Parlons Facebook

Oh, il y a plus simple : ne pas y aller, simplement ! C'est comme tous ces attrapes cons pour bobos en mal de reconnaissance, il y a un piège, et ils s'y jettent tête la première.

Quand les gens comprendront-ils que leur principale source d'ennuis vient de leur propre snobisme !

Eh, bien voilà

:up::zen:

(je me demande ce qu'il y a encore à dire après ce qui me semble être un beau et juste point final)
 
La source de ces 10 conseils, citée en toute fin de billet, est bien plus complète pour ceux qui n'ont pas trop de problèmes avec l'anglais. ;)
J'ai par exemple constaté que la gestion fine des réglages de vie privée selon les groupes d'utilisateurs était peu connue, même d'utilisateurs compulsifs (alèm ? :D ).
Les moyens sont là pour ne pas partager n'importe quoi.

La liste "limited profile" est un atout, c'est clair, et la gestion des infos par listes d'utilisateurs est utile...
Mais enfin, malgré tout, comme l'a dit Angie, ce côté "voyeurisme" m'emmerde, et de plus en plus. J'ai effacé, au fil des semaines, les informations confidentielles que j'avais renseignées sur mon profil. Allant jusqu'à supprimer mes photos il y a quelques jours...


WebOliver a dit:
En ce qui me concerne, je prends le pas inverse: les inconvénients prennent largement le dessus sur les quelques avantages qu'on peut y trouver: retrouver une connaissance perdue de vue. C'est bien le seul point positif que j'y trouve. Pour les reste, je sais qui sont mes contacts, mes amis, mes collègues, et je n'ai pas besoin de les rentrer dans une base de donnée pour m'assurer que ce sont bien mes contacts, mes amis, mes collègues

Je raisonne un peu pareil...
Le fait que l'on puisse mieux me connaître par Facebook qu'en communiquant directement avec moi me gène. Le raisonnement est le même pour Twitter : je n'ai absolumment pas envie que n'importe qui puisse savoir ce que je fais à n'importe quel moment. Le grand problème est que l'on met sciemment les informations que l'on veut sur ces réseaux, auxquelles peut accèder n'importe qui...
Enfin, un autre problème, qui me concerne encore plus particulièrement, est que les DRH des sociétés recherchent des informations sur leurs futurs employés via Facebook ou Google... Je suis assez épargné par Google, je compte bien tout faire pour ne pas donner des informations sans le vouloir via Facebook... ;)
 
La liste "limited profile" est un atout, c'est clair, et la gestion des infos par listes d'utilisateurs est utile...
Mais enfin, malgré tout, comme l'a dit Angie, ce côté "voyeurisme" m'emmerde, et de plus en plus. J'ai effacé, au fil des semaines, les informations confidentielles que j'avais renseignées sur mon profil. Allant jusqu'à supprimer mes photos il y a quelques jours...

Tu ne supprimes pas. Tu désactives l'affichage. ;)

Je raisonne un peu pareil...
Le fait que l'on puisse mieux me connaître par Facebook qu'en communiquant directement avec moi me gène. Le raisonnement est le même pour Twitter : je n'ai absolumment pas envie que n'importe qui puisse savoir ce que je fais à n'importe quel moment. Le grand problème est que l'on met sciemment les informations que l'on veut sur ces réseaux, auxquelles peut accèder n'importe qui...
Enfin, un autre problème, qui me concerne encore plus particulièrement, est que les DRH des sociétés recherchent des informations sur leurs futurs employés via Facebook ou Google... Je suis assez épargné par Google, je compte bien tout faire pour ne pas donner des informations sans le vouloir via Facebook... ;)

