regarder dans une glace en se disant qu'il est un mec bien quand dans la pièce à côté il y a tes enfants, preuve viavnte de sa bassesse?
J'ai un mépris total pour ces gens-là. Je les hais du plus profond de moi-même.
Mais la vie continue. Même quand les souvenirs restent.
A
Anonyme
Invité
Ca mène à quoi de haïr ?
Les bons et les méchants, c'est dans les contes, pas dans la réalité.
Alors, tu peux le détester, l'autre, tu peux, mais à quoi bon ?
C'est lui l'infâme !
C'est pratique, ça évite de se poser des questions.
Et puis, ça gomme complètement son choix à elle, ses raisons.
Non ?
Les bons et les méchants, c'est dans les contes, pas dans la réalité.
Alors, tu peux le détester, l'autre, tu peux, mais à quoi bon ?
C'est lui l'infâme !
C'est pratique, ça évite de se poser des questions.
Et puis, ça gomme complètement son choix à elle, ses raisons.
Non ?
