et avec la tête ?

Statut
Ce sujet est fermé.
barbarella a dit:
Désolée, j'avais pas vu allez on va jusqu'à douze, pour faire plaisir à arico
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il n'y a rien de tel que les faux départ pour enerver le monde,c'est vrai,tu vois une chaise a gauche en rentrant,tu t'en fout,dés qu'elle disparait tu t'inquiete,c'est naturel,la chaise revient donc et va essayer de trouver un théme chiadé
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chiotte ! ,j'ai des pensées si profondent que ça m'en donne le vertigo
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a tout de suite
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j'arrive
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vous impatientez pas
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circonstances atténuantes pour le meurtre d'un posteur macg (celui que vous voulez)
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pour de faut bien sur,les jeunes sont priés de ne pas prendre ça au pied de la lettre
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.présentez donc vos raisons a votre avocat
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les mots a inclure
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rasoir,escarpolette,vitamine,explosion,marginal
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aricosec a dit:
circonstances atténuantes pour le meurtre d'un posteur macg (celui que vous voulez)
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pour de faut bien sur,les jeunes sont priés de ne pas prendre ça au pied de la lettre
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.présentez donc vos raisons a votre avocat
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les mots a inclure
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rasoir,escarpolette,vitamine,explosion,marginal
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dziiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii dziii dziii dziiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii (bruit de cout… de plume que l’on affûte)

« C’est partit »



[edit=j'avais mis mon texte dans la citation]bouh[/edit]
 
Qu'est-ce que t'es rasoir, espèce de marginal !
Chacun de tes posts fait l'effet d'une explosion digne des plus grands films catastrophe. Moi-même, pourtant élevé à la vitamine, je n'ai pu résister à tes mots. J'ai pourtant réfléchi, me balançant longuement sur mon escarpolette, mais, faut pas m'en vouloir. Si j'ai décidé de t'éliminer, c'est que ce jour-là, y avait plus d'papier.
 
Maître, écoutez-moi, je vais vous expliquer, bon c’est vrai, j’ai commis un meurtre, mais il faut quand même me comprendre.
J’étais chez moi, je postais sur MacG, quand quelqu’un a sonné à ma porte. Un type à l’allure louche se tenait sur le palier, il avait une drôle tête, une tête de lapin, un lapin blanc, oui, je me souviens très bien, un lapin blanc. Il m’a dit qu’il s’appelait Finn, Finn_Atlas je crois.
Il tendait sa main ouverte vers moi, j’aperçu deux pilules, une rouge et une bleue. Il me dit d’en prendre une et de l’avaler. J’ai cru que c’était des vitamines, alors je n’ai pas hésité, j’ai pris la pilule rouge.
À peine l’avais-je avalée que je me suis sentie aspirée dans un énorme vortex, ça n’en finissait pas, tout volait autour de moi, j’ai cru que ma dernière heure avait sonné.
Quand ça s’est arrêté, je me suis retrouvée dans une immense salle, des gens s’interpellaient par ci, par là. Ils avaient de drôles de noms, Thebig, aricosec, anntraxh. Il y en avait un qui courait après un certain Sonnyboy, le menaçant d’un rasoir, c’était apocalyptique.
Tout à coup il y eu une explosion, tout s’est mis à clignoter, les flammes commençaient à dévorer les ordinateurs sur lesquels tapotaient des mains fébriles et impatientes. Un certain Roberto se leva brusquement, il hurlait, il s’arrachait les cheveux, il considérait l’image d’une certaine Monica entrain de fondre en même temps que l’écran qui les avait toujours séparés. Il devenait fou, il menaçait tout le monde, alors j’ai sauté sur une escarpolette qui se trouvait juste à ma portée, ai pris mon élan, et me suis balancée en le visant. Le coup a été mortel, il ne bougeait plus, je l’avais tué. Mais pouvais-je le laisser s’en prendre à tous ces innocents ?
Je vous assure Maître, je ne recommencerai pas, cet acte, mon acte, est marginal.
C’est pour cette raison que vous implore de demander la clémence du jury.






 
je crois que BARBARELLA a trop pris au serieux le suget,j'ai dit buter des gars de MACG,mais pas ceux qui postent ici,
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pas ceux la MISS
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au fait rendu des copies pour jeudi midi
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aricosec a dit:
je crois que BARBARELLA a trop pris au serieux le suget,j'ai dit buter des gars de MACG,mais pas ceux qui postent ici,
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pas ceux la MISS
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Tu sais ceci n'est qu'une fiction arico, c'est pas notre Roberto à nous, c'est un faux
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N'empêche que j'aimerais bien voir la tête de la Monica fondue
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aricosec a dit:
je crois que BARBARELLA a trop pris au serieux le suget,j'ai dit buter des gars de MACG,mais pas ceux qui postent ici,
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pas ceux la MISS

Ah bon !
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Moi qui étais prêt à éliminer tous les posteurs de MacGé sans exception
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(même ceux qui ne sortent pas du maquis des forums techniques
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).

