De la vie des macgéens

après avoir cherché en vain de la guanciale chez mon charcutier
Y'a pas une seule charcuterie italienne à Rouen ?
il n’est pas question que je donne dans le sabayon au pecorino et jus de cuisson
Scandale !
le mélange – à base de crème –
Re-scandale
Et hors de question de donner dans le sabayon ! La crème fraîche c’est la vie ! <3
Ce sont donc des pasta à la aCLR, pas à la carbonara :grin:
 
Cela prend moins de temps que faire des confitures ou des conserves des récoltes d’un potager ou d’un verger, qu’élever un cochon, de la volaille ou du lapin pour remplir un congélateur une fois tout ce petit monde passé sur le billot, ou que pêcher à pied, à la ligne ou au filet… :D
Tout ça m'est parfaitement étranger. Alors, tu penses bien, préparer des joues...
PS : Le seul cochon que j'ai jamais eu à élever est celui qui sommeille en moi, et j'aimerais autant que personne n'ait l'idée de le bouffer.
C'est très simple, chaque publication éditée dans un département faisait l'objet d'un dépôt en préfecture qui enregistrait sur des fiches cartonnées le numéro et la date de réception. Les exemplaires reçus sont adressés aux archives départementales et pour certaines adressées aux RG (à l'époque), notamment les publications politiques surtout d' extrème gauche, les classés X...
Ce dépôt obligatoire bénéficiait de la franchise postale et fut abandonné vers 2010, la date étant variable selon les départements.
Le dépôt légal existe toujours mais se fait à la BnF. Il existait aussi le dépôt judiciaire qui se faisait au tribunal judiciaire .Pour le reste, j'ai tendance à oublier ce qui a trait au travail, surtout cette période qui m'emmer.... profondément.
Cela permettait surtout aux chefs de services d'avoir leur journal le matin pour attaquer courageusement leur café journée...
Intéressant.
Mais est-ce à dire qu'une publication nationale devait être déposée dans chaque département lors de sa parution ?
Ça devait être simple pour les éditeurs...
Cela dit, ça devait permettre aux diverses archives départementales d'être sur un même pied d'égalité.
En dehors du fait que ça permettait aux chefs de services d'avoir les publications à l'œil, bien entendu.
 
Non uniquement dans le département du siège et le reste à la BnF. Par exemple" Le Hérisson" magazine sur les jardins ouvriers SNCF, ou "Imprécor"journal d'extrême gauche édités en Seine St Denis étaient envoyés à Bobigny et la BnF.
 
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Réactions: lamainfroide
Y'a pas une seule charcuterie italienne à Rouen ?
Pas question, ni de faire des bornes pour de la cochonnaille, ni d’ingurgiter une dose élevée de sel de nitrite (déjà que j’essaie de me débarrasser du E900 des huiles)
Georges sort de ce corps !
Re Georges sort de ce corps !
Ce sont donc des pasta à la aCLR, pas à la carbonara :grin:
Nan ! Je le redis, la variante sabayon pecorino jus de cuisson et guanciale date de 1990 ! Elle est l’œuvre d’un chef italien. Elle n’a rien d’authentique ! Elle sert à se démarquer du reste du monde qui lui continue de cuisiner les carbonara à la crème !
De touit de façon, j'ai arreté de lire quand j'ai compris qu'il y avait de la créme.
En même temps j’avais prévenu hu hu hu
Ce sont juste des pates à la normande,
Contrairement au lin, la crème n’est pas une spécialité normande. On en fabrique partout où les vaches paissent !
c'est trés bon, mais ça n'as rien d'italien.
Si tu l’dis hi hi hi !
 
Des origines diverses des pâtes à la carbonara...
Où on se rend compte qu'il n'existe pas de recette originelle, mais que la crème est absente de quasi toutes. Par contre le fromage, le poivre et la charcuterie en mode 'lardons ou lardons like' (pas forcément du guanciale), c'est une autre histoire !

Quoiqu'il en soit, ça m'a donné une envie de recette pour cette semaine !
 