Twitter est différent. Du moins, selon un des usages qui explique son regain de popularité - savamment entretenue par les médias - ces dernières semaines. Je n'y dis jamais ce que j'y fais. Je partage des liens, j'entretiens un réseau de contacts qui auraient été difficilement accessibles autrement. Et ils me le rendent bien. C'est, dans mon métier, un outil d'une puissance imprévue.
Quant à Facebook, dès lors que tu n'ouvres pas ton profil (la dernière des choses à faire) et que tu gardes les photos taguées pour toi, les déboires de candidats face à leurs DRH relèvent de grands fantasmes. ;)
D'ailleurs, une présence peut être fortement valorisée.
« Pour un poste de management, il est un peu inquiétant quand on constate, en entrant le nom du candidat dans Google, qu'il n'y a rien sur lui. Il est important qu'une personne ait une vitrine. Dans le cas contraire c'est mauvais signe », avoue, sous couvert d'anonymat, un DRH d'une entreprise du CAC 40. « Si j'ai deux candidats en face de moi, l'un avec des articles sur Google et l'autre non, mon intérêt va être fortement tourné vers le premier », renchérit Thierry Verdier.
 
Tu ne supprimes pas. Tu désactives l'affichage. ;)
Même lorsque je vire manuellement mes photos de mon compte, ou les informations que j'y ai entré ? :confused:



Twitter est différent. Du moins, selon un des usages qui explique son regain de popularité - savamment entretenue par les médias - ces dernières semaines. Je n'y dis jamais ce que j'y fais. Je partage des liens, j'entretiens un réseau de contacts qui auraient été difficilement accessibles autrement. Et ils me le rendent bien. C'est, dans mon métier, un outil d'une puissance imprévue.
Quant à Facebook, dès lors que tu n'ouvres pas ton profil (la dernière des choses à faire) et que tu gardes les photos taguées pour toi, les déboires de candidats face à leurs DRH relèvent de grands fantasmes. ;)
D'ailleurs, une présence peut être fortement valorisée.
« Pour un poste de management, il est un peu inquiétant quand on constate, en entrant le nom du candidat dans Google, qu'il n'y a rien sur lui. Il est important qu'une personne ait une vitrine. Dans le cas contraire c'est mauvais signe », avoue, sous couvert d'anonymat, un DRH d'une entreprise du CAC 40. « Si j'ai deux candidats en face de moi, l'un avec des articles sur Google et l'autre non, mon intérêt va être fortement tourné vers le premier », renchérit Thierry Verdier.

Evidemment, tout dépend de ce que le DRH y trouve... Si quelques aspects flatteurs du candidat [/u]sur son domaine de compétence[/u] participent à un avis globalement positif, evidemment c'est bien. Dans le sens contraire, si le DRH y trouve quelques infos compromettantes écrites par la personne elle-même ou -pire- par une de ces connaissances, je doute que cela soit très positif pour le futur employeur... ;) je n'ai clairement pas envie que mon employeur futur, ou un de mes chargés de TD ou même un de mes profs, puisse connaitre mes opinions politiques ou religieuses, mes centres d'intérêts, les films ou les livres que je vois ou que je lis... Les gens qui me connaissent le savent, ceux qui me connaissent moins bien pas du tout ne le savent pas et n'ont pas à le savoir autrement que ppar moi dans une relation sociale construite.
De manière générale, je trouve hallucinant que l'on puisse mieux connaître quelqu'un grâce aux outils de "réseaux sociaux" ou à Google qu'en s'adressant directement à la personne avec qui l'on souhaite entretenir une relation amicale ou professionnelle... Mais je suis peut-être vieux jeu dans ma conception des relations sociales. :D ;)
 
De manière générale, je trouve hallucinant que l'on puisse mieux connaître quelqu'un grâce aux outils de "réseaux sociaux" ou à Google qu'en s'adressant directement à la personne avec qui l'on souhaite entretenir une relation amicale ou professionnelle... Mais je suis peut-être vieux jeu dans ma conception des relations sociales. :D ;)

Je suis d'accord avec toi, et me fais la même remarque quant à ces modes de communication qui bouleversent complètement nos liens en société.

