Je suis amusé de lire vos notes.
Ce qui est "amusant", c'est le fait que vos points de vues divergent autant et ce en fonction du type de travail et d'industrie dont vous êtes issus.
Pour faire court, il semblerait que le monde d'où vous êtes issus(professionnellement) ou votre formation-expérience informatique soient les seuls moteurs de vos choix.
Avec, à l'excès, si mon client n'accepte pas tel type de fichier ... c'est (en caricaturant mais je l'ai lu
) un con.
C'est une façon de voir.
Peu parmis vous ont eu la pertinence de dire : j'utilise tel soft parce que son coût est moindre, ou parce que son ergonomie est bonne, ou parce que le fichier qu'il sort est universel.
La différence des softs, est plus importante que le type de fichier qu'il sortent : on retrouve toujours les .doc .pdf .ppt ....
mais les applis de créations, elles, sont plus nombreuses pour un résultat tendant vers un fichier censé rendre la vie facile, mais qui ne correpond que peu, voire jamais à l'attente, au résultat souhaité.
Certaines administrations (exemple extraordinaire "d'entreprise" où les habitudes sont pourtant dures à perdre ...) ont bien compris le problème.
A force de passage de marchés de logiciels en perpétuelle évolution rendant toujours des documents mal maîtrisés par leurs créateurs (office 97, 2000, XP, MAC 2004, 2008, PAGES ....) elles commencent à raisonner en terme de rendu universel lié à la simplicité de l'outil de création.
Et depuis peu, on retrouve des documents en format .odt .ods , bref en format libre, lisible sur toutes plateformes (os).
Les logiciels qui les créent (open office, Neooffice, Koffice, sun ...) sont eux universels , en perpétuelle évolution, et surtout simple car dédié à un usage où l'ergonomie reste universelle depuis la création des logiciels de bureautique, la simplification wysiwyg visant à faciliter la vie.
Et le truc il est là : faciliter l'obtention d'un document lisible par tous (client comme créateur), de la façon la plus simple, avec un rendu assuré.
Un client de sera jamais un con parce qu'il n'utilise pas un logiciel : il a fait un choix, parfois mal éclairé, mais on doit pouvoir accéder à sa demande et l'usage d'un fichier censé simplifier un échange ne doit pas être un frein dans une relation client-créateur administré-administration.
Et ce foisonement de logiciels perdurera ainsi que la complexité créative, tant que l'on n'acceptera pas de tendre vers un standard, utopique, mais solution à ce que devrait toujours être un logiciel : un outil de simplification de la vie professionnelle.
Pour finir, juste une remarque, les standardisations .odt (logiciel libres ou ouvert) font rigoler beaucoup d'entre vous (en particulier ceux qui produisent du .pdf fichier tellement fermé mais cru ouvert à force de lecteurs téléchargeables).
Ils sont cependant aujourd'hui les seuls à assurer à un ensemble d'acteurs, un rendu , une assurance simplicité de traitement et d'usage quelque soit la version du logiciel de production et de lecture (dissociation tellement imbécile quand on sait qu'un outil doit simplifier un travail et jamais le rendre plus complexe; proposer une version 2000 ou 97 ou un logiciel de lecture additivé à un mail contenant un fichier à lire frise à ce jour l'incohérence conceptuelle autant revenir au papier carbone
)
Un pdf est un bon fichier : complètement fermé il évite sa modification ... est un vrai argument.
Un fichier .doc est un bon fichier car ma secrétaire a toujours utilisé Office et je lui fait plaisir en lui achetant systématiquement la dernière version ... est un vrai argument.
J'utilise des fichier .odt car les logiciels qui les produisent sont plus simple, et que tout le monde peu les créer, est un vrai argument.
Le reste c'est du verbillage; amusant autour de logiciel de création bureautique souvent lié à l'écriture
La seule objectivité restant celle-ci : l'utilisation d'un outil simple, rendant un résultat lisible par tous avec la même facilité et surtout le même rendu.
Définition que l'on oublie trop souvent parce qu'un col blanc n'apréhende plus vraiment la réalité de son art professionnel à force de virtualisation : un outil reste un outil, et il n'est utile que s'il facilite la vie de son utilisateur qui à force de maîtrise dudit outil se rend la vie professionnelle quotidiennement plus simple.
Et à lire les commentaire beaucoup d'entre nous ont oublié ce qu'est un outil.
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