Nephou a dit:Roberto pour qui je vote au moins pour ne pas avoir à laffronter lors du prochain thème
à très bientôt
et encore merci à tous et bravo
Excellente idée, bravo Roberto
et avec la tête ?
- Créateur du sujet aricosec
- Date de début
- Statut
Excellente idée, bravo Roberto
.Nephou a dit:roberto pour qui je vote au moins pour ne pas avoir à l’affronter lors du prochain thème
.
ouais,enfin normalement c'était un truc pour les amateurs,personne n'avait appelé les pros.....mouarff..........scrongneu....
.
aricosec a dit:troublé par l'inquiétude de BARBARELLA au suget de LUCG,j'ai tenquétéet finalement reçu une carte postal.
ou l'on voit le dilemne d'un grand penseur.
LUCG a la plage
.
Te tracasse pas, Arico, je rentre demain, et pas de la plage : je ne suis pas fou. Au moins, en Lozère, les nuits étaient fraîches. À bientôt
C'est en cours, le chapitre premier est terminé, si j'ai le courage j'attaque ce soir le second, demain le troisième et ainsi de suite, jusqu'au 20 août.
Ce sera pour quand les résultats ?
Ce sera pour quand les résultats ?
Bon, alors, plus tôt que prévu, huuuum, huuuum,
SUPPLÉMENT CHANTILLY
Chapitre un : Arrêtes tes salades
Et merde, vlà quil ma encore pété une dent, glapissait, Lulu la Gangrène, en crachant bruyamment quelques flots de sang.
Son jules, proxénète indépendant, qui la soutenait depuis maintenant plusieurs années, la regardait dun air hébété, il nen revenait pas que cette morue puisse avoir un langage aussi salé.
Il se saisit du sac de la Lulu, du pur croco, imitation skaï, et en tira dun air écoeuré un mouchoir dont elle se servait les jours de trop plein, quand les beurrées qu elle prenait lobligeaient à rendre plus vite que prévu les verres quon lui avait payés.
En tenant délicatement le mouchoir il en tapota la lèvre de la Lulu, qui en avait profité, pour séclater au moment du choc avec la dent.
La Lulu sempara du bras de son Jules et le tordant de toutes ses forces déclara : Non mais, tes un gros dégueulasse, toi, un mouchoir tout propre qua presque jamais servi.
- Mais ma Lulu, tu peux pas rester comme ça, faut te soigner
- Ouais et maintenant, ça va sinfectionner, jvais avoir lair fine, elles vont dire quoi les copines ?
- Tinquiètes ma Lulu pour moi tu seras toujours la plus belle
- Ouais, des boniments tout ça, file moi un coup à boire et arrêtes tes salades.
Chapitre II : Les good vibrations
Lhôtel où logeaient la Lulu et son Jules, cétait pas vraiment un cinq étoiles. Une chambre de 12 mètres carrés, savamment décorée par la Lulu, dun immense poster de Bruce Willis, de quelques photos de canards, prises lors dune promenade au lac du Bois de Boulogne, et de quelques babioles gagnées dans les loteries de la fête à Neuneu. La Lulu avait su créer une atmosphère quon ne pourrait qualifier de romantique, mais propre à elle même, disons, originale.
Cest dans cette chambre minable que la Lulu et son Jules avaient passé leur première nuit dengueulades. Lui, avait tout de suite senti, que cette femme avait du tempérament, et quensemble ils feraient de grandes choses.
Cest un soir, épuisée, par les cris, les claques et les coups de pompes, quelle se réfugia dans ses bras et quelle lui dit :
- Mon Jules, jai pour toi les good vibrations.
Chapitre III :Quand Jules soutient à bout de bras la carrière de la Lulu
Jules, ne sétait pas trompé, il avait tout de suite décelé, les talents de la Lulu, avec sa manière toute particulière de gouailler et de haranguer le chaland. Elle savait y faire, avec les hommes la Lulu, une fois entre ses griffes, ils nen réchappaient pas. Elle les faisait boire, jusquà ce quils vident portefeuilles, comptes en banque et Livrets A.
Un jour, il y en a eu un qui lui avait même offert, une montre Cartier, achetée à Singapour pour 10 euros et quelle avait réussi à revendre 15. Le sens du commerce, quelle avait la Lulu, et travailleuse avec ça, jamais une plainte, toujours prête, consciencieuse en un mot.