Pour autant, de tout temps, les nouveautés, les changements ont été mal perçus et rejetés au début, pour finir par être adoptés petit à petit et ancrés dans la vie courante. Quelques exemples: les premières photographies permettaient pour la première fois dans l'histoire de l'humanité de garder une image réelle d'un défunt. Pour m'être un peu intéressé à la chose, ça n'a pas très bien été perçu au début. Idem j'imagine pour le téléphone: on pouvait tenir une conversation avec quelqu'un distant de plusieurs centaines de kilomètres... sans qu'il soit physiquement à nos côtés. Pareil avec l'e-mail, où la correspondance écrite devient presque instantanée.

Ça deviendra probablement normal avec le temps de connaître des détails sur son entourage, sans leur adresser la parole, ni même les avoir physiquement rencontrés. Des garde-fous seront mis en place (du moins je l'espère :D), comme les nouvelles options que permet Facebook, mais ça n'est pas encore suffisant.

De manière générale la jeune génération est toujours plus encline à s'ouvrir à ses nouveautés... parce qu'elle est née, ou presque, avec ça. Pour faire un parallèle, les gamins de cinq ans qui possèdent déjà leur puce sur leur passeport biométrique, ne trouveront sans doute pas de problème, dans une vingtaine ou une trentaine d'années, à ce que ce procédé se généralise à la vie de tous les jours. Les industriels l'ont compris, eux qui équipent déjà quelques cantines de puces. Ça passera, mais seulement sur le long terme.

Les réseaux sociaux amorcent une nouvelle tendance. Pour ma part, j'observe donc pour l'instant, et sans doute que j'y viendrai.
 
« Pour un poste de management, il est un peu inquiétant quand on constate, en entrant le nom du candidat dans Google, qu'il n'y a rien sur lui. Il est important qu'une personne ait une vitrine. Dans le cas contraire c'est mauvais signe », avoue, sous couvert d'anonymat, un DRH d'une entreprise du CAC 40. « Si j'ai deux candidats en face de moi, l'un avec des articles sur Google et l'autre non, mon intérêt va être fortement tourné vers le premier », renchérit Thierry Verdier.

Oh, tu sais, un DRH d'entreprise du CAC 40, c'est un gogo comme un autre, qui se fie au profil numérologique, au thème astral ou à la soit-disant "expertise" graphologique du candidat pour faire son choix, alors, même si tu rajoutes internet, le recrutement en France se fera toujours avec un niveau d'efficacité équivalent à celui de "un petit cochon pendu au plafond" ! :siffle: :rolleyes:

Ils pourraient tout aussi bien tirer à la courte paille ! :mouais: :hein:
 
je n'ai clairement pas envie que mon employeur futur, ou un de mes chargés de TD ou même un de mes profs, puisse connaitre mes opinions politiques ou religieuses, mes centres d'intérêts, les films ou les livres que je vois ou que je lis... Les gens qui me connaissent le savent, ceux qui me connaissent moins bien pas du tout ne le savent pas et n'ont pas à le savoir autrement que ppar moi dans une relation sociale construite.

A moins que tu l'acceptes comme "ami", il n'en saura rien. ;)
Et pour répondre à la question de la suppression, une info toute chaude.

Now, anything you upload to Facebook can be used by Facebook in any way they deem fit, forever, no matter what you do later. Want to close your account? Good for you, but Facebook still has the right to do whatever it wants with your old content. They can even sublicense it if they want.

C'est ça, qui est dangereux.
 
C'est aussi dramatique : ce qui est de ta vie privée ne t'appartient plus !... Outre le fait que de tels procédés seraient illégaux s'ils étaient effectués sur le territoire français, cela nous interroge quand même sur le droit à l'oubli et sur les traitements qui peuvent être fait de nos informations par Facebook, qui y a accès même si le compte est protégé...

C'est une différence entre l'email ou le téléphone, comme y faisait allusion WebO : là, il ne suffit plus de raccrocher pour y mettre un terme. J'ai vraiment du mal à accepter quelque chose que je ne contrôle pas et qui me concerne...

