Kelle musik écoutez vous donc ? 4.0

  • Créateur du sujet Créateur du sujet teo
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J'écoute Ice-T vous savez l'inspecteur TUTU O LA dans la série New YOrk Police :D et bien c'est un grand Rappeur avant tout, un vrai...l'album OG Original Gangster, il a crée aussi le Groupe BodyCount, excellent également...Je sais c'est pas ma musique de tout les Jours, mais lorsque c'est bien...;)
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Réactions: naas et asticotboy
Rhôô, j'ai le premier maxi de body count. Et peut être l'album, aussi. Comment j'ai fait trembler les murs, avec ça, il y a dix ans. :D

Dans le même genre, parce que, malgré le bonhomme, c'est vraiment de la musique, je me suis repris ça dans la gueule il y a deux jours :

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Réactions: Picouto
THE CLASH "Live at Shea Staduium"

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Très bon concert des CLASH de 1982 ( en ouverture des WHO dont c'était une tournée d'adieu) avec un son énorme (presque trop même ) et cela malgré l'absence de leur batteur "Topper" Headon (perdu avec ses seringues ...).
La track-list est plus que classique avec la présence des "Rock the Casbah" et "Should I stay ..."
(l'album "Combat rock" vient de sortir) qui étaient alors diffusés sur MTV ....
Ce sera également le début de la fin : moins d'un an plus tard, ce sera réellement le clash entre Strummer et Jones.
 
Dans la série grunge / rock alternatif :

Alice in Chains - Nothing Safe Best Of

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Nirvana - Best Of

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Placebo - Placebo

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Garbage - Version 2.0

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Et encore et toujours :love: :
The Smashing Pumpkins - Mellon Collie And The Infinite Sadness

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Réactions: FANREM et asticotboy
et une compile assez bizarroïdo bizarre et strange, des enregistrements sur des labels persos et obscurément obscur, qui ont tous disparus: Back to schizo.
ultra dark et hyper minimaliste (plus minimaliste que Morton Feldman... :D).

voilà ce qu'en dit Comelade de Back to Schizo:


comelade.jpg



" ... il s'agit d'enregistrements réalisés au moyen d'un magnétophone Revox A 77, de plusieurs lecteurs de cassettes, d'un orgue électrique italien à clavier double, d'un piano électrique Fender Rhodes et d'un Synthé EMS-AKS, sans la notice, récupéré en 1977 chez Richard Pinhas. Les instruments jouet apparaissant dès 1978. De délicieuses miniatures répétitives au son vintage, des expérimentations ludiques et psychédéliques sous influence Eno-Nyman... "

.

C'est par Richard Pinhas que j'ai rencontré Pascal Comelade. Mêmes trajectoires en lignes brisées, même nomadisme, même fascination pour des groupes sans territoire précis comme Faust et Can (il joue avec Jaki Liebezeit dans Oblique Sessions).

Le meilleur de leur production commune qui commence à l'époque d'Heldon : Oblique Sessions II (1999) avec le remarquable "Saint-Augustin tombant vers le haut" (sous influence Eno-Fripp) ;)

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Salut toutes et tous,


Mon Mac & mon IpodTouch ne supportant que la bonne musique, ils ont le droit au meilleur de la musique électronique..... Puisque le berceau est vaste, je puise mes galettes de Detroit, de Chicago et de sérails encore underground partout à travers la planète Techno.


Une inconditionnelle d'Omar S (from Detroit), de Juan Atkins, de Carl Craig, de Kerry Chandler, d'Underground Resistance, de Lil'Louis, de Sis, de Plastikman et j'en passe puisque ces artistes émérites me provoquent des implosions de joie intenses...et que de tous les citer me prendrait la journée :D

Au quotidien, abonnée aux podcasts de Beatport, de Gilles Peterson, d'Erol Alkan, de la Fabrique à Londres (lieu culte de la techno), de Beatsinspace.....

Et puis encore la Deep House, les classiques de jazz, les B.O de films (John Barry, Cliff Martinez, Danny Elfman, Bernstein....)

Et aussi le silence, le ronronnement du chat, la respiration de mes enfants lorsqu'ils dorment... Contemplative je suis face à la mélodie.

R.
 
C'est par Richard Pinhas que j'ai rencontré Pascal Comelade. Mêmes trajectoires en lignes brisées, même nomadisme, même fascination pour des groupes sans territoire précis comme Faust et Can (il joue avec Jaki Liebezeit dans Oblique Sessions).