Quoiqu'il en soit, ça m'a donné une envie de recette pour cette semaine !
Voilà ! C’est le but premier ! Chacun cuisine avec les aliments qu’il veut. ;)
(la guanciale estampillée italienne est mise au séchoir. Comme d’autres spécialités de salaisons séchées la viande est dure en bouche si tu ne disposes pas d’une mandoline pour tailler la pièce de viande en tranches extra-fines. La variante gravlax laisse à la pièce de viande un moelleux agréable en bouche. Mais chacun fait c’qui lui plaît :D)
 
Depuis quelques jours je voyais notre choupette se faufiler dans une caisse d’encadrements entrouverte. Profitant qu’elle en était sortie, j’ai voulu voir l’étendu des dégâts – même si je savais ses cadres assez bien protégés. Je m’attendais à quelques poils et poussières. Mais pas à ça !?
 
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Réactions: lamainfroide
Depuis quelques jours je voyais notre choupette se faufiler dans une caisse d’encadrements entrouverte. Profitant qu’elle en était sortie, j’ai voulu voir l’étendu des dégâts – même si je savais ses cadres assez bien protégés. Je m’attendais à quelques poils et poussières. Mais pas à ça !?
Tu savais pas qu'elle était pleine ?
Tu savais pas qu'une chatte ça se planque pour faire ses petits ?
Tu es trop pris par la modération du forum, détends toi, relaxe toi, fais un peu le vide en toi, sinon tu n'atteindras jamais le nirvana.
 
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Réactions: TimeCapsule
Tu savais pas qu'elle était pleine ?
Elle a onze ans… Après des années de contraception on a décidé de la soulager de cette chimie de confort il y a deux ans. Sa masse corporelle varie en fonction des saisons…
Tu savais pas qu'une chatte ça se planque pour faire ses petits ?
Comme tous les autres rien-à-foutre-de-rien-sauf-ma-pomme, elle a tellement de tocs et de tics qu’on ne s’alarme plus de ses nouvelles lubies.
Tu es trop pris par la modération du forum,
Où as-tu vu cela ?! Dans tes rêves sûrement :D parce que dans les faits… c’est calme. Très calme ! Et tant mieux – sauf les échanges automobilistiques… qui seraient mieux dans le sujet dédié… mais pas question d’emmerder les copains avec ces écarts minimes au regard du burdel qu’il règne parfois ici hi hi hi
détends toi,
Je le suis !
Je le fait !
fais un peu le vide en toi,
Ça m’arrive :D*
sinon tu n'atteindras jamais le nirvana.
Nirvâna ?
Nirvana !



*il y a quinze jours, j’ai eu besoin de faire un break dans mon projet en cours. Adieu étude des process, conception au millimètre, projets sur calque et prototypes défaillants, j’ai réalisé un porte-pots à roulettes pour les gros spécimens du jardin d’hiver. En deux temps trois mouvements la projection du modèle, raccord avec l’aménagement de cette serre, s’est mis à rouler sur le pavé !
 
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Réactions: boninmi
"Les enfants sont formidables", comme répétait à l'envie Jacquot lors de dimanches télévisuels entièrement dédiés à sa gloire.
Ma belle fille passe sont oral de français à la fin du mois.
Elle a plusieurs textes imposés et un choix personnel.
Elle a choisi L'Évènement d'Annie Ernaux.
Elle m'a naturellement demandé si j'avais lu le bouquin, histoire qu'elle me fasse l'exposé pour que je la corrige.
Je ne l'ai pas lu, j'ai simplement vu l'adaptation cinématographique (dont je ne suis pas sûr qu'elle soit fidèle).
Là, elle me lâche qu'elle aussi a vu le film, mais pas lu le livre (et puis, comme elle ne lit pas vite, elle n'aura jamais le temps).
Tout en essayant de ne pas sombrer dans le discours moralisateur, je lui explique donc que c'est pour le moins audacieux de vouloir parler de ce texte dans ces conditions. Ce qui ne semble pas l'émouvoir outre mesure.
Ça me troue.
Ce matin je suis allé acheter le bouquin, en me disant que je pourrais le lire et lui en faire une analyse, histoire de lui donner 2 ou 3 pistes (tout en essayant de rester objectif, tant mon regard est forcément déterminé par mon âge et mon vécu).
La surprise, quoi. Le livre fait 130 pages (ce que j'appelle plus une longue nouvelle qu'un roman). Et en plus c'est écrit gros.
Va pas me falloir 2 jours pour le lire.
Surtout, ça ne devrait pas non plus lui prendre 30 ans à elle non plus.
Je ne désespère pas de la cloitrer dans sa chambre avec mission de ne sortir que lorsqu'il sera terminé.
Non parce que là, merde, Annie Ernaux n'est pas une obscure autrice (prix Nobel de littérature en 2022, quand même - c'est pas un gage d'excellence, certes, mais c'est pas donné à n'importe qui). T'as vite fait de passer pour un fumiste aux yeux de l'examinateur si tu tentes de faire la blague en ne t'appuyant que sur le film. Parce que l'examinateur, lui, y a aucune chance qu'il ne connaisse pas littérairement Annie Ernaux.
Souhaitez-moi courage, je vais tenter de faire lire du vulgaire encre posé sur du vulgaire papier à la génération "mon téléphone c'est ma vie".
 
