et avec la tête ? v2
- Créateur du sujet aricosec
- Date de début
- Statut
macmarco a dit:
macelene a dit:
:love:
ergo c'est Descartes qui va être content
(et moi aussi, mais je suis moins people quand même
)
Les feux de la saint-jean.
Je me souviens de mes premières vacances avec ma cousine Émilie. Nous étions partis avec ses parents dans leur caravane flambant neuve, modèle "saint-jean" ou "saint-christophe", je ne sais plus très bien (en tout cas c'était le grand luxe pour l'époque). Personnellement, je n'avais d'yeux que pour la poitrine naissante de ma cousine (celle de ma tante ayant de puis longtemps cédé à l'attraction terreste) et surtout de ses tétons saillants qui me faisaient ostensiblement penser à des petits cornichons (moitié cors, moitié nichons). C'est pourquoi (tout à mon occupation de lorgnage), lorsque la caravane s'est détachée, je ne l'ai pas remarqué tout de suite. Ma tante dormait, ma cousine se cabrait pour me faire plaisir, et mon oncle essayait avec force interjections, de faire sortir un scarabée de l'habitacle. Soudain, le bruit de l'attache trainant sur le sol réveilla tout le monde. Et branle-bas de combat, coups de patins, nous descendiment évaluer les dégats. Un coup de marteau a suffi à redresser la pièce tordue, mais lors de son arrêt brutal contre un platane, les feux de la saint-jean avaient explosé en gerbe dans les taillis comme le fruit de ma virilité naissante dans mon bermuda (quelle métaphore, mes amis).
Vala, vala... (écrit d'une traite sans brouillon, soyez indulgents)
Je me souviens de mes premières vacances avec ma cousine Émilie. Nous étions partis avec ses parents dans leur caravane flambant neuve, modèle "saint-jean" ou "saint-christophe", je ne sais plus très bien (en tout cas c'était le grand luxe pour l'époque). Personnellement, je n'avais d'yeux que pour la poitrine naissante de ma cousine (celle de ma tante ayant de puis longtemps cédé à l'attraction terreste) et surtout de ses tétons saillants qui me faisaient ostensiblement penser à des petits cornichons (moitié cors, moitié nichons). C'est pourquoi (tout à mon occupation de lorgnage), lorsque la caravane s'est détachée, je ne l'ai pas remarqué tout de suite. Ma tante dormait, ma cousine se cabrait pour me faire plaisir, et mon oncle essayait avec force interjections, de faire sortir un scarabée de l'habitacle. Soudain, le bruit de l'attache trainant sur le sol réveilla tout le monde. Et branle-bas de combat, coups de patins, nous descendiment évaluer les dégats. Un coup de marteau a suffi à redresser la pièce tordue, mais lors de son arrêt brutal contre un platane, les feux de la saint-jean avaient explosé en gerbe dans les taillis comme le fruit de ma virilité naissante dans mon bermuda (quelle métaphore, mes amis).
Vala, vala... (écrit d'une traite sans brouillon, soyez indulgents
)
aricosec a dit:allez ! hue la noiraude,active blanchette !:siffle:
C'est pas Marijac, ou un truc comme ça, l'auteur de cette BD ?
Un résistant qui s'est recyclé dans le dessin après-guerre, je crois.
.guytantakul a dit:
et meme bien recyclé,
,aussi j'ai prevenu tout le monde avant,je repique les imagespar devotion a ce genial bedeiste(1)seul les textes sont miserablement ajoutés par
l'immonde vers de terre aricosec,
.
1(oui je sais:o )
Comme chaque année aux feu de St Jean, Gerard prend son courage dans Samain.
Habituelement, c'est le plus fort, le plus veloce au dessus du feu, tout le monde crie "Metaphore Gerard, c'est pas du jeu!" Mais pas cette année. Le pauvre gerard met un pied dans les braises (aux negres). Il declarera : "je ne sais pas scarabé" car oui, tout était la : il était enrhumé et a mis le pied dans la marre. Tôt se terminait la soirée pour ce Gerard qui s'était planté comme un gros naze, un cornichon.
Maigre serait sera ma gloire avec ce tit texte, carvane facile petite gloire
Habituelement, c'est le plus fort, le plus veloce au dessus du feu, tout le monde crie "Metaphore Gerard, c'est pas du jeu!" Mais pas cette année. Le pauvre gerard met un pied dans les braises (aux negres). Il declarera : "je ne sais pas scarabé" car oui, tout était la : il était enrhumé et a mis le pied dans la marre. Tôt se terminait la soirée pour ce Gerard qui s'était planté comme un gros naze, un cornichon.