Le meilleur de leur production commune qui commence à l'époque d'Heldon : Oblique Sessions II (1999) avec le remarquable "Saint-Augustin tombant vers le haut" (sous influence Eno-Fripp) ;)


j'ai connu Pascal Comelade via le label Les Disques du Soleil et de l'acier (en relation avec Mishima) et le groupe français Ulan Bator et j'ai connu Ulan Bator par le groupe Art Zoyd et j'ai connu Art Zoyd par un ami compositeur et bassiste qui travaille avec eux et... bla bla... :D

sinon, Richard Pinhas est un deleuzien très pote avec M.G Dantec qui est très pote avec... :D
pour Deleuze, je pense que tu le savais.
j'ai bien ri au clin d'oeil à Saint Augustin et à notre mini-set dans le mini-chat sur les notions de pesanteur et de chute dans le calva... ;) :D

de Richard Pinhas, en plus des albums avec Deleuze et Dantec, j'ai Event and Repetitions et Tranzition.
au fond, j'ai un peu de mal avec ces longues plages électroniques incessantes et répétitives dans Event and Repetitions.
et Tranzition est plus proche de Fripp, mais toujours sur ce mode répétitif, assez usant.
je n'y retrouve pas cette démesure "cartésienne" de Can, dû à la précision mathématique de Liebezeit, ni l'amphase "bordélique" de Faust.

sinon le trio Pinhas-Dantec-Deleuze fonctionne assez bien (projet Schizotrope).
Deleuze et Dantec y ajoutant l'un du sens et l'autre de la démesure.
(Dantec a écrit une nouvelle qui s'appelle: Là où tombent les anges... :D).

mais, bon, je n'écoute pas cela tous les jours et j'ai définitivement décroché avec l'écriture de Dantec.


*******
j'écris cela en écoutant Einstürzende Neubauten.

une playlist de Strategies Against Architecture III (compile de Live) et Perpetuum Mobile avec des inserts sauvages et ultra bruitistes de leur premier album Kollaps.


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Einstürzende Neubauten - Kollaps - 1981.

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j'ai connu Pascal Comelade via le label Les Disques du Soleil et de l'acier (en relation avec Mishima) et le groupe français Ulan Bator et j'ai connu Ulan Bator par le groupe Art Zoyd et j'ai connu Art Zoyd par un ami compositeur et bassiste qui travaille avec eux et... bla bla... :D

sinon, Richard Pinhas est un deleuzien très pote avec M.G Dantec qui est très pote avec... :D
pour Deleuze, je pense que tu le savais.
j'ai bien ri au clin d'oeil à Saint Augustin et à notre mini-set dans le mini-chat sur les notions de pesanteur et de chute dans le calva... ;) :D

de Richard Pinhas, en plus des albums avec Deleuze et Dantec, j'ai Event and Repetitions et Tranzition.
au fond, j'ai un peu de mal avec ces longues plages électroniques incessantes et répétitives dans Event and Repetitions.
et Tranzition est plus proche de Fripp, mais toujours sur ce mode répétitif, assez usant.
je n'y retrouve pas cette démesure "cartésienne" de Can, dû à la précision mathématique de Liebezeit, ni l'amphase "bordélique" de Faust.

sinon le trio Pinhas-Dantec-Deleuze fonctionne assez bien (projet Schizotrope).
Deleuze et Dantec y ajoutant l'un du sens et l'autre de la démesure.
(Dantec a écrit une nouvelle qui s'appelle: Là où tombent les anges... :D).

mais, bon, je n'écoute pas cela tous les jours et j'ai définitivement décroché avec l'écriture de Dantec.


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j'écris cela en écoutant Einstürzende Neubauten.

une playlist de Strategies Against Architecture III (compile de Live) et Perpetuum Mobile avec des inserts sauvages et ultra bruitistes de leur premier album Kollaps.


gasmrj9x.jpg


Einstürzende Neubauten - Kollaps - 1981.

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Alors, Dantec, comme toi

La sirène rouge, bien (enfin, un polar)

Les Racines du mal, pas trop mal:D, ("ils jouent " :afraid:), mais il faudrait enlever toute la partie centrale (avec les cyber qui vont sauver le monde:siffle:)

Babylon babies, aux secours, je retourne lire Deleuze

Et le reste (Le théâtre des opérations), fuyons :siffle:

Sinon, Art Zoyd, grand croisement, grand creuset :zen:

Quant aux immeubles tout neufs qui s'effondrent :up:

Bon, un autre petit truc qui égare : Neu!

