C'est un jardin irréel au milieu du minéral. Il aurait été planté par Nabochodonosor lui-même : on dit qu'il se serait arrêté là un soir, aurait regardé le ciel et choisi ce lieu pour jardin.
Je l'ai trouvé au détour d'un itinéraire, toujours pas achevé d'ailleurs. Le seul toit y est la voûte des arbres, la seule musique celle de ses feuilles. Même le chant des sitars ne l'égale pas.
Le soir nous nous y retrouvons à la lumière des lucioles, venus ici déguster le nectar et l'ivresse qui l'accompagne, insatiables.