Maigre serait sera ma gloire avec ce tit texte, carvane facile petite gloire
aricosec a dit:.
et meme bien recyclé,
par devotion a ce genial bedeiste(1)seul les textes sont miserablement ajoutés par
l'immonde vers de terre aricosec,
.
1(oui je sais:o )
Je ne connais pas bien, mais je dois avoir quelque part 2 de ses albums sur la guerre 39/45 (de la fin des années 50) en assez bon état (sauf que la colle du dos se durcit et les feuilles se barrent, comme sur toutes les bd de l'époque - saleté de colle)
encore une histoire de vacances,GUYTANTAKUL m'a doublé
m'en fous NA !
feux de la saint-jean ou fête du solstice, comme vous l'entendez.
.
et comme mots : caravane,marteau,scarabée,cornichon,métaphore
.-----------
cette fois ci nous etions prêts,nous avions loué une CARAVANE immense
,les momes tous joyeux gambadaient,faisant une ronde autour du monstre
ma femme etait parti chercher les dernieres valise,et jeter le coup d'oeil
des grands departs,le gaz est il fermé? l'eau et l'E D F itou,la grand mere
a t'elle son broc d'eau pour la route,et le chien ses croquettes.?
un de mes lardons casse pied,etait monté dans la roulotte,comme de juste
il n'a pas manqué de la ramener.
"hé papa tu n'as pas du bien regardé,l'interieur est tout deglingué,la porte du
placard se debine"
ecrase sale mome,ta mére va encore me le reprocher tout le long du trajet,
passe moi donc le MARTEAU,je vais reparer ça en moins de deux.
ma reguliere revenue,l'appel de la smala fait et embarqué, on etait prets.
la maison ambulante demarrée,nous filons allegrement les vingt noeuds sur
cette route brulante,seul les fêtes de la saint jean me font partir en juin,les jours
plus longs aussi d'ailleurs,et bien sur ma bretagne cherie,du nord au sud,d'est
en ouest je t'aime,sous le soleil ou sous la pluie je t'adore,mes racines bien
plantées dans ta terre,meme si je m'egare par moment,comme un elastic,je suis
vers toi ramené,aucun paysage ne peut rivaliser avec tes cotes aux rochers
colorés,tes campagnes irrisées,et ton cidre bouché
roulant peinard,mollement accroché au cerceau,je drive cool,au bout de quelques heures
,la faim me decoche un coup de poignard,en deux secondes je cravate un casse dalle
préparé le matin,la fougue de mon geste fait que deux CORNICHONS s'echappe du sandwitch,
une pirouette en l'air et ils atterrisent entre les seins de ma bourgeoise,surprise et
refroidit par les deux intrus,elle fait un saut de carpe et renverse son verre
d'orangeade sur les cuisses de la mamy qui roupillait,le couac de l'ancetre
faillit me faire perdre ma ligne de mire,en l'occurence une pompe a essence idoine
les momes préférent celle la pour les pins cadeaux,malgré que leur carburant est toujours
rallongé a la flotte ,je m'arrete pour eviter les braillements,non sans avoir ecrabouillé
au passage un connard de SCARABEE en guoquette,une giclure verte vint decoré
le bas du pantalon d'un quidam qui glandouillait sur le bitume.je stoppait
et descendit de suite,mes jambes eurent du mal a reparer mon assiette,
je faillis m'etaler sur le tarmac de la station,chiotte de chiotte,on croierait que je suis beurré
je suis pourtant a jeun surprisége(1) a la cantonnade,ce doit etre le fait de ne pas bouger en
voiture qui te bloque dit intelligement ma femme.
ça c'est une lapalissade m'entendige(1)
lui retorquer,que nenni me refuta t'elle,c'est une METAPHORE,la rage me prenant je torgnolai
l'ainée en lui disant,toi la prochaine fois si tu instruit encore ta mére tu auras affaire a moi.
