La trilogie, pour moi, c'est Seventeen Seconds, Faith et Pornography. Il y règne un climat de désolation, de désespoir lucide, de dégout du monde extérieur que bien peu de groupes ont réussi à créer (à part peut-être Joy Division). Après Pornography, c'est une autre histoire qui commence, comme si Robert Smith avait exorcisé ses démons dans la violence cataclysmique de ce disque. Et cette nouvelle histoire musicale, elle m'est très vite devenue indifférente
Tout pareil que Miguel!
j'y ajoute juste le black album, en concert, parce qu'il y a quelques perles d'interprétation.