Et avec la tête [V.3]

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wala donc, comme nouveau et unique Thème:

un voyage à travers le temps à l'aide d'un moyen de locomotion de votre choix

avec
ces mots imposés:

- boussole
- exhaler
- échelle
- inconnu,e
- perroquet



fin du voyage le 2 octobre 2006 aux alentours de midi

.. j'vous souhaite une bonne balade et à tout bientôt! :coucou:

à vous d'jouer !
:up::love:
 
Pour vous dire de m'attendre... :siffle: je peaufine :rateau: :D

LA TAsmanie, un LibErtin Inconnu, une belle Brune...

Brigitta pensait souvent à Lui. 5 ans déjà. "les hommes sont à l'instar de PLuton, pensait la Belle brune, Ils gravitent aux confins de l'espace, n'apparaissent que tous les 5 Ans et même à ce moment là il faut un microscope pour les voir !!!
 
Je vous rejoins aussi.
Je me suis laissé tenter.

Si tout va bien je serai dans les temps, pour un petit voyage avec vous ;)
 
Bien, voilà.
-
tu est dingue,completement fou, :o
-
si moi j'avais autant de bons souvenirs,je ne m'amuserais pas a les ranger
laisse les donc ainsi, et plonge de temps en temps dedans pour notre plaisir :up:
-
 
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_un voyage à travers le temps à l'aide d'un moyen de locomotion de votre choix

les mots imposés:- boussole- exhaler- échelle- inconnu,e- perroquet
fin du voyage le 2 octobre 2006 aux alentours de midi
_____________________________________________
---------matin d'armorique
-----------------
mon ciel est une masse,univers marin
le PERROQUET jacasse,et moi pauvre pantin
suis vautré sur le pont,et compte les lucioles
qui peuplent ma maison,et gerent ma BOUSSOLE
comme plainte EXALEE,de siniste radeau
vers l'ECHELLE de coupé,magnifié d'un drapeau
une belle INCONNUE,m'apparait maintenant
me laissant sur le cul,toute verge aux vents
----------
 
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guido.jpeg






LA TAsmanie, un LibErtin Inconnu, une belle Italienne...

Monica pensait souvent à Lui. 5 ans déjà... "les hommes sont à l'instar de PLuton, pensait la Belle brune, Ils gravitent aux confins de l'espace, n'apparaissent que tous les 5 Ans et même à ce moment là il faut un microscope pour les voir !!!!


L'autoportrait et la boussole que lui avait donné Guido,
n'en finissait pas de vieillir sur la commode.
Elle rêvait secrètement de ces algues ondulantes qui vous hypnotisent au fond de la mer et vous incitent à entrer dans une danse molle aussi délicieuse que la caresse de l'AmOur.
Rêve de Passé. Avait-elle vraiment existé dans ce passé là ??

Depuis le temps qu'elle voulait refaire ce voyage au bout du mOnde, aux origines de l'hOmme, à cette terre ancestrale, Ayers Rock, le Bush millénaire, les Aborigènes...

Monica descendit la passerelle, suivit les gens nombreux. "SeptObre" c'est la saison touristique. Le hall d'arrivée était rempli d'agents de voyages "pancartés"...
Son regard de perle scruta la foule. 5 ans déjà.
Elle le vit, grand, les épaules larges, solide, sa barbe de trois jours, son pull noir et son éternel treillis vert crasseux et sa tête pleine de rêves...

Elle s'approcha de lui d'un pas finalement alerte,même après ces trentes heures de voyage, ces escales qui depuis Rome l'avaient lessivée.

Leurs sourires laissaient deviner cette grande complicité. 5 ans sans se voir !!! Comme si le temps passé n'avait rien effacé.

SAns plus de mots que : " Je t'emmène, tu verras, comme le passé, composé".
Dans sa voiture devenue une épave, remplie de ces éternels papiers, de canettes vides, de vieilles caisses pleines de cailloux, d'outils, elle pensa que le passé n'avait pas encore trop changé.
La nuit était tombé. Ils s'arrêtèrent non loin de l'opéra de Sydney.
Il remarqua enfin qu'elle portait une simple chemise blanche de coton, une paire de jean's et elle aussi ses éternelles ballerines. Ses cheveux étaient tirés en arrière, attachés d'un simple élastique.

