NANNAOU a dit:POUR CELUI QUI EST MORT L'AVENIR N'EST PLUS EN SOUFFRANCE. :o
Sauf si on croit à l'enfer
NANNAOU a dit:POUR CELUI QUI EST MORT L'AVENIR N'EST PLUS EN SOUFFRANCE. :o
-dc- a dit:Sauf si on croit à l'enfer
NANNAOU a dit:ET LE BOUDDHA DIT : "IL N'Y A PAS DE PARADIS OU D'ENFERS QU'A L'INTÉRIEUR DE VOUS-MÊME" :zen:
Michel Nascar a dit:Cherche NÉAN
si tu le trouve dit le moi....
Michel Nascar a dit:Cherche NÉAN
si tu le trouve dit le moi....
-dc- a dit:option n°1 : http://www.blogg.org/blog-7114.html
option n°2 : NÉAN derthal ?
option n°3 : http://www.nean.org/
option n°4 : http://forum.alliance-francophone.net/index.php?showuser=4011
option n°5 : :sleep: :sleep: :sleep:
NANNAOU a dit:ET LE BOUDDHA DIT : "IL N'Y A PAS DE PARADIS OU D'ENFERS QU'A L'INTÉRIEUR DE VOUS-MÊME" :zen:
-dc- a dit:chuuut, complique pas plus les choses, Michel Nascar nous regarde peut être![]()
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N'empêche, l'est ballèze son trip...
C'est Michel Nascar, un gars qui a peu trop fumé je sais pas quoi, mais c'est de la bonne.. :rateau:NANNAOU a dit:Qui est Michel ???![]()
le_magi61 a dit:C'est Michel Nascar, un gars qui a peu trop fumé je sais pas quoi, mais c'est de la bonne.. :rateau:
grug a dit:pourquoi faut il que l'orthographe des titres de fils soit aussi déplorable
Sache jeune con que je ne prend pas de drogue douce. Ah si aussi-dc- a dit:ouais c'est au moins de la super moquette![]()
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Là tu lances une grande question egzissettancielle
daffyb a dit:L'hémorragie de tes désirs
S'est éclipsée sous l'azur bleu dérisoire
Du temps qui se passe
Contre duquel on ne peut rien
Etre ou ne pas être
Telle est la question sinusoidale
De l'anachorète
Hypocondriaque
Mais tu dis, Mais tu dis
Que le bonheur est irréductible
Et je dis, Et il dit
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annhihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa, Et vice et versa
Il faut que tu arriveras
A laminer tes ranc½urs dialectiques
Même si je suis con??
??..vaincu que c'est très difficile
Mais comme moi dis toi
Qu'il est tellement plus mieux
D'éradiquer les tentacules de la déréliction
Et tout deviendra clair
Mais tu dis, Mais tu dis
Que le bonheur est irréductible
Et je dis, Et il dit
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annhihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Destituées
Et vice et versa [et vice versa]
D'où venons-nous
Où allons-nous
J'ignore de le savoir
Mais ce que je n'ignore pas de le savoir
C'est que le bonheur est à deux doigts de tes pieds
Et que la simplicité réside dans l'alcôve
Bleu et jaune et mauve et insoupsonée
De nos rêveries mauves et bleues et jaunes et pourpres
Et paraboliques
Et vice et versa
Mais tu dis, Mais tu dis
Que le bonheur est irréductible
Et je dis, et il dit
Que ton espoir n'est pas si désespéré
A condition d'analyser
Que l'absolu ne doit pas être annhihilé
Par l'illusoire précarité de nos amours
Et qu'il ne faut pas cautionner l'irréalité
Sous les aspérités absentes et désenchantées
De nos pensées iconoclastes et désoxydées
Par nos désirs excommuniées de la fatalité
Destituée
Et vice et versa
Et vice et versa...
Et vice et versa...