Jules, sétait décidé, après une engueulade particulièrement violente avec la Lulu, le soir où il lui avait cassé sa première dent, il prendrait en main la destinée de la Lulu, en ferait la reine du tapin, légérie des soiffards, la Miss monde de Pigalle. Il y croyait, il le ferait, il soutiendrait à bout de bras la carrière de la Lulu.
Chapitre IV : La Lulu est affolée
- P***** de b***** de m****, quest-ce quil est c** ce mac.
Jules en était à son deuxième kernel panic, incapable de pousser plus avant lexploration quil avait commencée de la personnalité de la Lulu. Elle tenta un reboot, sans succès. Découragée, elle estima, quil valait mieux, reprendre à zéro, formater, réinstaler, uploader, downloader, uploader, downloader, uploader, downloader, uploader, downloader, uploader, downloader, (encore ?) uploader, downloader, uploader, downloader, uploader, downloader, (bon, une dernière fois) uploader, downloader. Devant la passivité de son mac la Lulu décida, de sortir pour boire un dernier coup. Elle était affolée.
Chapitre V : désir rime avec excuses
Le lendemain, sortant dun sommeil lourd mais sans conséquence, Jules, se souvint quil avait inopinément quitté la scène sur laquelle la Lulu essayait de le retenir. Il se sentait penaud et mal à laise, il lui fallait faire quelque chose, elle avait envie dun parapluie depuis quelques temps, (un peu banal) un bijou, (trop cher), un restaurant (ah, oui, la bonne idée). Il linvita donc chez un de ses copains, restaurateur de son état.
Gourmande quelle était, elle choisit quelques asperges en entrée, un râble de lapin au jus de carotte, puis une farandole dabricots.
Le désir de Jules était immense, il se confondait en excuses.
Chapitre VI : SUPPLÉMENT CHANTILLY
Le repas touchait à sa fin, le garçon, se dirigeait vers eux, en sinclinant légèrement il demanda :
- Prendrez-vous autre chose ?
- La Lulu murmura oui, un supplément chantilly à la maison
Chapitre VII : Ecran noir, rectangle blanc
SUPPLÉMENT CHANTILLY
Chapitre un : Arrêtes tes salades
Et merde, vlà quil ma encore pété une dent, glapissait, Lulu la Gangrène, en crachant bruyamment quelques flots de sang.
Son jules, proxénète indépendant, qui la soutenait depuis maintenant plusieurs années, la regardait dun air hébété, il nen revenait pas que cette morue puisse avoir un langage aussi salé.
Il se saisit du sac de la Lulu, du pur croco, imitation skaï, et en tira dun air écoeuré un mouchoir dont elle se servait les jours de trop plein, quand les beurrées qu elle prenait lobligeaient à rendre plus vite que prévu les verres quon lui avait payés.
En tenant délicatement le mouchoir il en tapota la lèvre de la Lulu, qui en avait profité, pour séclater au moment du choc avec la dent.
La Lulu sempara du bras de son Jules et le tordant de toutes ses forces déclara : Non mais, tes un gros dégueulasse, toi, un mouchoir tout propre qua presque jamais servi.
- Mais ma Lulu, tu peux pas rester comme ça, faut te soigner
- Ouais et maintenant, ça va sinfectionner, jvais avoir lair fine, elles vont dire quoi les copines ?
- Tinquiètes ma Lulu pour moi tu seras toujours la plus belle
- Ouais, des boniments tout ça, file moi un coup à boire et arrêtes tes salades.
Chapitre II : Les good vibrations
Lhôtel où logeaient la Lulu et son Jules, cétait pas vraiment un cinq étoiles. Une chambre de 12 mètres carrés, savamment décorée par la Lulu, dun immense poster de Bruce Willis, de quelques photos de canards, prises lors dune promenade au lac du Bois de Boulogne, et de quelques babioles gagnées dans les loteries de la fête à Neuneu. La Lulu avait su créer une atmosphère quon ne pourrait qualifier de romantique, mais propre à elle même, disons, originale.
Cest dans cette chambre minable que la Lulu et son Jules avaient passé leur première nuit dengueulades. Lui, avait tout de suite senti, que cette femme avait du tempérament, et quensemble ils feraient de grandes choses.