"j'ai eu peur que tu ne viennes pas" dit-il, le pensant fortement en ébauchant un sourire.
"Vraiment ?" . Elle plissa les yeux.
Il sentait que cette soirée allait être agréable.
Poulet aux noix de cajou cuisiné au wok, un chardonnay australien.
Dîner silencieux, fait de regards furtifs.
Le regard de Guido se posa sur les tâches de rousseur qui dessinaient l'arrête de son nez.
Il la trouvait délicieuse.
Monica lui raconta ses années Romaines, son boulot d'infirmière dans une ONG, ses voyages, ses angoisses, les petites et les grandes joies d'avoir été disponibles pour tant de souffrances. Dans le fond elle n'avait pas trop souffert de ce manque...

Monica se pencha en avant au dessus de la table. Il se supplia de ne pas plonger les yeux dans le creux de sa poitrine généreuse. Ce fut tout juste s'il sentit s'exhaler son léger parfum. Il ne fallait pas qu'il se laisse abuser. Monica sentait merveilleusement bon.
- Dans le fond, que cherches-tu chez un homme ?
Elle posa son menton dans sa main, le regard fixé dans le vide.
- Je ne sais pas. Je crois que je sais mieux ce que je n'aime pas chez un homme, que ce que j'aime...
- Alors qu'est ce que tu n'aimes pas ?
- Les hommes qui essaient de me garder !!!
- Tu en souffres beaucoup ?
Elle sourit.
- Laisse moi te donner un tuyau Casanova. Pour séduire une femme, tu dois la persuader qu'elle est unique, que tu ne fais pas avec Elle comme avec les autres, etc. Mais je parle pour des clopinettes devant un libertin comme toi ?
- Pourquoi me défendrais-je ? je suis un type tout simple qui ne ferait pas de mal à une mouche. Tu sous entends que j'essaie de vouloir te garder encore une fois ?
- Oh oui !!! Tu essaies de me séduire, moi. Ne cherche pas à nier.

Dans le fond du restaurant, un perroquet sur son échelle ne cessait de répéter:
"La Princesse n'a pas envie".

Il faisait sombre sur le port, un vent légèrement frisquet soufflait. Elle retira l'élastique qui lui retenait les cheveux et s'exposa face au vent, face à la mer, dos à l'Opéra.
En presque silence :"des fois la Princesse a envie" répétait-elle.

Le vent rabattit ses cheveux en arrière et elle pensa tout bas:"La nature humaine est une grande forêt sombre qu'il n'est jamais donné à quiconque de connaître à fond en un temps aussi court qu'une Vie."

Les persiennes de l'atelier étaient descendus et Monica se dénudait pour lui
dans la lueur des néons de Harbourside.

Il était allongé sur le lit, tandis qu'elle jetait tout en l'air.
Elle se déshabille, pour moi.
Image lointaine de ce corps nu, déjà vu, mais là c'était différent.
Il sentait comme une boule dans sa gorge.
Elle s'immobilisa une fois complètement nue.Guido explora ses sensations, en espérant que son érection naissante ne passerait pas inaperçue.Monica sourit, se jeta sur lui et s'assit à califourchon sur sa poitrine, lui coinçant les bras. Elle se pencha, il l'embrassa, elle inspira profondément, fiévreusement, comme si elle avait attendu ce baiser depuis la nuit des temps. Elle rejeta la tête en arrière, Guido en profita pour basculer sur elle.Quand il sentait son odeur, les choses les plus extravagantes se déclenchaient dans sa tête et dans son corps.
Il enfouit son visage dans ses cheveux et murmura:
" Mon amour pour toi est sauvage, démesuré et dévastateur."
- Ça, je sais bien, dit-elle gravement en saisissant de sa main son totem palpitant.
Hé c'est pour moi ça ?"
Guido sentit son pouls battre à travers tout son corps.

Un long moment après, étendus sur le dos, ils savouraient cet état de bonheur, bercé par le bourdonnement de la cité qui se réveillait.
" Je voudrais te demander... commença Guido.
- Oui ?
- Non, rien."