[youtube]iPuBCfvMrBA&feature=related[/youtube]
 
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Réactions: teo
C'est par Richard Pinhas que j'ai rencontré Pascal Comelade. Mêmes trajectoires en lignes brisées, même nomadisme, même fascination pour des groupes sans territoire précis comme Faust et Can (il joue avec Jaki Liebezeit dans Oblique Sessions).

j'ai connu Pascal Comelade via le label Les Disques du Soleil et de l'acier (en relation avec Mishima) et le groupe français Ulan Bator et j'ai connu Ulan Bator par le groupe Art Zoyd et j'ai connu Art Zoyd par un ami compositeur et bassiste qui travaille avec eux et... bla bla... :D

J'ai connu Pascal Comelade parce qu'ici presque tout le monde connaît Pascal Comelade :D
Sinon, je vais le voir en concert vendredi dans le cadre de Jazzèbre dans une soirée triple où son concert est encadré par un concert avec le trio tri-ez (avec entre autres Ramon Lopez) et un concert avec le trio Humair-Céléa-Couturier.

Comelade nous fera un quelque chose en hommage au pianiste de jazz catalan Tete Montoliu. Mais, comme d'hab avec Comelade, ça va dériver très vite. Comelade, c'est parfois du côté d'Éric Satie, parfois du côté de la chanson populaire (catalane, ça va de soi), parfois du côté de Robert Wyatt. Mais c'est souvent magique (pas toujours : la petite restriction, c'est que parfois il se répète un peu, ce qui fait d'autant plus bizarre qu'il peut faire des choses très différentes).

Un autre jour, je vous donnerai quelques noms d'albums mais là, ça va être l'heure de faire dodo.

PS. Je suis sorti tout à l'heure, toujours dans le cadre de jazzèbre, d'un concert du trio Arcoluz de Renaud Garcia-Fons. En fait, je n'en suis pas encore vraiment sorti : un pur bonheur. :zen:
 
je suis d'accord avec Naas même si derrière mon écran j'ai pas mal fait semblant de tous les connaître ces artistes émergés de cultures décalées .
Sinon moi c'est de :


SHABBA RANKS
maximaliste jamaïcain


À


TRENTEMOLLER
minimaliste allemand



En passant par la colline aux cyprès : how i could just kill a man ( Hors concourt bien sûr ).
 
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Jim O' Rourke. Insignificance. 2001.


ce n'est pas le O'Rourke de Sonic Youth ou de l'album Terminal Pharmacy et l'on est très loin des ambiances à la Throbbing Ghristle de Historical - Illusion of Safety.
non, c'est moins que cela.
c'est un album post-rock façon indé qui aurait trop écouté Lou Reed sur une route de Pennsylvanie et qui lorgnerait vers une pop décalée, légère et plaisante.

c'est comme avec les albums de Blonde Redhead, j'aime bien cette "fausse pop sucrée" aux sonorités étranges et légèrement perturbées.

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puise mes galettes de Detroit, de Chicago et de sérails encore underground partout à travers la planète Techno.

Une inconditionnelle d'Omar S (from Detroit), de Juan Atkins, de Carl Craig, de Kerry Chandler, d'Underground Resistance, de Lil'Louis, de Sis, de Plastikman et j'en passe puisque ces artistes émérites me provoquent des implosions de joie intenses...et que de tous les citer me prendrait la journée :D [...]

:love::love::love:

Dernierement, mon baladeur m'a lache et tous les mp3s ont ete vire ... vu que je ne suis pas chez moi tres souvent je n'ai pas pu tout remettre dessus.J'ai du faire avec la musique stockee sur le book ... bon faut pas se plaindre, ya pas trop de dechet, mais ya surtout l'integrale Gainsbourg.

Marilou sous la neige, Marilou reggae, Initial BB, ... la vache quelles claques a chaque fois. Jai beau essayer de faire ecouter Gainsbourg a des anglo-saxons, ils adherent pas ... "on comprends pas ce quil dit" ... c'est toujours pareil. Et puis un conseil, n'essayer jamais de traduire les titres ou d'expliquer les jeux de mots comme Love On The Beat, ca leur donne encore moins envie d'essayer de s'y plonger ...

Mais perso j'adore ... :love: ...
 
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Réactions: IceandFire et naas