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Réactions: Romuald et boninmi
Non parce que là, merde, Annie Ernaux n'est pas une obscure autrice (prix Nobel de littérature en 2022, quand même - c'est pas un gage d'excellence, certes, mais c'est pas donné à n'importe qui).
Elle n'est peut-être pas obscure, mais très peu talentueuse à mon sens. Je ne comprends pas pourquoi ta belle-fille a décidé de présenter ce livre à l'oral du bac, il y a tellement mieux à choisir ! Je n'ai moi-même lu qu'un seul livre de cet auteur, pour savoir de qui je parle. Le reste ne m'intéresse pas.

Tout en essayant de ne pas sombrer dans le discours moralisateur, je lui explique donc que c'est pour le moins audacieux de vouloir parler de ce texte dans ces conditions.
Il n'y a aucune chance que le prof qui l'écoutera ne pose pas de questions relatives au livre précisément et non au film. Nous autres professeurs, on connaît les élèves (on a nous-mêmes été élèves avant eux, comme tout le monde). On sait pertinemment qu'il est plus facile de regarder le film, plutôt que de lire le livre. C'est pourquoi, je pose toujours des questions dont les réponses me permettront de déterminer avec la plus grande certitude si l'élève a lu le livre ou vu le film. Ce peut être sur un point de détail, mais pour peu que ça diffère entre les deux, c'est très efficace.

La surprise, quoi. Le livre fait 130 pages (ce que j'appelle plus une longue nouvelle qu'un roman). Et en plus c'est écrit gros.
Cent trente pages ? Une bagatelle ! Je le lis en une matinée, moi, ce livre !
Intime donc à ta belle-fille de lire le livre véritablement, sans quoi elle passera pour un guignol auprès du jury.

Parce que l'examinateur, lui, y a aucune chance qu'il ne connaisse pas littérairement Annie Ernaux.
Même moi, qui trouve son œuvre ennuyante au possible et très quelconque, la connais un minimum.
 
Souhaitez-moi courage, je vais tenter de faire lire du vulgaire encre posé sur du vulgaire papier à la génération "mon téléphone c'est ma vie".
Apprends lui la lecture rapide, en diagonale, une page sur 10 doit suffire pour comprendre ce que dit l'auteur et montrer qu'elle connaît le livre.
 
@Louisjoudig
Nous sommes d'accord.
De plus, ton avis de sachant, ne fait que confirmer ce que je crains. Elle va droit dans le mur si elle s'imagine ne s'en sortir qu'avec le seul souvenir du film.

Et oui, effectivement, littérairement c'est pas du grand art.
L'intérêt de son œuvre ne se situe peut-être pas là, remarque bien.
Ma curiosité m'ayant poussé à acheter quelques autres bouquins, et vu leur grosseur, je devrais être assez vite fixé sur ce point.