Les nuages du "passé composé avaient enfin disparus, quelqu'un avait piqué le ciel de velours, pour que la divine lumière puisse enfin inonder le présent.
Monica posa sa tête sur sa poitrine...
Pour l'éternité, peut être..
:zen:




PS: Avec l'aimable autorisation de starmac... :D :cool: pour lui avoir chipé son autoportrait...


guido.jpg
 
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ah ! ah ah ! ...ahhhh...ah ..........:confused: :rolleyes: :hein:
arréte MACELENE.... moi qui croyais que c'etait fini a mon age !
je viens d'entre prendre un de premiere bourre ! :rose:
 
ah ! ah ah ! ...ahhhh...ah ..........:confused: :rolleyes: :hein:
arréte MACELENE.... moi qui croyais que c'etait fini a mon age !
je viens d'entre prendre un de premiere bourre ! :rose:



Comment veux tu que j'arrête... !!!! :rateau: :p :D

En tous cas ya pas grand mOnde ici.. sont tous occupés au château...:mouais: à se bouffer entre eux... on se croirait dans la vraie vie...:o...

Faudrait faire du recrutement qd tu passes au château... Monsieur Aricosec...:siffle: :D
 
En tous cas ya pas grand mOnde ici..

Il se pourrait bien que je sois du voyage pour la prochaine fois, si le thème m'inspire ;) Je n'ai de loin pas vos talents mais je vais peut-être me laisser tenter...

Un peu de rêve et d'imagination n'a jamais fait de mal à personne :)

Macelene j'aime bcp ton texte :up:

:zen:
 
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un voyage à travers le temps à l'aide d'un moyen de locomotion de votre choix
- boussole
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- inconnu,e
- perroquet




La bouteille s'ouvre et s'approche de lèvres gercées par l'effort... le chemin que je suis est celui du sang ...
un sang empli de vie et d'une mort proche ...
moi qui suis la vie ... que vais je découvrir en ce voyage au coeur d'un homme ?

la boussole indique le sud ... quand j'entre par l'aorte ... un paysage de méditerranée ... empreint de pénombre , doucement créée par des oliviers de printemps .
sur une échelle, une femme au jupon clair et léger rit et se tourne vers moi qui ne suit qu'une goutte d'eau éphémère en ce coeur qui se souvient ...
la jeune femme a vingt ans ... son rire porte l'innocence au bord de sa peau fine .
cette inconnue devient mon souvenir au fur et à mesure que je me sens pénétrer dans les replis de cet être nourrissant peut etre les dernières heures de sa vie ... ces vaisseaux par lesquels je suis passée m'ont révélé l'âge avancé de cet homme auquel je suis en train de m'assimiler..
cette femme était sa fiancée...
à présent , cela m'est évident , je le sais .
depuis tout ce temps, depuis ce jour de printemps ... il n'a pas oublié , il a juste perdu la tête aux yeux des vivants ... muré en lui-même. muré dans son corps qui n'a plus voulu accepter qu'à boire et à manger pendant toutes ces années .. et qui aujourd'hui ne vit plus que par l'eau...
cet homme que je deviens ... s'est tu quand il a vu le vent de la guerre emporter celle qui était l'origine et le sens de sa vie ...
les autres n'ont jamais compris son silence ...
mais moi qui en ses derniers instants suis en lui, moi je sais ce qu'il ressent , il est auprés d'elle si intensément ...
je ne suis qu'une gorgée d'eau fraiche , une particule de vent ... et de source de montagne ...
à quoi bon répéter comme un perroquet cette scène si belle d'un temps si lointain ...?
mais le coeur de cet homme que je m'apprête à quitter .. lui ,ne rêve pas ...il sait que bientot ce temps ancien sera à nouveau bel et bien vivant pour lui! infiniment , desesperement amoureux jusqu'au firmament .
et en ce fier moment où je quitte ce coeur pour retrouver le monde du corps ...
je sens que je vais devenir vapeur qui va s'exhaler au bord de ces lèvres gercées qui une dernière fois , heureuses vont soupirer et partir loin de ce présent désesperant et monter les marches vers cette fiancée et l'embrasser à tout jamais .
 