Cest un soir, épuisée, par les cris, les claques et les coups de pompes, quelle se réfugia dans ses bras et quelle lui dit :
- Mon Jules, jai pour toi les good vibrations.
Chapitre III :Quand Jules soutient à bout de bras la carrière de la Lulu
Jules, ne sétait pas trompé, il avait tout de suite décelé, les talents de la Lulu, avec sa manière toute particulière de gouailler et de haranguer le chaland. Elle savait y faire, avec les hommes la Lulu, une fois entre ses griffes, ils nen réchappaient pas. Elle les faisait boire, jusquà ce quils vident portefeuilles, comptes en banque et Livrets A.
Un jour, il y en a eu un qui lui avait même offert, une montre Cartier, achetée à Singapour pour 10 euros et quelle avait réussi à revendre 15. Le sens du commerce, quelle avait la Lulu, et travailleuse avec ça, jamais une plainte, toujours prête, consciencieuse en un mot.
Jules, sétait décidé, après une engueulade particulièrement violente avec la Lulu, le soir où il lui avait cassé sa première dent, il prendrait en main la destinée de la Lulu, en ferait la reine du tapin, légérie des soiffards, la Miss monde de Pigalle. Il y croyait, il le ferait, il soutiendrait à bout de bras la carrière de la Lulu.
Chapitre IV : La Lulu est affolée
- P***** de b***** de m****, quest-ce quil est c** ce mac.
Jules en était à son deuxième kernel panic, incapable de pousser plus avant lexploration quil avait commencée de la personnalité de la Lulu. Elle tenta un reboot, sans succès. Découragée, elle estima, quil valait mieux, reprendre à zéro, formater, réinstaler, uploader, downloader, uploader, downloader, uploader, downloader, uploader, downloader, uploader, downloader, (encore ?) uploader, downloader, uploader, downloader, uploader, downloader, (bon, une dernière fois) uploader, downloader. Devant la passivité de son mac la Lulu décida, de sortir pour boire un dernier coup. Elle était affolée.
Chapitre V : désir rime avec excuses
Le lendemain, sortant dun sommeil lourd mais sans conséquence, Jules, se souvint quil avait inopinément quitté la scène sur laquelle la Lulu essayait de le retenir. Il se sentait penaud et mal à laise, il lui fallait faire quelque chose, elle avait envie dun parapluie depuis quelques temps, (un peu banal) un bijou, (trop cher), un restaurant (ah, oui, la bonne idée). Il linvita donc chez un de ses copains, restaurateur de son état.
Gourmande quelle était, elle choisit quelques asperges en entrée, un râble de lapin au jus de carotte, puis une farandole dabricots.
Le désir de Jules était immense, il se confondait en excuses.
Chapitre VI : SUPPLÉMENT CHANTILLY
Le repas touchait à sa fin, le garçon, se dirigeait vers eux, en sinclinant légèrement il demanda :
- Prendrez-vous autre chose ?
- La Lulu murmura oui, un supplément chantilly à la maison
Chapitre VII : Ecran noir, rectangle blanc
je m'étais pourtant dit, que je ne replongerai jamais.malgré une certaine connaissance
du milieu hyppique,quelques mésaventures cuisantes,m'avait appris qu'il n'y avait
rien a affurer(du latin gagner )
,a flamber sur les canassons,les courtines étant
par excellence une maniére agréable de perdre son fric sans plus.
et ce jour du prix de diane,il me fallut même payer un supplement pour entrer sur
le magnifique hyppodrome de chantilly.
la marquise de la tronche en biais,vielle douairiere a laquelle j'avais rendu service
(non pas celui la)
,un jour de pluie en l'abritant sous mon pébroque,m'avait
informé des VIBRATIONS qu'elle avait eut pour viking 2,un pur sang qui courrait
la troisieme,j'avais donc claqué mes trente euros sur son gail.
elle avait pour jokey de sa maison,james kelfric un ecossais pur jus,son talent
reconnu par la profession avait propulsé sa CARRIERE au firmament des cracks.
depuis ce temps il ne montait en général que des chevaux qui avait la meilleure
chance.
