A
Anonyme
Invité
Pour ce qui est du film, la bande-annonce m'a scotchée et je pense qu'on va en reparler ici :siffle: y'aura les fans et les antis, ceux qui l'ont vu, ceux qui n'étaient pas nés Honnêtement, j'ai découvert NO avant JD (1983, avec Confusion pour Rockline, puis Blue Monday et Touch by the hand of God). JD ne m'a jamais énormément emballé (même si j'aime bien mais c'est pareil avec Bauhaus, je suis pas fan), NO étant plus dansant (ah, quand on aime trémousser son corps...). Mes potes écoutaient pas mal ça, encore en 85, lors d'un séjour en Angleterre et d'un passage à Londres. Mais bon, j'intègre ça comme un Classique maintenant.
Mais ce sera la vie de Ian Curtis dans l'adaptation au cinéma du livre Touching from a distance écrit par sa femme, Deborah Curtis, et réalisé par Anton Corbijn. Une vision, une réalité. Je vais en profiter avant la sortie pour remater Shadowplayer, déjà plusieurs fois évoqué ici, qui retrace l'épopée de la Factory...
Tu oublies que tout a commencé à Varsovie. Ian arrivait à se trémousser avec ses crises. Substance est un monument (avec deux reprises de Joy Division). Le souci avec New Order, c'est le manque de charisme et de voix de Sumner comparativement à Curtis - et je ne parle pas des deux autres ... Un lent déclin vers de la médiocre Electronique jusqu'à une disolution - pour être à l'électro ce que le Monaco est à la bière.