WebO, ne te fais pas avoir !... :D ;)
 
C'est ça, qui est dangereux.
Tu m'étonnes. Merci de l'info, benjamin. ;)

Amis photographes, plasticiens, vidéastes, musiciens et autres, virez donc tout votre contenu perso de votre compte avant que vous en soyez dépossédés. :D
 
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Réactions: MarieStockholm
J'y suis inscrit et cela ne me pose aucun problème. Car je ne passe pas mon temps a y inclure des secrets de famille ! :D
Au pire, on va savoir mon nom. Quelle horreur !
Ce que j'écoute comme musique : bah ouais.
Mes potes ? Pas de souci.
Quelques photos de moi faisant la bringue avec des amis ? Et alors ? Pour un quidam qui ne me connait pas, je ne vois pas l'interêt, pas plus qu'il n'en aurait a nous observer des heures dans un bar. D'ailleurs, mes photos (pas des images "intéressantes, pour rebondir sur l'aspect © du message de Benjamin) ne sont accessibles qu'a mes contacts.

Bref, j'ai pas l'impression de me dessaper lorsque je me branche sur mon profil.

J'ai raconté ici, sur MacG, des tas de choses plus personnelles que ce que j'ai pu écrire sur face. Et nous sommes un paquet dans ce cas, il me semble. Ce qui est amusant, c'est de constater que certains, anti facebook, n'hésitent pas à poster sur MacG dans des sujets politiques, photographiques, de vacances, etc. Ici, pourtant, aucune possibilité de "masquer" : pour le coup, c'est vraiment ouvert à tous...
Et les signatures : renvoi sur des blogs, des sites, qui en disent bien plus que ce qui pourrait être noté dans face...

Franchement, je ne comprends pas tout...
 
Ben la différence, comme je l'ai dit plus haut, c'est qu'ici sur MacG, sur des forums, ou dans un bar pour prendre ton exemple, tu ne te balades pas avec ton identité sur le front. Pour prendre, l'exemple du futur employeur, il tombera sur un profil Facebook... mais il y a peu de chances qu'il tombe sur les photos que j'ai posté sur MacG, vu qu'il ne connaîtra pas mon pseudo et que mon identité n'y est pas reliée; et que je n'ai pas l'intention de le lui signaler sur mon CV. :D

Après, que cela ne pose pas de problème à certains je le conçois. Moi ça me dérange, je ne suis pas un personnage public, et je ne souhaite pas le devenir.
 
Une question d'information, peut-être.

Facebook annonce-t-il aux nouveaux inscrits : bonjour, tout ce que vous direz ou montrerez ici m'appartient, j'en fais ce que je veux, le revend à qui je veux et t'inonde de pub ciblée si je veux aussi et ressortirais tout ça un jour si je veux ?

Après, tu vas me dire, oui mais c'est aussi un peu à chacun de faire attention, d'être responsable, bref, d'être conscient des risques.
Hum...

Et puis, les gens changent.
Mettons, tu as 18 ans et tu adores faire la fête et en partager les photos ou tu es systématiquement bourré et à poil avec tes potes sur facebook - ah ah ah, c'est marrant.
Et puis, fuck the system, toi t'assumes à donf tout ce que tu fais et tant pis pour les veiux cons !

Le temps passe.

T'en as 40, un de tes enfants s'est tué sur la route parce qu'il roulait bourré, tu essayes de monter une asso (et de gérer les problèmes de conscience par rapport à l'alcool en général parce que tu te sens bien coupable)
Ton asso commence à être connu.
Facebook revend tes vieilles photos à Voici.

Le droit à l'oubli.
Non ?
 
Ben la différence, comme je l'ai dit plus haut, c'est qu'ici sur MacG, sur des forums, ou dans un bar pour prendre ton exemple, tu ne te balades pas avec ton identité sur le front. Pour prendre, l'exemple du futur employeur, il tombera sur un profil Facebook... mais il y a peu de chances qu'il tombe sur les photos que j'ai posté sur MacG, vu qu'il ne connaîtra pas mon pseudo et que mon identité n'y est pas reliée; et que je n'ai pas l'intention de le lui signaler sur mon CV. :D

Ah mais si il me contacte avec un petit chèque a la main, crois moi que le problème sera vite résolu ! :D :love:

Après, que cela ne pose pas de problème à certains je le conçois. Moi ça me dérange, je ne suis pas un personnage public, et je ne souhaite pas le devenir.