quelle ne fut pas mon agréble surprise de voir gagner mon cheval,du six contre un
c'était inespéré pour un fav,le lad et le comte était tellement heureux qu'il porterent
james A BOUTS DE BRAS,ils le descendirent aussi sec car les jockeys de tête
étaient appelés aux balances.
comme il était de coutume les jours de grands prix,on analysait la salive du
cheval,les commissaires recevant l'analyse du véto,pousserent un cri.
hhhhoooooo...hhaaaaa.....ben merde alors...ce canasson est chouté jusque aux yeux
nous allons etre obligé de porter plainte.
la comtesse, qui avait déja sifflé sa bouteille de champ de la victoire,eut un hokey
"de quoi..hic..qu'est que c'est que ces SALADES" ,s'écria elle hors d'elle,
les yeux hagards,auréolés de bleu dégoulinant (because la chaleur,c'est vrai en ce moment
ça craint,d'ailleurs hier j'ai failli tomber dans les po......)'"ecrase papy",ouvrant
son sac,elle sorti un flingue et se mit a ajuster le commissaire en chef,espece de vieux
babouin,tu vas retirer ça tout de suite,tu prend tes DESIRS pour des réalités lui crachat
elle au visage,chez les tronches en biais,ont se shootent certes,mais seulement
au dom pérignon,si tu ne veut pas te retrouver au chomdu,vu que nous les sang bleu
ont controle a 60 pour cent le galop,tu ferais mieux de reviser ton verdict.
le gringalet,qui ressemblait plus au pépé des dessins de dubout qu'a swarzy,lui
presenta ses yeux AFFOLES,genre puceau poursuivi par cheri bibi,voyant l'écume
se coller aux coins des lévres da la harpie,claqua le beignet du veterinaire et
comfirma l'arrivée.
1_ viking 2
2_un jour peut etre
3_ pourquoipa
je me précipitait a la caisse,pour toucher mon blé,j'évitais ainsi une bise gluante
et vinasseuse de la comtesse
du milieu hyppique,quelques mésaventures cuisantes,m'avait appris qu'il n'y avait
rien a affurer(du latin gagner )
par excellence une maniére agréable de perdre son fric sans plus.
et ce jour du prix de diane,il me fallut même payer un supplement pour entrer sur
le magnifique hyppodrome de chantilly.
la marquise de la tronche en biais,vielle douairiere a laquelle j'avais rendu service
(non pas celui la)
informé des VIBRATIONS qu'elle avait eut pour viking 2,un pur sang qui courrait
la troisieme,j'avais donc claqué mes trente euros sur son gail.
elle avait pour jokey de sa maison,james kelfric un ecossais pur jus,son talent
reconnu par la profession avait propulsé sa CARRIERE au firmament des cracks.
depuis ce temps il ne montait en général que des chevaux qui avait la meilleure
chance.
quelle ne fut pas mon agréble surprise de voir gagner mon cheval,du six contre un
c'était inespéré pour un fav,le lad et le comte était tellement heureux qu'il porterent
james A BOUTS DE BRAS,ils le descendirent aussi sec car les jockeys de tête
étaient appelés aux balances.
comme il était de coutume les jours de grands prix,on analysait la salive du
cheval,les commissaires recevant l'analyse du véto,pousserent un cri.
hhhhoooooo...hhaaaaa.....ben merde alors...ce canasson est chouté jusque aux yeux
nous allons etre obligé de porter plainte.
la comtesse, qui avait déja sifflé sa bouteille de champ de la victoire,eut un hokey
"de quoi..hic..qu'est que c'est que ces SALADES" ,s'écria elle hors d'elle,
les yeux hagards,auréolés de bleu dégoulinant (because la chaleur,c'est vrai en ce moment
ça craint,d'ailleurs hier j'ai failli tomber dans les po......)'"ecrase papy",ouvrant
son sac,elle sorti un flingue et se mit a ajuster le commissaire en chef,espece de vieux
babouin,tu vas retirer ça tout de suite,tu prend tes DESIRS pour des réalités lui crachat
elle au visage,chez les tronches en biais,ont se shootent certes,mais seulement
au dom pérignon,si tu ne veut pas te retrouver au chomdu,vu que nous les sang bleu
ont controle a 60 pour cent le galop,tu ferais mieux de reviser ton verdict.
le gringalet,qui ressemblait plus au pépé des dessins de dubout qu'a swarzy,lui
presenta ses yeux AFFOLES,genre puceau poursuivi par cheri bibi,voyant l'écume
se coller aux coins des lévres da la harpie,claqua le beignet du veterinaire et
comfirma l'arrivée.
