theme
"un si joli sac a main "
.les mots
empirique,jouir,tobbogan,pastel,spasmophile
.
c'est comme ça que ça a commencé,il faisait beau et c'était au cours
d'un voyage organisé,tout les ans d'ailleurs,le club des joyeux dragueurs
de la ville,se recomposait pour decider de la destination.
il y avait là finn atlas chef de quartier,la baguette a la main,(non pas celle là)
une en pur cuir de gribouille,une espece trés coriace,et predatrice,qu'il était
de bon ton d'eradiquer de temps en temps,le professeur lucg,diplomé de
la faculté(heum !!
)toujours pret a venir au secours des neuneus du web.
c'est roberto le tacticien qui avait d'ailleurs d'une maniere EMPIRIQUE décidé
de la destination du commando,nephou pilote du car faisait une sieste sur
son volant,attendant le regroupement.
les ceusses déja a pied d'oeuvre,sondait le bout du boulevard,esperant les
retardataires,macelene et barbarella,riant comme des folles caracolaient
sur leurs talons hauts,nul doute que leur prince respectifs avait su les faire
JOUIR....... d'une liberté de mouvements (
) espérée.
une voiture deglinguée se brinquebalat au coin de la rue,deux épaves avinées
coulérent sur le trottoir comme descendant d'un TOBBOGAN,enlacées,
presque soudés,peinant pour se relever,krystof et vieux raleur s'erigérent
comme deux ceps de vigne au printemps.
une moto arriva en trombe,sorti de je ne sais ou(ben non alors,je ne sais pas
d'ou
),d'un casque a moitié deglingué l'on vit naitre une tête effarée
balbutiant" ben merde alors,je vous avait demandé un délai !
,inutile de
presenter le quidam,tout le monde l'aura reconnu,un autobus s'arreta et la
chevelure de lumai glissa sur le trottoir,quelques regards lubriques des
avinées du jour,se fixerent sur elle mais replongérent illico dans leur
torpeur ethylique.steve qui avait été barman connaissait bien les oiseaux
il avait déja put jauger l'éponge qui leurs servait d'estomac le samedi,
deja que le vendredi,jour de paye,ils amorçaient la pompe.
personne n'avait remarqué l'arico qu'une ambulance avait apporté et fixé
sur le siege arriere.bien content d'en etre debarrassé a l'hospice, pendant
une journée.c'était pas drole tou les jours avec le debris,sa SPASMOPHILIE
aigu faisait peur aux infirmieres,quand elles passaient a coté de sa chaise
roulante,le pauvre vieux apeuré avait la main qui tressautait et qui claquait
immanquablement leur fesse gauche,seul monique aimait ça et c'est
d'ailleurs elle qui lui servait de chaperon pour cette randonnée.
l'autocar demarra,ayant atteint la fin du boulevard l'arico qui avait un oeil derriere
vit abba zaba qui faisait de grands signes desesperées,et oui,il avait encore
manqué le coche comme d'autres.
au bout d'une heure ,sortit de la ville,ils resterent tous ebahis devant le
miracle de la nature,le ciel couleur PASTEL,faisait de l'horizon comme
un chemin menant a l'atlantide, ou vers un eden enivrant.
monique la gourdiflette croyant a quelque montagne couverte d'or,dit au pépé
je veux en ramener chez moi alors,
oui ! oui ......achéte moi un joli sac a main !
(ouf,pas facile a caser )
"un si joli sac a main "
.les mots
empirique,jouir,tobbogan,pastel,spasmophile
.
c'est comme ça que ça a commencé,il faisait beau et c'était au cours
d'un voyage organisé,tout les ans d'ailleurs,le club des joyeux dragueurs
de la ville,se recomposait pour decider de la destination.
il y avait là finn atlas chef de quartier,la baguette a la main,(non pas celle là)

une en pur cuir de gribouille,une espece trés coriace,et predatrice,qu'il était
de bon ton d'eradiquer de temps en temps,le professeur lucg,diplomé de
la faculté(heum !!

c'est roberto le tacticien qui avait d'ailleurs d'une maniere EMPIRIQUE décidé
de la destination du commando,nephou pilote du car faisait une sieste sur
son volant,attendant le regroupement.
les ceusses déja a pied d'oeuvre,sondait le bout du boulevard,esperant les
retardataires,macelene et barbarella,riant comme des folles caracolaient
sur leurs talons hauts,nul doute que leur prince respectifs avait su les faire
JOUIR....... d'une liberté de mouvements (

une voiture deglinguée se brinquebalat au coin de la rue,deux épaves avinées
coulérent sur le trottoir comme descendant d'un TOBBOGAN,enlacées,
presque soudés,peinant pour se relever,krystof et vieux raleur s'erigérent
comme deux ceps de vigne au printemps.
une moto arriva en trombe,sorti de je ne sais ou(ben non alors,je ne sais pas
d'ou

balbutiant" ben merde alors,je vous avait demandé un délai !

presenter le quidam,tout le monde l'aura reconnu,un autobus s'arreta et la
chevelure de lumai glissa sur le trottoir,quelques regards lubriques des
avinées du jour,se fixerent sur elle mais replongérent illico dans leur
torpeur ethylique.steve qui avait été barman connaissait bien les oiseaux
il avait déja put jauger l'éponge qui leurs servait d'estomac le samedi,
deja que le vendredi,jour de paye,ils amorçaient la pompe.
personne n'avait remarqué l'arico qu'une ambulance avait apporté et fixé
sur le siege arriere.bien content d'en etre debarrassé a l'hospice, pendant
une journée.c'était pas drole tou les jours avec le debris,sa SPASMOPHILIE
aigu faisait peur aux infirmieres,quand elles passaient a coté de sa chaise
roulante,le pauvre vieux apeuré avait la main qui tressautait et qui claquait
immanquablement leur fesse gauche,seul monique aimait ça et c'est
d'ailleurs elle qui lui servait de chaperon pour cette randonnée.
l'autocar demarra,ayant atteint la fin du boulevard l'arico qui avait un oeil derriere
vit abba zaba qui faisait de grands signes desesperées,et oui,il avait encore
manqué le coche comme d'autres.
au bout d'une heure ,sortit de la ville,ils resterent tous ebahis devant le
miracle de la nature,le ciel couleur PASTEL,faisait de l'horizon comme
un chemin menant a l'atlantide, ou vers un eden enivrant.
monique la gourdiflette croyant a quelque montagne couverte d'or,dit au pépé
je veux en ramener chez moi alors,
oui ! oui ......achéte moi un joli sac a main !
(ouf,pas facile a caser )