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wala donc, comme nouveau et unique Thème:

un voyage à travers le temps à l'aide d'un moyen de locomotion de votre choix

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ces mots imposés:

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- exhaler
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- perroquet



fin du voyage le 2 octobre 2006 aux alentours de midi

.. j'vous souhaite une bonne balade et à tout bientôt! :coucou:

à vous d'jouer !
:up::love:
La cité d'Asmarilda étincelait de mille feux quand l'astronef s'en éloigna, emmenant à son bord le professeur Milkchek et sa fidèle assistante Naru. Le tableau de bord du professeur indiquait la date du 13 septembre 4512. Le professeur et la jeune femme rapportaient de la station intersidérale géante toutes sortes de données, de documents, de sommes de connaissances potentiellement exploitables... Et d'incroyables souvenirs du futur... Toutefois, pour eux, le futur n'était plus qu'une chose relative, depuis qu'ils voyageaient à travers le temps... Ils s'étaient émerveillés de la cité d'Asmarilda autant qu'eux-même y avaient suscité l'intérêt et la curiosité, à chacun de leurs gestes. Comme au moment où le professeur avait sorti de sa poche une boussole qui devait dater au moins du vingtième siècle, et qu'il emmenait partout avec lui, y-compris sur des planètes étrangères, pour s'amuser à voir si elle y fonctionnerait, ou non...

Refermé sur les corps allongés du professeur et de Naru, le caisson spatio-temporel quitta l'astronef peu après l'atterrissage de ce dernier. Le professeur et Naru séjournèrent dans l'Inde du dix-neuvième siècle une semaine, où ils goûtèrent l'hospitalité princière d'un maharadjah, et purent à loisir déambuler dans le palais de leur hôte, et même découvrir une partie de la jungle alentour. Sans réellement comprendre que ses invités voyageaient à-travers le temps, le maharadjah devinait qu'il hébergeait chez lui des hôtes exceptionnels. Bien que le professeur fût plus âgé que Naru, l'un et l'autre semblaient ne pas avoir vraiment d'âge. On sentait en eux la passion héritée des voyages incroyables dont ils revenaient, mais aussi et surtout le goût de l'aventure, et la curiosité de découvrir encore et toujours de nouveaux déserts, de nouvelles foules, de nouveaux trésors... Il leur était naturel de voyager sans jamais la moindre limite d'espace ou de temps, comme il est naturel à de l'encens qui brûle d'exhaler son parfum...

Sans doute allaient-ils se laisser tenter par l'Egypte antique... Peut-être même oseraient-ils une excursion ou deux sur la planète Terre de l'époque préhistorique, quelques cent millions d'années avant qu'on y vît le premier être humain... Pour le plaisir de surprendre, fût-ce de loin, quelques-uns de ces fameux dinosaures...
Quand on a la possibilité de partir en quelques secondes pour n'importe quel lieu, et d'y plonger à n'importe quelle époque, l'échelle du temps prend une valeur inédite, au potentiel vertigineux et presque abstrait...
Pourquoi voyageaient-ils encore, après plusieurs milliers d'escapades en autant d'époques et de lieux différents? Pour fuir? Fuir quoi?... La peur de la mort?...
Et surtout, comment donc le pouvaient-ils?... Naru elle-même ignorait ce qui permettait au caisson spatio-temporel de mériter son nom, et de réaliser en moins de temps qu'il en faut pour le dire n'importe quelle distance, tant dans l'espace que dans le temps...

Peut-être choisiraient-ils finalement un futur lointain de plusieurs millions, ou pourquoi pas plusieurs milliards d'années... Sur une planète inconnue. Naru s'étonnait d'avoir parcouru de telles distances presque sans dommages, presque sans la moindre égratignure... Comme si elle et le professeur pouvaient se jouer de tous les dangers, et survivre sans dommages à toute sorte de péripéties...
Au miracle d'une capacité infinie d'exploration de l'espace et du temps, venait s'ajouter celui d'une chance insolente et pour ainsi dire invraisemblable...
Naru avait ressenti dès leur tout premier voyage temporel le besoin de vérifier qu'elle ne rêvait pas, et son corps était désormais presque entièrement recouvert de tatouages dont chacun lui rappelait un lieu, et une époque. Ainsi le cône en diamant, symbole de la cité d'Asmarilda, tatoué en haut de sa poitrine, avait rejoint d'autres motifs qui ornaient sa peau, laquelle gardait ainsi le souvenir d'escapades que sa raison pourrait peut-être un jour rejeter aux confins de sa conscience...