1_ viking 2
2_un jour peut etre
3_ pourquoipa
je me précipitait a la caisse,pour toucher mon blé,j'évitais ainsi une bise gluante
et vinasseuse de la comtesse
A
Anonyme
Invité
Roberto Vendez a dit:Toujours élégant, notre ami Arico !
Bien, c'est ce qu'on appelle UN BON DÉBUT !
(Heureusement que je participe pas cette fois-ci : vous mettez la barre très haut, si je puis dire sans que vous me soupçonniez de sous-entendus graveleux déplacés en ces pages !)
Roberto Vendez a dit:
Nan : Barbarella veut sortir du bar, mais Global Cut la retient par la chaussure !
NB : regarde, Barbarella : y a une sortie dégagée là sur la gauche !
c'est qui les 2 autres ?
De retour de vacances ya pas dix minutes, et déjà sur MacGé : cest mon amie qui vas râler. En fait, non, cest pas son style et pis elle est partie « sous coller » avec ses copines carabines
Bon ben un macdo un dvd et je my mets.
Merci pour le délai roberto
Bon ben un macdo un dvd et je my mets.
Merci pour le délai roberto
Nephou a dit:
Tiens çà faisait longtemps pour moi aussi une participation dans ce thread (
Le serveur conteur
En ces temps reculés (attention à la falaise fait gaffe
)
Me voici venu vous conter
Une histoire dont je ne sais
Comment je vais l''achever.
Je tiens ce récit à bout de bras
Comme un serveur affolé un peu gras
Qui amène à ses clients bêtes
Un poulet cuit sans queue ni tête.
Un peu comme à l'accoutumée,
Les clients de ce bar ou ce café
Ont hate de se délecter
De quelques ver(re)s bien chaloupés.
Voici donc une méloppée
Qui vous sera servie bien frais ;
Qui j'en suis sur vous f'ra plaisir
Et sustentra tous vos désirs.
Pour tenter de vous émoustiller
Point de salades vous sont contées.
Car pour les vibrations du palais
Mes quelques mots y sont comptés.
Je ne sais si mon écrit fera carrière,
Le cas échéant il me reste mon derrière
Pour pouvoir m'essuyer proprement
Avec mes quelques bons sentiments,
Qui brillent pour une fois (vaut mieux rester prudent)
Par l'absence de ma star Bébert !
Point non plus besoin d'affabuler ici,
De morale vous n'en trouverez point,
Comme sur une deux boules vanille/coing
Où il n'y a point de chantilly.
Fraise tagada tsoin tsoin !
En ces temps reculés (attention à la falaise fait gaffe
Me voici venu vous conter
Une histoire dont je ne sais
Comment je vais l''achever.
Je tiens ce récit à bout de bras
Comme un serveur affolé un peu gras
Qui amène à ses clients bêtes
Un poulet cuit sans queue ni tête.
Un peu comme à l'accoutumée,
Les clients de ce bar ou ce café
Ont hate de se délecter
De quelques ver(re)s bien chaloupés.
Voici donc une méloppée
Qui vous sera servie bien frais ;
Qui j'en suis sur vous f'ra plaisir
Et sustentra tous vos désirs.
Pour tenter de vous émoustiller
Point de salades vous sont contées.
Car pour les vibrations du palais
Mes quelques mots y sont comptés.
Je ne sais si mon écrit fera carrière,
Le cas échéant il me reste mon derrière
Pour pouvoir m'essuyer proprement
Avec mes quelques bons sentiments,
Qui brillent pour une fois (vaut mieux rester prudent)
Par l'absence de ma star Bébert !
Point non plus besoin d'affabuler ici,
De morale vous n'en trouverez point,
Comme sur une deux boules vanille/coing
Où il n'y a point de chantilly.
Fraise tagada tsoin tsoin !
Nephou a dit:euh, mes quelques instants seront peut-être un peu plus long : je suis devant le dvd là
visiblement endormi
- Statut
