Kelle musik écoutez vous donc ? 4.0

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Découvert par l'incroyable Cosmic dancer, les T.Rex du londonien Marc Bolan me laissent totalement sous le charme avec l'excellent album Electric warrior.

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Réactions: CouleurSud
c'est dimanche, ça répéte dans le garage:D. justement un petit coup de Mr. Airplane Man, charmantes demoiselles qui font dans le garage rock/white blues bien cracra.
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l'album C'mon DJ de 2004, vraiment bien si vous voulez vous rappeler un peu du White Stripes des débuts (même label que celui où a démarré le duo du Michigan d'ailleurs).
 
Final Fantasy et son excellent He Poos Clouds

Aucun rapport musical avec le jeu si ce n'est qu'Owen Pallett, l'homme orchestre de la formation, mentionne que le nom vient du jeu. Mais on est loin de l'ambiance de jeu vidéo ;) Musique étrange, des cordes, des cuivres, j'aime beaucoup sa voix, parfois plaintive, parfois très puissante.

Merci à Pitch pour cette découverte, évidemment :zen: Déjà un peu ancien, mais un classique désormais.



 
DEATH IN JUNE - Something Is Coming

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Cet album est à plus d’un titre une aubaine pour les fans. D’abord parce qu’il s’agit du premier live officiel de DIJ (qui était de plus le premier groupe anglais à venir jouer depuis le début des hostilités !), si l’on exclut les sessions live de ‘Burial’.Ensuite, la qualité sonore de très bonne facture rendent les pirates inutiles. Enfin, un 2ème cd d’enregistrements pour la radio croatienne offre de nouvelles versions sympathiques de quelques titres. Ajoutons encore que les bénéfices de la vente de ce disque étaient à l’époque reversés à un hôpital croate qui s’occupait des victimes de la guerre, ce qui permettait donc de faire une bonne action (mamie, j’ai eu un bon point !). Si je parle au passé, c’est surtout que cette pièce de collection est épuisée depuis, et qu’à moins que vous vous soyiez fendu de la réédition vinyle de l’an passé, il faudra vous armer de patience et errer dans les conventions de disques, ou attendre un éventuelle réédition. L’interprétation est sans faille (le public peu expressif, mais à mon avis c’est surtout que DIJ n’était pas forcément très connu dans les balkans jusqu’à lors), aucun album n'est omis et les versions studios feront le bonheur des inconditionnels (ah, ‘Giddy giddy carousel’…).

http://www.gutsofdarkness.com/god/objet.php?objet=3573
 
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Réactions: IceandFire



Plutôt adepte, au boulot, de sonorités telles que Tosca, Kruder & Dorfmeister voire l'excellent Funky Porcini, là, avec esmerise je reste scotché.

Du violoncelle bien sûr, accompagné par des instruments autant divers que du glockenspiel, metallophone, marimaba..... le tout pour un résultat post-rock comtemporain... Magique!

Des ambiances sombres, tantôt nerveuses, suivi de moments de douce plénitude me rendent cet album que je viens de découvrir déjà indispensable; une délicieuse impression de se trouver à prague en novembre.

Un lien pour preview ici
 
electro in da house :
Sergej Auto, le dernier album (de 2006 qd même…): "we are giants" chez Saasfee records
achat dispo chez Kompakt, iTunes (mais le shop allemand ? la redirection ne marche pas…) et Finetunes.

et donc le style c'est : electro-tech. :cool: :love: (edit : pop. electro-pop ?)

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Les versions de Siboney par Connie Francis et Xavier Cugat sur la bande originale de 2046 de Wong Kar-Wai :love:

ça donne envie de margarita, singapore sling et autres cognacs asiatiques, de soirées qui n'en finissent pas, de soleils qui se couchent, de sublissimes femmes aux hanches larges, en fourreaux verts imprimés d'oiseaux et de messieurs à fines moustaches qui fument des cigarettes aux noms exotiques…

Luxe, calme et volupté…

:style: Roberto, ce disque est pour toi. :love:


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Entre de multiples choses, je réécoute une fois de plus Music for Adverts (and Short Films) de The Black Dog.
26 titres très courts ou déjà bien étalés (moins d'une minute à près de sept minutes) où l'inventivité de Ken Downie est exploitée à fond. Au niveau du son, en soi, rien d'exceptionnel. Simplement on a l'impression, même après un nombre d'écoute respectable (100, 200 ?) cela reste surprenant, prenant. Bref, une petite merveille.
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On enchaîne avec un classique qui me rappelle ma jeunesse Oil in canvas de Japan. Si je ne me trompe pas, c'est leur ultime album (par ailleurs, en public). Que ce soit pas nostalgie ou pas, je ne sais, je continue à trouver cela magique : un orientalisme chic mais pas que. Toute une époque, où j'écoutais Logic System, Yukihiro Takahashi, Ryuichi Sakamoto (et YMO pour sûr), lisais Kawabata, Mishima, Sôseki etc. Et déjà fan d'Ozu. :zen: Pour autant Japan avait plutôt un son sinisant que japonisant. Quoi qu'il en soit, la basse de Mick Karn est au top, Sylvian en fait parfois un peu trop mais l'emporte en général. Cool, quoi.
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(une fois de plus, pour les images, je peux repasser f*ck Camino pour cela)
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L'adolescence est une période troublée dit-on, faite de renoncements mais aussi de luttes et d'affirmations.
Les ados me broutent pour la plupart maintenant mais j'aime à me rappeler que j'en ai été un et que je pouvais être rocker comme amateur de psychédélisme ou de folk en même temps et le contraire.

Il reste aussi de cette période le souvenir d'avoir choisi les disques pour leur pochette… après tout la musique devait être bien !

Ce jour là j'avais une écharpe mauve et des kickers et les 45/50 Francs nécessaires pour acheter un vinil chez le disquaire.

Je ne crois pas m'être trompé (comme toi qui ne m'a pas rendu quantité de mes disques !)

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Arthur Lee, Love, Forever Changes.

Une certaine idée du psychédélisme.
 
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Réactions: Benjamin D.C.
L'adolescence est une période troublée dit-on, faite de renoncements mais aussi de luttes et d'affirmations.
Les ados me broutent pour la plupart maintenant mais j'aime à me rappeler que j'en ai été un et que je pouvais être rocker comme amateur de psychédélisme ou de folk en même temps et le contraire.

Il reste aussi de cette période le souvenir d'avoir choisi les disques pour leur pochette… après tout la musique devait être bien !

Ce jour là j'avais une écharpe mauve et des kickers et les 45/50 Francs nécessaires pour acheter un vinil chez le disquaire.

Je ne crois pas m'être trompé (comme toi qui ne m'a pas rendu quantité de mes disques !)

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Arthur Lee, Love, Forever Changes.

Une certaine idée du psychédélisme.

:up::up::up:

Très grand disque. Au début de la même année (1967), il y a eu Da Capo,le deuxième album de Love. Sans jeu de mot, ce disque fut pour moi une révélation : "Revelation", sur la face B, le premier morceau de l'histoire du rock durant 18 minutes. Une réussite. Après, il y en a eu d'autres, baucoup d'autres (des morceaux de 18 minutes). Et l'ennui est venu rapidement...

Oui : Arthur Lee forever