"metaphore,metaphore,est ce que j'ai une gueule de metaphore ? finit je de hurler.
le reservoir empli jusqu'a la gueule,nous repartimes courageusement a l'assaut de l'alsphalte
la pluie qui commençait a tomber ,presageait mal des solstices d'été.
seul merlin dans la foret de broceliande saurait nous sauver
avec ca fameuse phrase magique
"merlin un jour
merlin toujours
"
(1)oui je sais,mais je l'aime mieux comme ça, cher LOUSTIC
m'en fous NA !
feux de la saint-jean ou fête du solstice, comme vous l'entendez.
.
et comme mots : caravane,marteau,scarabée,cornichon,métaphore
.-----------
cette fois ci nous etions prêts,nous avions loué une CARAVANE immense
,les momes tous joyeux gambadaient,faisant une ronde autour du monstre
ma femme etait parti chercher les dernieres valise,et jeter le coup d'oeil
des grands departs,le gaz est il fermé? l'eau et l'E D F itou,la grand mere
a t'elle son broc d'eau pour la route,et le chien ses croquettes.?
un de mes lardons casse pied,etait monté dans la roulotte,comme de juste
il n'a pas manqué de la ramener.
"hé papa tu n'as pas du bien regardé,l'interieur est tout deglingué,la porte du
placard se debine"
ecrase sale mome,ta mére va encore me le reprocher tout le long du trajet,
passe moi donc le MARTEAU,je vais reparer ça en moins de deux.
ma reguliere revenue,l'appel de la smala fait et embarqué, on etait prets.
la maison ambulante demarrée,nous filons allegrement les vingt noeuds sur
cette route brulante,seul les fêtes de la saint jean me font partir en juin,les jours
plus longs aussi d'ailleurs,et bien sur ma bretagne cherie,du nord au sud,d'est
en ouest je t'aime,sous le soleil ou sous la pluie je t'adore,mes racines bien
plantées dans ta terre,meme si je m'egare par moment,comme un elastic,je suis
vers toi ramené,aucun paysage ne peut rivaliser avec tes cotes aux rochers
colorés,tes campagnes irrisées,et ton cidre bouché
roulant peinard,mollement accroché au cerceau,je drive cool,au bout de quelques heures
,la faim me decoche un coup de poignard,en deux secondes je cravate un casse dalle
préparé le matin,la fougue de mon geste fait que deux CORNICHONS s'echappe du sandwitch,
une pirouette en l'air et ils atterrisent entre les seins de ma bourgeoise,surprise et
refroidit par les deux intrus,elle fait un saut de carpe et renverse son verre
d'orangeade sur les cuisses de la mamy qui roupillait,le couac de l'ancetre
faillit me faire perdre ma ligne de mire,en l'occurence une pompe a essence idoine
les momes préférent celle la pour les pins cadeaux,malgré que leur carburant est toujours
rallongé a la flotte ,je m'arrete pour eviter les braillements,non sans avoir ecrabouillé
au passage un connard de SCARABEE en guoquette,une giclure verte vint decoré
le bas du pantalon d'un quidam qui glandouillait sur le bitume.je stoppait
et descendit de suite,mes jambes eurent du mal a reparer mon assiette,
je faillis m'etaler sur le tarmac de la station,chiotte de chiotte,on croierait que je suis beurré
je suis pourtant a jeun surprisége(1) a la cantonnade,ce doit etre le fait de ne pas bouger en
voiture qui te bloque dit intelligement ma femme.
ça c'est une lapalissade m'entendige(1)
lui retorquer,que nenni me refuta t'elle,c'est une METAPHORE,la rage me prenant je torgnolai
l'ainée en lui disant,toi la prochaine fois si tu instruit encore ta mére tu auras affaire a moi.
"metaphore,metaphore,est ce que j'ai une gueule de metaphore ? finit je de hurler.
le reservoir empli jusqu'a la gueule,nous repartimes courageusement a l'assaut de l'alsphalte
la pluie qui commençait a tomber ,presageait mal des solstices d'été.
seul merlin dans la foret de broceliande saurait nous sauver
avec ca fameuse phrase magique
"merlin un jour
merlin toujours
"
(1)oui je sais,mais je l'aime mieux comme ça, cher LOUSTIC
Merci Macelene
J'ai déjà posté quelques textes ici bas il y a longtemps (dans la v1), mais personne ne doit plus s'en souvenir aujourd'hui
J'ai déjà posté quelques textes ici bas il y a longtemps (dans la v1), mais personne ne doit plus s'en souvenir aujourd'hui
- Statut
