A
- Statut
Pitchfork a dit:1. Moi je l'ai réalisé. Je n'ai pas dit que j'en avais l'intention
2. Les bons souvenirs sont bons et ont été pleinement vécus, pleinement expérimentés. Il est possible d'en revivre des similaires mais pas identiques. Les mauvais "souvenirs" sont associés à une partie de notre individualité qui, en quelque sorte, est resté figée à l'époque de ces souvenirs. Comme si notre individualité s'etait arrêtée dans le temps et qu'une autre individualité avait pris le relais. Des événements déclencheurs (une chanson, un livre, un monument, un rencontre, ...) peuvent ranimer les mauvais souvenirs et généraient un conflit entre les individualités passées et l'individualité future. On ne fera jamais le deuil de ses souvenirs douloureux contrairement aux bons souvenirs qui sont chassés par la perspective de bons souvenirs futurs. Les souvenirs douloureux, on ne souhaitent pas les revivre. Affronter ces souvenirs douloureux c'est se faire face, c'est affronter le "monstre" qui sommeille dans le gouffre. Lorsque cet affrontement difficultueux débouche sur une espèce de destruction créatrice, un grand pas pour son humanité a été franchie. Sinon. Se cramponner fermement et comme le roseau "plier mais ne pas rompre".
Puis-je tout de même me permettre de vous offrir une madeleine avec votre thé, café, ou autre ?
TibomonG4 a dit:Puis-je tout de même me permettre de vous offrir une madeleine avec votre thé, café, ou autre ?
Argh une madeleine !
Cela me rappelle une fille qui s'appellait marie-madeleine.
Elle se parfumait tout le temps et j'ai perdu sa trace vers Marseille.
Un mauvais souvenir.
Je suis plutôt café NOIR (évidemment).
Sinon si tu cuisines je veux bien que tu me fasses cette recette : nourritures du corps et de l'esprit
Je ne connais pas ce chef mais il a l'air de s'y connaître en madeleine
Pitchfork a dit:
Je prendrai la même chose car je verrai ainsi se refléter dans ses brumes fumantes les reflets d'une lumière aveuglante
TibomonG4 a dit:Je prendrai la même chose car je verrai ainsi se refléter dans ses brumes fumantes les reflets d'une lumière aveuglante
Pour les madeleines, on fait comment ?
on change une lettre ou deux et on bouffe macelene !Pitchfork a dit:Pour les madeleines, on fait comment ?
:love:
Pitchfork a dit:Pour les madeleines, on fait comment ?
On suit la recette
poildep a dit:on change une lettre ou deux et on bouffe macelene !
En voilà une idée :eek:
TibomonG4 a dit:On suit la recette
Pour rester dans le thread :
Je ne me rappelle pas qui a dit c'est clair :mouais: et concis
Je me souviens aussi ...
...un jour, j'étais à Montreux et je circulais en voiture ...
Sur le trottoir, une petite fille qui devait avoir 5 ou 6 ans a lâché la main de sa mère et a traversé la rue en courant au moment ou je passais...
J'ai pilé net à quelques centimètres de la fillette qui, sur sa lancée s'est cognée sur la calandre ... sans aucun bobo !!!
Je me souviens des premiers mots de la mère qui avait tout vu de la scène : "Merci monsieur ! merci d'avoir évité le pire !!!!!"
Nous avons correspondu pendant plus de 10 ans à raison de quelques lettres par an ...
et puis, plus rien ... la vie probablement ....
Mais j'y pense aussi, de temps en temps !
...un jour, j'étais à Montreux et je circulais en voiture ...
Sur le trottoir, une petite fille qui devait avoir 5 ou 6 ans a lâché la main de sa mère et a traversé la rue en courant au moment ou je passais...
J'ai pilé net à quelques centimètres de la fillette qui, sur sa lancée s'est cognée sur la calandre ... sans aucun bobo !!!
Je me souviens des premiers mots de la mère qui avait tout vu de la scène : "Merci monsieur ! merci d'avoir évité le pire !!!!!"
Nous avons correspondu pendant plus de 10 ans à raison de quelques lettres par an ...
et puis, plus rien ... la vie probablement ....
Mais j'y pense aussi, de temps en temps !
Je me souviens aussi de cette vieille dame qui vivait à côté de chez moi et qui, un jour qu'elle s'est retrouvée à la porte, ses clés à l'intérieur, a sonné à ma porte. Elle est entrée et je l'ai invitée à s'asseoir, le temps que la personne qui avait le double de ses clés arrive. Elle m'a raconté sa vie. Elle était veuve, avait passé plus de lamoitié de sa vie dans une grande maison en Algérie avec son mari et la finissait seule, dans un deux pièces à Paris.
j'ai été touché par son histoire.
Un jour, je suis rentré de vacances, on m'a dit qu'elle était morte. Je pense souvent à elle...
j'ai été touché par son histoire.
Un jour, je suis rentré de vacances, on m'a dit qu'elle était morte. Je pense souvent à elle...
A
Anonyme
Invité
Je me souviens, plus que jamais, du cinéma de Truffaut.
Je ne sais pourquoi j'allais danser
À Saint-Jean au musette,
Mais quand un gars m'a pris un baiser,
J'ai frissonné, j'étais chipée
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.
Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être
Beau parleur chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais je l'aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.
Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs
Un serment n'est qu'un leurre
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son c½ur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus...
Je ne sais pourquoi j'allais danser
À Saint-Jean au musette,
Mais quand un gars m'a pris un baiser,
J'ai frissonné, j'étais chipée
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.
Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être
Beau parleur chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais je l'aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.
Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs
Un serment n'est qu'un leurre
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son c½ur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus...
C'est une question ou une affirmationgoonie a dit:Donc, pour finir, The Big, tu es normal
Soit dit en passant, vos petits souvenirs, mémorisez les biens car un incendie et il ne vous reste plus que la mémoire
Je sais, j'ai donné
:heu:nb : j'ai quand même pu sauver la CM d'un des tous premiers Mac arrivé en France en 84
Je me souviens d'un coup de fil au boulot...
Un appel au secours... Mais j'étais occupé et une ex qui vient faire chier, merde ! Et à force d'appeler au loup, on n'y croit plus, mais plus du tout ! vraiment !
Le lendemain, elle était morte, je m'en souviens. je m'en souviens. Trop !
Un appel au secours... Mais j'étais occupé et une ex qui vient faire chier, merde ! Et à force d'appeler au loup, on n'y croit plus, mais plus du tout ! vraiment !
Le lendemain, elle était morte, je m'en souviens. je m'en souviens. Trop !
- Statut