Bon, on essaiera de faire dans la douceur
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Peut-on au moins éliminer le Arico ?
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OK, je sors
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Nerveux, vraiment nerveux ce type. Voilà ce que se dit le petit être pâle – mais très bien habillé – en regardant le prisonnier à travers le verre blindé de la pièce mise à disposition pour les entretients entre détenus et avocats. Les feuilles de papier, tournées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin ; il est trois heures et demi et la machine à café est vidée comme l'âme des hommes au sommeil perdu qui hantent les cellules, quelque part dans ce bâtiment.

Le petit homme réalise la présence du planton que quand celui-ci fait crier la lourde porte métallique. Il sursaute. Les feuilles de papier, tombées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin. Le détenu souri. Son nom revient au petit homme : « Bonjour monsieur L...
— pas de nom, juste des pseudo !
— bien bien, alors comment dois-je vous appeler ?
— Nephou..
— ?
— Nephou ! »

Les feuilles de papier, froissées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin. Le petit homme se tasse tandis qu'un éclair orangé – l'abus de vitamines sans doute – passe dans le regard de l'homme étrange. L’index de sa main droite semble caresser un objet imaginaire, ou feuilleter quelque chose. Le petit homme décide de passer : « Passons aux choses sérieuses : vous êtes ici pour… (le petit homme cherche dans ses papiers, tournés tombés et froissés)
— m'être fait un loup.
— Tiens, on m'avait parlé d'homicide, pas de braconnage sur espèce protégée.
— le loup s'était fait homme…
— alors on peut sans doute recalifier le délit grâce à l'état antérieur de la victime. Le tout est bien sûr d'atténuer… »

Le filet de voix se tarit, l'homme étrange se meut comme assis sur une escarpolette : d'arrière en avant et inversement. Pour se donner une contenance, le petit homme classe son dossier. Les feuilles de papier, glissées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin. Si ça continue, il va faire jour. «~Si vous voulez que je vous aide il va falloir... m'aider...~» Les mots lui manquent ; quand au souffle, n'en parlons pas. L'homme étrange se redresse et le fixe. Il va parler.
« Amok…
— Pardon ?
— C'est ce qui a tout déclenché. C'est le nom de l'homme que j'ai tué… ça s'est passé dans un bar. Je me souviens parfaitement de ses murs gris et oranges, de ses habitués ganz blaue(*être gris, auf deutsch), et de ses serveurs encore verts. C'était l'un d'entre eux. Il était samoyède, nyam-nyam, malgache ou fuégien… c'est égal. Il est mort et je suis fou.
— C'est une bonne nouvelle... je veux dire... pour votre défense.
— Le fou, tût, n'est pas seul~; lui qu'on croit.
— Pardon ? »
Trop tard, l'homme étrange est de nouveau dans ses pensées et il revoit tout.

Le petit groupe – se trouvant bien à moquer – autour de lui, le chef de meute, riant à grands coups de « le Doc est vil » et autres « passera-t-il l'envieux râleur ? ». Pitoyable. Tout a basculé ensuite. La folie est venue, accompagnée d'une prière : amok, amok ! susurrée sous un regard marginal. Les repère fondent ; la colère gronde et explose. « Amok ! » l'exquis mot chasse le faux hocquet d'indignation que certains poussaient. L'explosion souffle tout sur son passage, chaises, tables, verres et cendriers – pleins ou vides – pour les projeter sur le centre d'attraction. L'Amok quête un dernier regard d'approbation avant de sombrer dans le tabac froid, le bois, le verre et la bière…. et pis taffe tirée en hommage… rideau.

Le petit homme quitte l'homme étrange… Des feuilles de papier, jetées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin. Ça y est, il fait jour.