Sérieusement : personnage public, noyé dans 150 000 000 d'autres... ;)


@Ponkhead : Oui, on peut voir ca comme ca. Mais ce genre de "soucis" existaient avant le net : il y avait toujours un ex pote, perdu de vu, bien disposé à vendre des infos sur toi (voir ci-dessus). :D
C'est d'ailleurs, pour un journaliste, une source beaucoup plus facile que contacter face et se lancer dans des tractations financières avec cette société américaine... :)

Donc, il faut tuer tous les témoins d'errances adolescentes... :D
 
Ben la différence, comme je l'ai dit plus haut, c'est qu'ici sur MacG, sur des forums, ou dans un bar pour prendre ton exemple, tu ne te balades pas avec ton identité sur le front.


Hélas, sur face actuellement, il y a au bas mot 20 ou 30 individus qui se baladent avec la même identité que moi... De l'intérêt de ne pas s'appeler Casimir Alfred Oxydhrique, nom beaucoup moins répandu... ;)
 
@Ponkhead : Oui, on peut voir ca comme ca. Mais ce genre de "soucis" existaient avant le net : il y avait toujours un ex pote, perdu de vu, bien disposé à vendre des infos sur toi (voir ci-dessus). :D

C'est vrai - les potes, sale engeance !
T'as raison, faudrait tous les tuer - je vais demander à facebook et MySpace de rechercher tous ceux que j'ai perdu de vue, des fois qu'ils aient gardé des photos...

Ce que je "reproche" à facebook, c'est que quelque part, ça légitime ce genre de comportement - autrefois, c'était dégueulasse, c'est devenu fun avec les casseroles des enfants de la télé, ça va devenir banal, presque normal avec facebook.
Je trouve ça dangereux.
 
Une question d'information, peut-être.

Facebook annonce-t-il aux nouveaux inscrits : bonjour, tout ce que vous direz ou montrerez ici m'appartient, j'en fais ce que je veux, le revend à qui je veux et t'inonde de pub ciblée si je veux aussi et ressortirais tout ça un jour si je veux ?

Après, tu vas me dire, oui mais c'est aussi un peu à chacun de faire attention, d'être responsable, bref, d'être conscient des risques.
Hum...

Et puis, les gens changent.
Mettons, tu as 18 ans et tu adores faire la fête et en partager les photos ou tu es systématiquement bourré et à poil avec tes potes sur facebook - ah ah ah, c'est marrant.
Et puis, fuck the system, toi t'assumes à donf tout ce que tu fais et tant pis pour les veiux cons !

Le temps passe.

T'en as 40, un de tes enfants s'est tué sur la route parce qu'il roulait bourré, tu essayes de monter une asso (et de gérer les problèmes de conscience par rapport à l'alcool en général parce que tu te sens bien coupable)
Ton asso commence à être connu.
Facebook revend tes vieilles photos à Voici.

Le droit à l'oubli.
Non ?

Voilà, c'est un très bon exemple pour illustrer l'impossibilité du droit à l'oubli sur Facebook, Google, et, de plus en plus, sur le net en gènéral...
Nombre de mes amis du collège, du lycée ou de la fac sont sur Facebook ; c'est sympathique de pouvoir régulièrement garder contact, notamment avec ceux que je n'ai l'occasion de voir que trop rarement du fait de nos parcours respectifs... Et je suis notamment à l'origine, pour beaucoup d'entre eux, de leurs inscriptions... Maintenant, qu'adviendra-t-il dans 10 ou 20 ans, avec les informations personnelles que nous ne maîtrisons pas ?
Le danger est réel pour les personnes qui ont encore à créer leur avenir ; je parle pour les gens de mon âge, et a fortiori pour les plus jeunes encore...

L'affichage de sa vie et de ses relations, de ses gouts et de ses envies sur internet est amusant, excitant au début ; c'est aussi dangereux, et en prendre conscience n'est pas forcèment la chose la plus facile au monde...