Apprends lui la lecture rapide, en diagonale, une page sur 10 doit suffire pour comprendre ce que dit l'auteur et montrer qu'elle connaît le livre.
Je crois que je serais bien incapable de lui expliquer les procédures qui me permettent de lire rapidement.
Pour ma part, j'en suis arrivé là assez vite, mais je pratique.

Je ne désespère pas d'en faire une lectrice, je sens tout de même quelques prédispositions (que je ne crois pas avoir senties chez ma propre gamine - à mon grand désarroi - mais là non plus je ne m'avoue pas vaincu).
 
Bon, ok, alors, je n'ai pas lu le bouquin d'un trait, j'avais des choses à faire quand même, mais ça m'a pris 2h30.
Il y a donc 130 pages (à peu près), mais le récit ne commence qu'à la page 11 (c'est dire si c'est court) et, je le répète, c'est vraiment écrit gros.
L'un de vous sait-il si la taille des caractères est spécifiée quelque part dans les bouquins ?
Je cherche sur le net et je ne trouve rien qui pourrait me donner des indications.
Si je dis que j'ai compté une moyenne de 45 caractères par ligne (en comptant les espaces), ça aide à connaitre la taille ?
Bref.
Idéal pour se faire un Marseille-Paris.
Je confirme que ça n'est pas d'un niveau littéraire supérieur, quoique somme toute assez classique dans le récit avec un mélange d'imparfait et de passé composé. Pas de fioritures, quelques pensées mais pas trop et une description brute (je dirais, vu le sujet et pour faire un peu d'humour, clinique), factuelle.
C'est un témoignage (si l'on veut bien admettre, l'autrice le répète à l'envie, qu'il s'agit là d'un récit autobiographique).
Je n'ai pas retrouvé les émotions que m'aura procuré le film (au final assez fidèle).
Ce que je me garderai bien de dire à ma belle fille lorsque je la forcerai à bouquiner ce petit livre.
 
À l'envi ! C'est une erreur que je retrouve assez souvent.

Je confirme que ça n'est pas d'un niveau littéraire supérieur, quoique somme toute assez classique dans le récit avec un mélange d'imparfait et de passé composé. Pas de fioritures, quelques pensées mais pas trop et une description brute (je dirais, vu le sujet et pour faire un peu d'humour, clinique), factuelle.
C'est bien ce que je disais : fade, quelconque et en fin de compte assez inintéressant.

D'ailleurs, j'ai commencé ce matin la correction du bac de français, j'espère trouver de belles pépites comme il en arrive parfois. Il faudrait aussi que je jette un œil au bac de philo, c'est toujours très intéressant.
 
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Réactions: lamainfroide
L'un de vous sait-il si la taille des caractères est spécifiée quelque part dans les bouquins ?
Je cherche sur le net et je ne trouve rien qui pourrait me donner des indications.
Si je dis que j'ai compté une moyenne de 45 caractères par ligne (en comptant les espaces), ça aide à connaitre la taille ?
Le gris typographique – la zone de caractères inscrite dans la page – dépend de l’empagement – les blancs entourant la zone de caractères. 45 glyphes dans 5 cm ou 20 cm ne donnent la même hauteur de caractères.

Cela dit, c’est sûrement mis en page avec du point DTP – desktop publishing point. Ce point vaut 1/72 de pouce. Comme tu as un mètre ruban en – mais sûrement pas de typomètre – tu peux essayer de mesurer la hauteur de caractères. Sans entrer dans le détail, mesure la hauteur entre deux lignes, convertit en points et soustrait deux ou trois points pour l’interligne et tu auras la hauteur du caractère utilisé. Tout ceci dépend du nombre de graduations inscrites sur ton ruban pour un pouce. Normalement c’est gradué de trois en trois points.
 
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Réactions: lamainfroide et Gwen
À l'envi ! C'est une erreur que je retrouve assez souvent.
Ah ben v'là une autre de mes erreurs récurrentes.
C'est bien ce que je disais : fade, quelconque et en fin de compte assez inintéressant.