<blockquote><font class="small"> petit jeu:</font><hr />des jeux de mots se sont dissimulés dans ce texte… saurez vous tous les trouver ?

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à bientôt, je crois que je vais aller me coucher
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hello NEPHOU,beau compte rendu,pour les jeux de mots c'est un peu tard pour piger,mais dit moi quand mëme le AMOK,tu l'as zigouillé ou pas
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aricosec a dit:
hello NEPHOU,beau compte rendu,pour les jeux de mots c'est un peu tard pour piger,mais dit moi quand mëme le AMOK,tu l'as zigouillé ou pas
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Et tu crois qu'il va avouer comme ça, en place publique, n'est pas fou, Nephou
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Nephou a dit:
des jeux de mots se sont dissimulés dans ce texte… saurez vous tous les trouver ?

Nerveux, vraiment nerveux ce type. Voilà ce que se dit le petit être pâle – mais très bien habillé – en regardant le prisonnier à travers le verre blindé de la pièce mise à disposition pour les entretients entre détenus et avocats. Les feuilles de papier, tournées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin ; il est trois heures et demi et la machine à café est vidée comme l'âme des hommes au sommeil perdu qui hantent les cellules, quelque part dans ce bâtiment.

Le petit homme réalise la présence du planton que quand celui-ci fait crier la lourde porte métallique. Il sursaute. Les feuilles de papier, tombées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin. Le détenu souri. Son nom revient au petit homme : « Bonjour monsieur L...
— pas de nom, juste des pseudo !
— bien bien, alors comment dois-je vous appeler ?
— Nephou..
— ?
— Nephou ! »

Les feuilles de papier, froissées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin. Le petit homme se tasse tandis qu'un éclair orangé – l'abus de vitamines sans doute – passe dans le regard de l'homme étrange. L’index de sa main droite semble caresser un objet imaginaire, ou feuilleter quelque chose. Le petit homme décide de passer : « Passons aux choses sérieuses : vous êtes ici pour… (le petit homme cherche dans ses papiers, tournés tombés et froissés)
— m'être fait un loup.
— Tiens, on m'avait parlé d'homicide, pas de braconnage sur espèce protégée.
— le loup s'était fait homme…
— alors on peut sans doute recalifier le délit grâce à l'état antérieur de la victime. Le tout est bien sûr d'atténuer… »

Le filet de voix se tarit, l'homme étrange se meut comme assis sur une escarpolette : d'arrière en avant et inversement. Pour se donner une contenance, le petit homme classe son dossier. Les feuilles de papier, glissées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin. Si ça continue, il va faire jour. «~Si vous voulez que je vous aide il va falloir... m'aider...~» Les mots lui manquent ; quand au souffle, n'en parlons pas. L'homme étrange se redresse et le fixe. Il va parler.
« Amok…
— Pardon ?
— C'est ce qui a tout déclenché. C'est le nom de l'homme que j'ai tué… ça s'est passé dans un bar. Je me souviens parfaitement de ses murs gris et oranges, de ses habitués ganz blaue(*être gris, auf deutsch), et de ses serveurs encore verts. C'était l'un d'entre eux. Il était samoyède, nyam-nyam, malgache ou fuégien… c'est égal. Il est mort et je suis fou.
— C'est une bonne nouvelle... je veux dire... pour votre défense.
— Le fou, tût, n'est pas seul~; lui qu'on croit.
— Pardon ? »
Trop tard, l'homme étrange est de nouveau dans ses pensées et il revoit tout.

Le petit groupe – se trouvant bien à moquer – autour de lui, le chef de meute, riant à grands coups de « le Doc est vil » et autres « passera-t-il l'envieux râleur ? ». Pitoyable. Tout a basculé ensuite. La folie est venue, accompagnée d'une prière : amok, amok ! susurrée sous un regard marginal. Les repère fondent ; la colère gronde et explose. « Amok ! » l'exquis mot chasse le faux hocquet d'indignation que certains poussaient. L'explosion souffle tout sur son passage, chaises, tables, verres et cendriers – pleins ou vides – pour les projeter sur le centre d'attraction. L'Amok quête un dernier regard d'approbation avant de sombrer dans le tabac froid, le bois, le verre et la bière…. et pis taffe tirée en hommage… rideau.

Le petit homme quitte l'homme étrange… Des feuilles de papier, jetées, claquent dans l'air froid et sec du minuscule matin. Ça y est, il fait jour.


 
Statut
Ce sujet est fermé.