Un beau matin, Naru s'éveilla, et sortit du caisson spatio-temporel avec l'impression d'avoir dormi pendant des siècles... Le calendrier du caisson indiquait la date du 2 octobre 2006. Le professeur était déjà réveillé, et s'amusa du regard hagard de la jeune femme... Mais ce furent les cris stridents du perroquet du professeur qui acheva de réveiller pour de bon la jeune femme. Celle-ci regarda vers le caisson dont elle venait de s'extirper laborieusement... Elle y vit un ensemble de diverses courroies, d'électrodes, de voyants lumineux, de filtres à oxygène, comme d'habitude. Mais pour la première fois, elle fut persuadée qu'aucun de ces voyages spatio-temporels n'avait vraiment eu lieu...
" -Vous vous demandez comment fonctionne ce caisson spatio-temporel?" demanda le professeur. "Je vais vous le dire. Pour autant que je puisse moi-même prétendre en avoir compris le principe... Il nous fait rêver, au sens littéral. Et sur commande, ou presque. Il nous conduit aussi loin que peut nous porter notre imagination, mais en donnant à chacun de nos rêves une matérialité d'un réalisme saisissant. Si bien qu'il nous est difficile, même après le réveil, de dire en quoi les souvenirs de nos rêves diffèrent de ceux que nous avons de la réalité...
- Ainsi, Professeur, nous n'avons jamais quitté ce caisson, dans cette maison?... Et nous n'avons pas plus voyagé dans l'espace que dans le temps?...
- Pas littéralement, non. Seules nos pensées ont parcouru ces distances. Nous n'avons voyagé que dans l'espace virtuel de nos rêves."
Naru se sentit comme trahie, désenchantée, abatue... Elle trouva par habitude le chemin de la salle de bains, et s'y déshabilla avant de prendre une douche.
Soudain son regard se figea, et elle resta bouche bée : aucun de ses tatouages ne manquait...
 
Merci à toutes et tous pour vos voyages qui exhalent des univers multicolores,
parsemé d'humour, de saveurs, de rêveries et de mystères! :up: :zen:

Tous m'en ont fait perdre la boussole... :love:

... le choix est difficile, ...


et comme il faut n'en choisir qu'un, je choisis donc, celui de Starmac! :)


Bravo Starmac! :up:


Bravo et encore Merci à vous Toutes zé tous! :love:
 
Eh bien !

me voilà honoré pour ma première contribution. :D :D

c'est à moi de fixer le nouveau thème et les mots clés ?
zut, je ne pourrai pas jouer :(

Laissez moi un peu de temps, que je soigne ça ;)
Il faut que je prenne le temps de voir ce qui a déjà été soumis pour faire bien. A moins, qu'un digest ait déjà été réalisé ?

Encore merci Lalouna.
 
Merci à toutes et tous pour vos voyages qui exhalent des univers multicolores,
parsemé d'humour, de saveurs, de rêveries et de mystères! :up: :zen:

Tous m'en ont fait perdre la boussole... :love:

... le choix est difficile, ...


et comme il faut n'en choisir qu'un, je choisis donc, celui de Starmac! :)


Bravo Starmac! :up:


Bravo et encore Merci à vous Toutes zé tous! :love:



Well done Lalouna... bon choix... ;) :cool: Et je suis contente de ton choix... :rateau:... :love:




Eh bien !

me voilà honoré pour ma première contribution. :D :D

c'est à moi de fixer le nouveau thème et les mots clés ?
zut, je ne pourrai pas jouer :(

Laissez moi un peu de temps, que je soigne ça ;)
Il faut que je prenne le temps de voir ce qui a déjà été soumis pour faire bien. A moins, qu'un digest ait déjà été réalisé ?

Encore merci Lalouna.


Salut petit nouveau...!!! :rateau: :D Bravi Brava, Bravo... il le vaut bien ce texte... :cool:... beaucoup aimé aussi, avec plein de morçeaux dedans qui sont comme des petits cailloux parsemés...


à propos pas de récaps... laisse aller ton imagination... :p :D Mais bon si tu as le temps de te lire trois tradadadas de "Avec la tête"... :D :D libre à toi... Mais c du taf...
Nous en sommes à la V3... :siffle:


Allez .. on attend de pieds fermes... :D
 
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