D'ailleurs, j'ai commencé ce matin la correction du bac de français, j'espère trouver de belles pépites comme il en arrive parfois. Il faudrait aussi que je jette un œil au bac de philo, c'est toujours très intéressant.
J'en lis un autre, histoire de voir si son style (plutôt proche du manque de style) est identique.
Quelques fois, les auteurs s'amusent, changent les codes entre leurs écrits.
Et puis, je ne peux décemment pas me faire un avis définitif sur un seul bouquin.
Et là, attention, ça semble un peu plus riche et un peu plus imagé.
Mais c'est pas Broadway.

Je compte sur toi pour nous régaler de quelques perles.
Le gris typographique – la zone de caractères inscrite dans la page – dépend de l’empagement – les blancs entourant la zone de caractères. 45 glyphes dans 5 cm ou 20 cm ne donnent la même hauteur de caractères.

Cela dit, c’est sûrement mis en page avec du point DTP – desktop publishing point. Ce point vaut 1/72 de pouce. Comme tu as un mètre ruban en – mais sûrement pas de typomètre – tu peux essayer de mesurer la hauteur de caractères. Sans entrer dans le détail, mesure la hauteur entre deux lignes, convertit en points et soustrait deux ou trois points pour l’interligne et tu auras la hauteur du caractère utilisé. Tout ceci dépend du nombre de graduations inscrites sur ton ruban pour un pouce. Normalement c’est gradué de trois en trois points.
Merci.
Alors, pour ce qui est du gris typographique (j'espère avoir compris et employer les bons termes), les 45 glyphes sont compris sur 8 cm pour un empagement de 3 cm (1,5 de chaque côté) puisqu'il s'agit d'un format poche (11 cm de largeur).
Je m'étonne de remarquer que sur un autre bouquin ayant des caractères plus petit (sensiblement d'une hauteur habituelle), je retrouve les mêmes caractéristiques : 45 glyphes sur 8 cm et empagement de 3 cm.
Je suis dans l'expectative.

Du coup, j'utilise la méthode consistant à mesurer la hauteur entre deux lignes.
Pour les gros caractères, j'ai 0,125 pouces.
Soit, si j'ai compris 0,125/(1/72) = 9 points
Auquel j'enlève 3 points, soit 6 points (j'ai pas compris pourquoi il faut enlever 2 ou 3 points pour l'interligne).
Pour les caractères classique, j'ai 0,062 pouces.
Soit 4,49 points, moins les 3 points 1,5 points (grosso modo)
Quelque chose m'échappe, ça ferait que les gros caractères sont 4 fois plus gros que les caractères classiques.
Ce qui n'est pas le cas.
Je dirais qu'ils sont 1,5 fois plus gros, au maximum (voir plus loin).
L'air de rien, visuellement ça fait du gros caractère.
L'air de rien, toujours, ceci semble indiquer que je n'ai rien compris à l'explication d'aCLR

Peut-être que pour vous faire mieux appréhender la chose je devrais plutôt utiliser un autre biais.
Disons qu'avec une hauteur de caractères habituelle, une page pleine (pour un bouquin format poche) comporte environ 32 lignes.
Alors que ce bouquin écrit gros ne comporte que 24 lignes par pages.
1,33 fois moins de ligne par page (et, peut-être des caractères 1,33 fois plus gros).
D'où, et là je ne pense pas me gourer, le fait qu'on doit pouvoir estimer qu'avec des caractères de taille habituelle, ce bouquin de 130 pages n'en ferait plus que 99*
Tout ça pour dire à quel point ce bouquin ne serait pas lourd s'il était écrit en caractères normaux.

En même temps, je m'épuise à faire des calculs savants pour que vous puissiez visualiser la chose, mais, si ça se trouve, vous n'en avez cure et je ne fais que vous polluer avec mes conneries.

* J'explique ce calcul, car tout le monde aura bien compris que 130/1,33 ne fait pas 99.
C'est simple.
Le bouquin écrit gros fait 130 pages, avec un récit qui commence à la 11ème page.
Soit 119 pages de récit.
Avec, donc, 10 pages pour la bio, le titre et autres bêtises.
En caractères classique, ça nous fait donc 119/1,33 = 89 pages de récit.
Auxquelles je rajoute les 10 pages d'introduction, soit 99 pages.
CQFD.